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Qu’est-ce que le vide ?

samedi 25 février 2012, par Robert Paris

Messages

  • ▬JFP¦¦20230228|Merci encore Mr Robert Paris pour ce nouveau lien PDF sur le vide d’un certain Patrice DELON.
    ▬Au lieu de se poser la question de savoir ce qu’est vraiment le vide de l’espace, on pourrait se demander ce qu’est vraiment le plein de l’espace, car les particules virtuelles ne sont qu’une partie imaginaire de ce qu’est le plein de l’espace, car il y en a d’autres. Mais quoi par exemple Ɂ
    ▬Eh bien le GRAVITON par exemple non vraiment reconnu par cette physique quantique, dont cette personne de Patrice DELON, ne parle absolument pas dans son beau PDF, car ce mot de GRAVITON n’y figure pas du tout, même une seule fois.... Et puis pourquoi vouloir résoudre absolument cette gravitation quantique, alors que l’on n’imagine pas une particule pouvant résoudre cette notion de gravitation qui serait encore inférieure à l"échelle quantique, dont on n’utilise pas les unités de Planck, d’ailleurs...
    ▬Il y a tellement d’articles sur le vide de l’espace, que cela voudrait dire qu’il n’y a pas UN vide mais DES vides, tant les articles sont nombreux, mais cet article a un avantage, c’est qu’il est récent, mais est-ce vraiment un vrai avantage ?
    ▬Eh bien pas du tout, car refaire une nouvelle fois l’histoire de cette physique quantique comme des relativités de Einstein, et de ces géniaux inventeurs et grands chercheurs du début du XXe siècle, permet de nous redonner les mêmes notions, les mêmes interrogations, les mêmes illusions inventées de toutes pièce, sans pour autant trouver les moindres indices de solutions, ni même un soupçon d’imagination. Il semble fou, que ces ingénieurs physiciens, qui sont pour certains bien là, pour vendre du livre et même des tas de livres, mais ne donnent en rien, quelques indices pour essayer de résoudre ces énigmes scientifiques.
    ▬Ce Mr Patrice DELON est plus psychiatre que physicien, car essayer de comprendre ce que les premiers inventeurs ont essayé d’imaginer et essayer d’interpréter, relève plus de la psychiatrie que de la physique...
    ▬Le titre est magnifique car "Le vide est-il une substance ?" donne déjà une notion abstraite d’objet, mais les objets que nous connaissons sont réalisés par tous les types de particules connues dites réelles, et même si il y a échange entre ce monde virtuel quantique, avec la réalité d’entités massiques, le vide de l’espace-temps de Einstein, ne peut pas être une substance de type connu, car le vide de l’espace-temps de Einstein est immatériel ne correspondant à aucun type de matière connue, il est donc forcément immatériel et ne peut pas être une simple substance. C’est comme si on accordait au champ de Higgs d’être une substance spéciale. Tous types de particules du vide, ne sont pas des substances, car elles ne forment en rien un alliage entre elles, et utiliser le mot substance est totalement inadéquate.

    ▬Voici quelques phrases retenues du PDF avec quelques commentaires personnels :
    ►►►Si cette conception est exacte (et il semble bien aujourd’hui qu’elle le soit) il y aurait trois niveaux de la réalité physique
    A0)- le niveau macro-physique des phénomènes macroscopiques directement observables a notre échelle qui est le domaine propre de la Physique dite "classique"
    B0)- le niveau microphysique ou quantique qui est celui des molécules, des atomes, des noyaux ou plus généralement des particules élémentaires, qui est le domaine propre de la Physique quantique
    C0)- enfin le niveau le plus profond, HYPOMICROPHYSIQUE ou subquantique pourrait-on dire, constitue par ce "vide" réservoir immense d’énergie sous-jacente dont nous ignorons encore presque tout.◄◄◄
    ▬Pour ma part, je diviserai ce premier niveau A0) en 2 sous-niveaux, car à l’échelle macroscopique, le système solaire A1 n’a rien à voir avec les amas de galaxies et même simplement avec les galaxies, car à ce dernier sous-niveau A2, les équations de Einstein même si elles restent vraies par obligation que l’on se donne, de nouvelles entités arrivent et apparaissent comme matière noire et énergie sombre ou noire, que l’on ne retrouve pas dans le système solaire.... Il y a donc deux niveaux de ce macroscopique, car l’un est régie par les relativités de Einstein, et l’autre ne l’est pas vraiment, car les scientifiques sont obligés d’inventer de nouvelles notions pour que ces relativités soient vraies.

