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Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions.
vendredi 30 mars 2012, par
L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions.
Pourquoi en cent questions ? Parce que nous n’aurons jamais les réponses de la part des autorités qui ont enfermé le dossier dans le mensonge et nous avons au moins le droit de nous poser des questions qui aident notre réflexion !!!
Désolé si c’est un peu en vrac et légèrement répétitif parfois.
D’emblée, des questions simples viennent à l’esprit qui rendent rocambolesque l’histoire qui nous est racontée officiellement.
Une question simple d’abord : puisque le présumé coupable de ces crimes a été tué par les forces de l’ordre, la seule preuve de son crime, même si le RAID dit qu’il a avoué ce qui n’a aucune valeur juridique, serait d’avoir retrouvé l’arme. Comment se fait-il que ces forces de l’ordre qui ont retrouvé dix armes chez Merah ne ressentent pas le besoin de préciser si oui ou non elles ont trouvé l’arme du crime ?
S’ils n’en disent rien, n’est-ce pas un aveu que l’accusation contre Merah serait un montage des services secrets pour retourner contre les milieux maghrébins la réprobation d’un crime, notamment celui contre des enfants, qui aurait pu se retourner contre la droite et l’extrême droite, au moment même où les classes dirigeantes essaient de pousser les milieux populaires vers le fascisme ?
Qui est Mohamed Merah ? Un jeune ouvrier carrossier agité et qui aurait dérapé ? Un terroriste fanatique ? Un agent des services secrets français ? Un jeune manipulé par eux ?
Qui a formé ce professionnel du tir, qui a payé son séjour dans une résidence de luxe, qui a payé ses armes (20.000€), qui a payé ses voyages dans de multiples pays du moyen orient, qui a payé sa BMW, qui l’a fait libérer quand il a été arrêté par les forces US après un séjour au Pakistan et en Afghanistan, qui l’a fait libérer quand il a été arrêté par la police israélienne, qui a empêché qu’il ne soit inquiété en France malgré des attaques violentes pro-al Qaida ?
Comment a-t-il pu aller en Israël puis en Syrie, en Irak et en Jordanie avec le même passeport ?
Comment s’est-il procuré un pistolet mitrailleur Uzi ?
Comment un homme repéré, arrêté, interrogé, surveillé, peut-il se payer un arsenal de guerre sans attirer l’attention ?
Pourquoi avoir choisi de l’éliminer plutôt que d’arrêter un homme qui n’est, encore à ce jour, qu’un suspect puisqu’il n’a nullement été jugé et qu’aucun acte de justice n’a encore eu lieu ?
Pourquoi un juge n’a pas auditionné les heures de discussion entre Merah et le Raid ?
Comment un type sous surveillance de la DCRI, Direction centrale du renseignement intérieur, un service de police secrète anti-terroriste et de sécurité intérieure, aurait-il pu se procurer des armes et voyager dans des pays tels que l’Afghanistan et le Pakistan ?
Comment un type sans CDI a-t-il les moyens de louer un appartement dans un quartier paisible et résidentiel de Toulouse, d’achter armes et véhicules, de se payer des voyages invraisemblables et louer des voitures à l’année ?
Pourquoi quelqu’un qui aurait les moyens de s’offrir un appartement dans une résidence plutôt coquette, plusieurs voitures dont une BMW et pour 20.000€ d’armes diverses, devrait-il dérober un scooter, au risque de se faire remarquer, et pourquoi aurait-il commis la bêtise de le faire repeindre ?
Pourquoi aurait-il autant d’armes et n’aurait-il utilisé qu’une seule d’entre elle dans chacun de ses meurtres, ceux des soldats comme ceux des écoliers ? Est-ce seulement pour permettre de faire le lien et de se faire plus rapidement attraper ?
Pourquoi les professionnels hautement qualifiés du RAID auraient-ils autant attendu avant d’attaquer pour ensuite se retrouver comme des bleus, soi-disant pris par surprise par la réaction du supposé tueur. Pourquoi ne l’auraient-ils pas d’abord attaqué aux gaz lacrymogènes, pour le neutraliser et le prendre vivant ?
Comment se fait-il d’ailleurs que les caméras de surveillance et les témoignages aient mené à un portrait robot d’un blond, plutôt gros avec un tatouage pour finalement tomber sur un tueur plus jeune, maigre, basané et sans tatouage ?
Pourquoi le pouvoir est-il si regardant pour empêcher quiconque de rendre publique des vidéos des morts, des assassinats et de l’arrestation au point que l’Etat français ait été jusqu’à menacer d’attaquer les antennes étrangères qui ne respecteraient pas cet interdit ?