    ►►►Si une première particule se déplace avec une vitesse uniforme et est déviée par une seconde, immobile dans le même repère inertiel, sous l’action gravitationnelle, que se passe-t-il réellement ?◄◄◄
    ▬Phrase absurde, car une particule mobile définit un certain référentiel, et une autre particule immobile dans l’espace définit un autre référentiel, et de dire dans le même repère inertiel, ne veut justement strictement rien dire...
    ►►►A très petite échelle, typiquement en deçà de celle de Planck, Christophe Schiller a montré que ni les distances, ni le temps, ni les points de l’espace-temps, ni la masse ni aucune observable ou mesure n’a de sens ; c’est le concept d’espace-temps lui-même qui perd toute signification à ces échelles.◄◄◄
    ►►►≪ Le vide, c’est-a-dire l’espace-temps vide, ne peut se distinguer de la matière aux échelles de Planck ≫◄◄◄
    ▬C’est normal, car aucune physique n’utilise vraiment les unités de Planck, et même la physique quantique ignore cette échelle de Planck par ses sous-unités.... Le temps n’est pas vraiment utilisé dans la physique quantique...
    ►►►On ne sait pas à quelle grandeur le quanta d’action h se rattache, et aucune de nos théories physiques n’est capable, à ce jour, de décrire ce qui se passe proche de l’échelle de Planck.◄◄◄
    ▬C’est encore normal, car à cette échelle de Planck nous sommes très loin au niveau des mesures, et ce simplement parce que la mesure déforme ce que l’on veut mesurer, et de plus les unités de Planck, nous ne pouvons pas les atteindre tant elles sont petites. Le temps d’apparitions et de disparitions de ces particules virtuelles, ne sont même pas vérifiable, et personne ne donnera une quantification des durées sur ces entités imaginées non accessibles. L’intrication de particules nous amène même à dire et comprendre que le temps n’existe pas dans cette physique quantique, car c’est de l’instantané et donc une vitesse infinie de communication entre particules intriquées. Mais cette vitesse limitée de la lumière, comme des neutrinos, comme encore des ondes gravitationnelles, ne sont pas de réelles vitesses, mais des sauts quantiques, ainsi ce n’est le trajet ou parcours de ces sauts qui comptent, mais leurs repos ou arrêts, et il faut voir dans cette proposition que la vitesse infinie peut exister, mais sur de très courtes distances. Autre chose encore qu’est le quantum de Planck donnant l’action minimum. Un quantum est une quantité minimum, mais cette quantité arrive t-elle en bloc où constituée par d’autres micro-actions, qui seraient des micro-quantum donnant lieux au quantum. On peut toujours remettre en cause, même ce que nous ne pouvons pas atteindre. La gravitation est sûrement de cette ordre d’idée, où même si le quantum de Planck est utilisé, rien n’empêche de dire que pour avoir un quantum de Planck, ce dernier doit être constitué par d’autres entités encore plus petites qui sont invérifiables, car déjà le quantum de Planck est invérifiable, sauf par les mathématiques.
    ►►►Même si l’équation de Schrödinger comporte la variable temps, les phénomènes de la mécanique quantique sont
    essentiellement statiques. La notion de géodésique n’a pas sa place en mécanique quantique. La gravitation comme déformation de l’espace-temps n’a pas de sens pour la mécanique quantique.◄◄◄
    ▬Enfin une vérité qui change tout !!! Mais j’attendais et espérais des délires comme je viens de le faire juste avant, pour remettre en cause des notions établies, mais rien de cela dans ce PDF, car que du questionnement en suspend, sans le moindre soupçon de délire et d’imagination... C’est donc du réchauffé à la sauce psychiatrique.
    ▬Merci Mr Robert Paris pour trouver de telles choses, car c’est toujours intéressant. On apprends tout le temps....
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François Pouliquen

  • ▬JFP¦¦20230228|Bonjour/bonsoir Mr Robert Paris. Je continue sur ce nouveau lien PDF sur le vide d’un certain Patrice DELON ayant comme titre "Le vide est-il une substance ?"
    ▬Phrases retenues du PDF :
    ►►►
    H. Poincaré déclara à ce sujet au congrès d’Art et de Sciences de St Louis aux États Unis sous le titre « l’état actuel et
    l’avenir de la physique mathématique » :
    ≪ Prenons donc la théorie de Lorentz (…) au lieu de supposer que les corps en mouvement subissent une contraction dans le sens du mouvement et que cette contraction est la même quelles que soient la nature de ces corps et les forces auxquelles ils sont d’ailleurs soumis, ne pourrait-on pas faire une hypothèse plus simple et plus naturelle ? On pourrait imaginer, par exemple, que c’est l’éther qui se modifie quand il se trouve en mouvement relatif par rapport au milieu matériel qui le pénètre, que, quand il est ainsi modifie, il ne transmet plus les perturbations avec la même vitesse dans tous les sens. Il transmettrait plus rapidement celles qui se propageraient parallèlement au mouvement du milieu, soit dans le même sens soit dans le sens contraire, et moins rapidement celles qui se propageraient perpendiculairement. Les surfaces d’onde ne seraient plus des sphères, mais des ellipsoïdes et l’on pourrait se passer de cette extraordinaire contraction des corps ≫.
    ◄◄◄
    ▬Un Poincaré qui voit juste, mais ne trouve pas la vraie solution que j’ai déjà proposée, car ainsi pour le redire, les dimensions comme le temps ne changent pas fonction du référentiel employé, mais ce sont les fréquences hyper-fines des atomes qui changent. Quand on dit que le temps se dilate et que les longueurs se contractent, c’est une façon de voir les choses et d’expliquer les notions, mais physiquement cela n’a rien à voir, car dimensions comme temps ne changent absolument pas, mais ce sont les fréquences des atomes qui changent de fréquences, quand on est en mouvement rapide, ou encore les masses importantes qui déforment ces fréquences d’atomes. Les facteurs de Lorentz d’après une simple formule mathématique, devraient s’appliquer sur ces fréquences des atomes, et non sur les notions de longueurs et de temps. Je rappelle que cette formule à été trouvé avant par un certain Larmor, avant ce Lorentz. Quand on pense à ces scientifiques et physiciens, qui nous ont pondu des tas de graphes incompréhensifs, et que la solution de ces déformations est plus que très simple, cela fait froid dans le dos, tant cette physique moderne est d’une complexité pour définir des notions simples...

    ▬Phrases retenues du PDF :
    ►►►
    La mécanique quantique décrit le vide comme un espace d’énergie globale nulle, mais peuplé d’ondes et de particules, toutes virtuelles et décrites par la théorie quantique des champs (QFT). Le physicien et historien des sciences Le NOXAÏC en donne une définition précise :
    ≪ On les qualifie de virtuelles car ce sont, à proprement parler, des images qui représentent de façon commode certains éléments mathématiques intervenant dans les calculs de la théorie des champs. Ces éléments reflètent certaines propriétés des quanta des champs, mais pas toutes : par exemple une particule virtuelle n’a pas nécessairement la même masse que la particule réelle correspondante, et cette masse est même variable. Néanmoins, les particules virtuelles sont d’utilisation tellement commode, et leur ressemblance mathématique avec les particules réelles est si grande, que la plupart des physiciens oublient qu’il s’agit d’artifices mathématiques et se les imaginent sans d’ailleurs que cela engendre de contradictions comme si c’étaient de véritables objets physiques non observables.≫
    Les relations d’Heisenberg qui font partie du corpus fondamental de la mécanique quantique décrivent un vide pouvant être perturbé par des fluctuations d’énergie l’agitant sans toutefois contredire la valeur en moyenne nulle de son énergie. La relativité, elle, parle aussi d’un vide d’énergie nulle, sans matière ni ondes électromagnétiques, mais également sans particules virtuelles, sans fluctuations. Ce vide est assimilé à un espace-temps qui se réduit à une