Que pourraient donc révéler les vidéos ? Pourquoi refuser aussi de diffuser les déclarations transmises à Al Djezira alors que le ministre de l’intérieur diffusait en direct minute par minute les déclaration du tueur dès qu’on prétendait l’avoir localisé ?
Comment se fait-il qu’un ministre de l’intérieur se permettait d’être sur place, de commander au RAID alors que la loi française l"interdit et commande que ce soit le procureur de la république et le juge qui commandent lors de l’arrestation, c’est-à-dire une autorité indépendante du pouvoir ?
Comment se fait-il que les enregistrements intégraux des heures de discussion avec le présumé coupable n’aient pas été transmises à la justice ?
Comment se fait-il que Mohamed Mérah n’aient jamais été inquiété précédemment alors qu’il avait déjà manifesté de plusieurs manières son attirance pour Al Qaïda et avait été repéré par la DCRI ? Comment est-il possible qu’une personne surveillée par la DCRI ait pu acheter tranquillement pour 20.000€ d’armes sans que la DCRI ne s’en aperçoive ?
Comment se fait-il que certains média s’interrogent si Mérah était un indicateur tout en affirmant qu’il aurait alors pu voyager pour la DCRI dans tout le Moyen-Orient pour y repérer des terroristes ?
Comment expliquer que, de mars à novembre 2011, Mohamed Merah a été placé sur écoute par la DCRI, ainsi que sa mère et son frère et qu’ensuite cette surveillance ait cessé, sinon par le fait qu’il est embauché par la DCRI ?
Comment se fait-il qu’un journal italien en sache plus que les journaux français et que le quotidien italien "Il Foglio" déclare le lundi 26 mars que l’auteur des tueries de Toulouse et Montauban avait réalisé ses nombreux voyages -Egypte, Turquie, Syrie, Liban, Jordanie, Israël, Afghanistan, Pakistan- sous la protection des services de renseignements français ?
Est-il vrai qu’Erard Corbin de Mangoux , qui dirige depuis 2008 le bastion des services secrets français -la DGSE, a mis en avant sa responsabilité, comme l’affirme le quotidien italien Il Floglio, pour que Mohamed Merah, accède en septembre 2010 au territoire israélien en contrepartie d’ informations aux responsables du contre-espionnage français ?
Dans ce cas, ne vaudrait-il mieux pas parler d’un agent de la DCRI et d’un espion français qui se serait retourné à la manière de Ben Laden, agent de la CIA se retournant contre les USA ?
Est-il exact, comme le prétend ce journal, qu’une intervention de la Direction générale de la sécurité extérieur (DGSE), l’agence française chargée de l’espionnage et de l’antiterrorisme en dehors des frontières nationales, aurait notamment permis au jeune Toulousain d’entrer en Israël en septembre 2010.
Comment se fait-il que l’ancien patron de la Direction de la surveillance du territoire (DST), Yves Bonnet, ait déclaré :
« Le garçon avait manifestement des relations avec la DCRI comme on l’a appris à travers les déclarations de Bernard Squarcini lui-même. C’est-à-dire qu’il avait un correspondant au Renseignement intérieur. Alors appelez ça ’correspondant’, appelez ça ’officier traitant’… je ne sais pas jusqu’où allaient ces relations, voire cette ’collaboration’ avec le service, mais on peut effectivement s’interroger sur ce point". Ce qui, personnellement, me paraît poser question, c’est que le garçon avait manifestement des relations avec la DCRI comme on l’a appris à travers les déclarations de Bernard Squarcini lui-même. C’est-à-dire qu’il avait un correspondant au Renseignement intérieur. Alors appelez ça “correspondant”, appelez ça “officier traitant”… Je ne sais pas jusqu’où allaient ces relations, voire cette “collaboration” avec le service, mais on peut effectivement s’interroger sur ce point. […] Car ce qui interpelle, quand même, c’est qu’il était connu de la DCRI non pas spécialement parce qu’il était islamiste, mais parce qu’il avait un correspondant au Renseignement intérieur. Or avoir un correspondant ce n’est pas tout à fait innocent. Ce n’est pas anodin. »
Est-ce que cela ne permettrait pas d’expliquer aussi que Mohamed Mérah soit capable de tirer comme un professionnel hautement qualifié et de sang froid de plusieurs sortes d’armes de plusieurs pays, car ce n’est pas au Pakistan ni en Afghanistan qu’il a pu s’entraîner sur les armes israéliennes Uzi dont il possédait curieusement un exemplaire ?
Comment se fait-il qu’il ait pu voyager en Israël et ensuite dans tout le monde arabe avec le même passeport ?
Comment se fait-il qu’à chaque fois qu’il a été arrêté, par les Israéliens et par les Américains, il semble avoir été relâché sur ordre de la France ?
Comment expliquer que celui qui est présenté comme un petit voyou, qui n’a même pas d’emploi fixe en CDI, un "vulgaire" ouvrier garagiste, puisse se payer pour 20.000€ d’armes, un logement cossu dans un bon quartier, plusieurs voitures et des voyages dans le monde entier ?
Comment se fait-il qu’il soit capable de faire face en grand professionnel aux spécialistes du RAID, au point d’être capable de leur échapper en passant par la fenêtre, soit assez bête pour laisser partout des traces de son action ?
Comment se fait-il que les services de police français soient assez bêtes pour ne pas l’avoir démasqué, alors qu’il est fiché, dès les premiers assassinats de soldats ?
Comment se fait-il qu’au début les policiers aient été persuadés qu’il s’agissait d’un français blanc d’extrême droite issu de l’armée avant de changer complètement de thèse, ayant trouvé Mérah comme coupable idéal ?
Comment se fait-il que le RAID ait prétendu ne pas avoir pu le saisir vivant alors qu’il est évident que c’est faux, des dires des spécialistes eux-mêmes ?
Comment expliquer les déclarations contradictoires sur son élimination par le RAID ? Comment a-t-il pu avoir une balle dans l’abdomen puisqu’on nous dit qu’il portait un gilet pare-balles ? Comment se fait-il qu’une photo officielle de M.Merah mort gisant au sol le montre qui porte un survêtement noir adidas alors qu’on a déclaré qu’il porté une djelaba noir glissé sous un jeans.
Faut-il croire que "nos" équipes d’intervention surentrainées, équipées certainement du meilleur matériel et des meilleures technologies actuelles en la matières auraient failli pendant 34h face à un petit caïd de banlieue ? A 400 contre 1 ?
Comment se fait-il que l’encerclement de Merah par la RAID ait duré aussi longtemps, d’autant qu’il est ensuite évident que le but officiel, le prendre vivant, n’était nullement un objectif des forces de l’ordre puisqu’ils n’ont même pas utilisé ce délai pour neutraliser Merah avec des gaz lacrymogènes par exemple ? Quelle révélation de Merah les forces de l’Etat ont-elles voulu éviter ?
Comment se fait-il qu’un ex-responsable du GIGN, Frédéric Gallois, se dise "gêné" : « Face à un individu de ce type, considéré comme l’ennemi public numéro un, et compte tenu des faits dont il est alors soupçonné, pourquoi a-t-on attendu si longtemps avant de donner le signal et lancer l’assaut ? »
Comment se fait-il que Christian Prouteau, fondateur du Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), une unité de contre-terrorisme qui rivalise avec l’unité d’élite de la police qui a tué Merah, ait déclaré : « Comment se fait-il que la meilleure unité de la police ne réussisse pas à arrêter un homme tout seul ? Il fallait le bourrer de gaz lacrymogène… au lieu de ça, ils ont balancé des grenades à tour de bras. Résultat : ça a mis le forcené dans un état psychologique qui l’a incité à continuer sa ‘guerre’. En soixante-quatre opérations menées par le GIGN sous mon commandement, il n’y a pas eu un mort ».
Pourquoi Sarkozy a-t-il prétendu répondre politiquement à cette affaire en interdisant les sites pro-intégristes et terroristes ? Est-ce que cela signifie que Merah en nourrissait un ou plusieurs ? Comment se fait-il alors que la DCRI ne l’ait pas su puisqu’elle a officiellement fait plusieurs demandes légales pour examiner les connexions internet et téléphone de Mohamed et de sa famille ?
Pourquoi fallait-il que l’opération soit dirigée du côté des forces de l’ordre par un corse, Bernard Squarcini, proche du clan corse de Sarkozy, presque un parent du président, ayant déjà plusieurs fois résolu les sales affaires de la présidence ?
Pourquoi les services de l’Etat ont-ils caché au début que les militaires tués étaient des soldats d’origine maghrébine et antillaise ? S’agissait-il de cacher un crime qui pouvait être attribué à l’extrême droite ? Pourquoi, par contre, tous ces efforts de l’Etat pour souligner médiatiquement que Merah est d’origine algérienne, alors que le chef de l’Etat avait des trémolos dans la voix pour dire qu’il ne fallait pas d’amalgame ?