    topologie quadridimensionnelle associant les trois dimensions des espaces euclidiens et le temps, espace-temps dont la déformation en présence de matière permet d’expliquer la gravitation.
    ◄◄◄
    ▬Merci à ce physicien/historien des sciences Le NOXAÏC 2004, par l’intermédiaire de Mr Patrice DELON, qui nous dit bien, que ces particules virtuelles sont des d’artifices mathématiques, comme si elles étaient de véritables objets physiques non observables. Oui cette personne nous rappelle que tout cet artifice de particules virtuelles n’est qu’une commodité admise par tous les physiciens du domaine quantique, mais n’a rien de vérifiable. A force de nous redire et rabâcher les mêmes choses, on finirait par y croire, eh bien pas pour tout le monde, et je fais partie de cette partie du monde, car la façon à imaginer ces particules du monde non réel est quand même très particulier. La mer de Dirac, l’océan de machin, et l’étang de DUCHEMOL, voir même les marres des autres, ne sont que des images de pensée, où justement on a le droit de remettre en cause, tout ce que l’on dit sur ce virtuel. Le comble dans cette mer de Dirac, ou océan, ou étangs ou marres, cela n’est même pas le volume du fluide qui compte, mais sa surface et son agitation.
    ▬Les seules expériences réelles, ne sont liées qu’a cet effet Casimir ou encore à ces doubles fentes de Young, dont on ne peut pas plus définir un véritable but d’aboutissement et de preuve, car même ces expériences sont encore à être interpréter, et suivant cette majorité qui interprète ces expériences, cela n’est pas plus une vérité. Donc merci à ces personnes qui sont des révolutionnaires, pour nous rappeler que ce qui est admis par les physiciens modernes peut être remis en cause par de simples amateurs ou par de vrais physiciens ayant un peu d’imagination.
    ▬Voir les particules virtuelles du monde quantique, comme une réplique des particules dites réelles, me semble une mauvaise interprétation et encore une imagination débordante, car comment savent ces bosons de Higgs, à choisir sur des tas de particules virtuelles disponibles de tous genres, à prendre celle-ci plutôt que celle-là, pour laisser le réel devenir virtuel, et donc prendre une des particules virtuelles disponible de mêmes caractéristiques.
    ▬Personnellement les particules virtuelles du vide quantique, ne sont pas des structures complexes attendant qu’elles soient prises pour cible par ces bosons de Higgs. Toutes ces particules virtuelles ont la même structure, associées par couple de charges opposées, les rendant neutre en charge, mais la neutralité ne veut pas dire inerte, car les charges s’orientent fonction du réelle portant aussi des charges, comme aussi des autres particules virtuelles temporaires. Mais temporaires pourquoi ? Simplement parce que ces particule virtuelles ne s’inhibent pas mais font des sauts quantiques, et ces sauts ne sont pas liés à elles-mêmes, mais transmis par les particules de la gravitation que sont ces gravitons.
    ▬Toute l’animation du monde quantique, n’est pas liée à des forces venant de ces particules virtuelles elles-mêmes, mais de particules encore moins détectables que sont ces gravitions neutre, ne correspondant à aucune matière connue.
    ▬Le monde réelle ou virtuel est fait de charges élémentaires, pas les gravitons dynamiques qui ne portent aucune charge, et c’est cela la gravitation que l’on ne peut détecter que sur des masses importantes.... Ces particules virtuelles si on les voit par imagination, ce que l’on ne voit pas est ce qui les anime, et qui n’est que ces gravitons dynamiques en plus grande quantité, sans pour autant pouvoir les quantifier, car déjà nous ne savons pas quantifier ce monde virtuel.

    ▬Phrases retenues du PDF :
    ►►►
    La thèse que nous soutenons dans ce mémoire est la suivante : le vide, considéré du point de vue de la relativité ou de celui de la mécanique quantique standard, est réel et substantiel et doté d’une énergie localement et temporairement non nulle mais présente une valeur moyenne globale nulle.
    ◄◄◄
    ▬Cette personne de Patrice DELON, n’est donc pas seul avec ce NOUS, à nous dire et se poser les questionnements de ces deux théories opposées que sont les relativités de Einstein et de la physique quantique et son vide quantique. Eh bien les théories de la relativité de Einstein, et celle de la physique quantique, sont simplement des mondes totalement différents, à la différence que la théorie générale agit par ses gravitons dynamiques sans charge sur le monde virtuel du vide quantique bourré de charge électriques et magnétiques. La force de gravitation est une Force/Énergie de poussée mécanique, alors que la physique quantique ne s’occupe que des effets électromagnétiques. Donc des forces qui sont sans rapport. La physique quantique n’anime pas la gravitation, car c’est exactement l’inverse...
    ▬Merci Mr Robert Paris de pouvoir délirer et exprimer mes délires qui peuvent remettre en cause la science...
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François Pouliquen

  • ▬JFP¦¦20230304|Bonjour Mr Robert Paris. Je continue sur le PDF d’un certain Patrice DELON ayant comme titre "Le vide est-il une substance ?"
    ▬Phrases retenues du PDF :
    ►►►
    En résumé, la mécanique quantique standard, reconnaît au vide une énergie intrinsèque extractible, bien que sa valeur moyenne soit globalement nulle. Mais un objet matériel peut-il posséder une caractéristique d’énergie non nulle sans être substantiel et réel, le vide contenant la potentialité d’une multitude de particules virtuelles peut-il ne pas être substantiel ? La thèse que nous soutenons ici attribut au vide une existence propre, et une valeur d’énergie globalement nulle mais seulement en moyenne. Nous sommes ainsi conduits à attribuer au vide une réalité, une substantialité et un statut ontologique. La nullité de l’énergie globale peut alors être interprétée comme un océan sans vagues, l’apparition de ces vagues représentants les fluctuations quantiques. Cette image pose une question, celle de la caractérisation du vide : si le vide au repos présente une énergie que nous qualifions de nulle parce qu’elle ne présente aucune interaction accessible à nos sens et qu’en mouvement ce vide acquiert une caractéristique d’énergie non nulle au travers des fluctuations quantiques, comment caractériser cette substance « vide », que sont ces fluctuations du vide, quelle relation entretient le vide avec la « matière » ?
    ◄◄◄
    ▬Sans être scientifique, je dirai que les gravitons sans charge et dynamiques de la gravitation de Einstein, contrarient constamment, les particules virtuelles, qui stationnent autour des particules réelles, les animant par sauts quantiques, mais ces sauts de particules virtuelles, viennent perturber les particules dites réelles, et les échanges qui se font entre le monde réel et le monde virtuel, ne sont que par couples neutres de particules virtuelles de charges opposées, car les particules dites élémentaires ne le sont pas, mais constituées de ces couples virtuels en très grand nombre.
    ▬Une particule élémentaire réelle est un assemblage de couples virtuels de charges opposées, et en grande quantité, mais possédant forcément un seuil maximum d’assemblage de cette fausse matière première que sont les particules virtuelles couplées. La stabilité d’une particule élémentaire, n’est en réalité que des échanges de couples avec le monde virtuel, et cette stabilité n’est que relative, car la particule élémentaire tremble par ces échanges constant avec le monde virtuel, mais ce n’est pas le monde virtuel et ses particules, qui donnent des énergies, mais cela est fait par le biais de la gravitation et ses gravitons sans électromagnétisme, qui poussent ces couples virtuels à constamment changer de place, et inter-change des parties du réel avec des coules du virtuel. Si la gravitation était absente, cette agitation n’existerait pas.
    ▬La particule réelle ne saute donc pas à une autre particule virtuelle de même caractéristique, mais ce sont des portions de cette particule réelle qui s’échangent par couples de charges opposées de la particule dite réelle, avec les mêmes couples virtuels. La particule réelle tremble parce que son centre de gravité n’est jamais le même, et ce par échange avec le monde extérieur virtuel. Les fluctuations du monde quantique, n’est que le résultat des gravitons dynamiques, qui forcent à ces changements de positions. Si on supprime la notion de gravitation, le mode virtuel quantique devient statique et équilibré.Pour que ce monde virtuel fluctue, il faut forcément une autre énergie ou force qui vient dérégler cette stabilité. Et pour conclure l’énergie du vide ne vient pas directement des particules virtuelles, mais des contraintes imposées par le chaos de la gravitation et ses gravitons dynamiques.

    ▬Phrases retenues du PDF :
    ►►►
    Dans un même référentiel un corps initialement au repos peut acquérir de la vitesse sans pour autant changer de masse, ce qui correspond à une acquisition d’énergie cinétique : la loi de conservation de l’énergie d’un corps reste valable uniquement dans les référentiels inertiels. Le tenseur énergie-impulsion étant définie par une densité de masse et/ou d’énergie électromagnétique, à l’échelle de l’univers, en théorie cosmologique il suppose soit l’approximation d’une continuité de la matière dans l’espace, soit l’assimilation d’un ensemble de particules à un gaz de densité continue. Cette hypothèse faite par Einstein, et toujours acceptée depuis, va permettre, par exemple, l’assimilation du gaz galactique à un fluide et la formulation d’une solution à l’équation d’Einstein, mais s’avère une difficulté pour la mécanique quantique comme nous l’avons expliqué dans le chapitre précédent.
    ◄◄◄
    ▬La supposition d’un gaz remplissant l’univers d’une densité continue est une mauvaise idée et un mauvais concept, car dans un gaz, les atomes ou les molécules le composant, qui se touchent, rebondissent par choc, et ce n’est pas le cas pour les gravitons, qui se rencontrent et se traversent les uns dans les autres, sans créer de choc, et c’est bien pour cela que les gravitions divergent des entités que l’on connaît. Ces particules de gravitons, ne sont ni élastiques ni durs, mais ont cette propriété de se traverser les uns dans les autres sans changer de direction, et cette traversée donne un temps non nul, qui est sans rapport avec leur trajet. Ainsi le temps du trajet ne compte pas, comme si il y avait transposition d’un endroit à un autre, mais ces endroits sont justement les rencontres de gravitons qui se traversent entre eux.
    ▬Pour résumer les gravitons ont des vitesses illimitées et donc instantanées, mais ce sont les rencontres de ces mêmes gravitons qui donnent un laps de temps, comme si il y avait un temps de transmission d’information.
    ▬Merci Mr Robert pour vos retours.
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François Pouliquen

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