Quelle était cette fameuse piste d’ex militaires d’extrême droite que la police disait au début avoir suivi, a ensuite abandonné sans plus jamais en parler ?
La scène de la fin de l’encerclement de Merah et de sa mort est-elle crédible ? Merah et 15 officiers du RAID suréquipés sur place, ils devaient se sentir légèrement à l’étroit dans ce petit espace ? Est-il crédible, comme le veut la thèse officielle, que Merah ait, dans ce petit espace, tiré trois cent cartouches sans tuer et qu’il ait pu ensuite d’enjamber une fenêtre avant d’être éliminé par un tireur extérieur ? Peut-il y avoir eu, dans une pièce de 36 mètres carrés, de véritables tirs de guerre à quasi bout portant sans que des policiers soient tués ni que Merah soit encore achevé puisqu’il parvient à sauter par une fenêtre ?
Comment se fait-il que les services de l’Etat eux-mêmes aient diffusé les dires de Mérah sur les ondes, dires selon lesquelles ils défendait les martyrs palestiniens de Gaza et le peuple afghan, le présentant comme un quasi héros aux yeux de ceux qui sont scandalisés par le sort du peuple palestinien et du peuple afghan ?
Est-ce que cela ne permettrait pas de causer une polarisation de la société française entre ceux qui choisiraient le camp des Musulmans et ceux qui choisiraient la guerre contre les Musulmans, permettant ainsi de diviser les travailleurs et la population à la veille d’une période où une attaque anti-sociale de grande ampleur se prépare ?
Alors que la crise va frapper de plus en plus fort, la question principale pour les classes dirigeantes ne va-t-elle pas être : peut-on faire en sorte que la population se trouve divisée entre des maghrébins considérés comme amis de criminels fanatisés et le reste de la population, notamment des Juifs, présentés comme menacés ? Ne suffit-il pas de continuer à partir de l’affaire de Toulouse à agiter le mensonge, dans un sens comme dans l’autre ?
Quand on présente à l’ensemble du pays un ministre de l’intérieur en train de diriger en personne une arrestation et de commenter en direct les dires de la personne que l’on sensé arrêter, quand on refuse de diffuser toutes les images des victimes, des meurtres et de l’arrestation, n’est-ce pas une manipulation qui est en cours ?
Comment se fait-il que l’Etat estime aujourd’hui qu’il ne faut plus diffuser d’information sur les déclarations de Merah et sur ses films alors que, durant la longue période où il était entouré par le RAID, c’est le ministre de l’intérieur lui-même qui diffusait les déclarations de Merah ? Comment se fait-il que, maintenant que Merah a été éliminé, les média diffusent par contre des infos nationales chaque petite inscription sur un mur ou un chiotte dans n’importe quelle sombre banlieue et qui se revendique de Merah ? Pourquoi toute cette publicité comme le cas de cette enseignante qui ne s’en sentait pas de faire une minute de silence ? Est-ce que l’Etat n’essaierait pas de pousser deux communautés l’une contre l’autre pour détourner la crise sociale qui vient ?
Est-ce la suite des affaires des mosquées, du voile islamique, de la viande hallal et casher et autres affaires des menaces islamiques en France, en somme d’une campagne pour diaboliser les Musulmans afin de diviser la population et fasciser progressivement la société française en crise ?
Se peut-il que l’Etat ait choisi de souffler sur les braises des banlieues en les poussant dans le sens Merah égale la défense des Palestiniens, des Irakiens et des Afghans, des Musulmans, pour mieux pousser les « bons français » dans le sens « Etat sauve moi », comme au moment des incendies de voitures et de la révolte des banlieues attisée par Sarkozy ? Est-ce cela la nouvelle politique des classes dirigeantes françaises pour faire face à la crise économique et à ses conséquences sociales et politiques, pour éviter que la révolte ne se tourne contre ces classes dirigeantes ? A-t-on vu durant toute cette affaire une nouvelle manière de prendre en otage la bonne foi et les bons sentiments des "bons français" ?
Nos autres question vont suivre.... N’hésitez pas à nous transmettre vos questions.
Messages
1. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 30 mars 2012, 08:22, par max
Pourquoi avoir mis en scene nationalement et donc aussi internationalement l arrestation et l excecution d un presume coupable ?
1. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 12 avril 2012, 10:50, par lulu
aucune photo officielle de M.Mehra n’a filtré....La photo du jeune homme en survêt Adidas n’est pas M.Mehra,il existe sans doute des images (vidéos,photos) et enregistrement audio que nous ne verront jamais !! alors tout ça créé le mystère...attention au fake ,cette histoire est suffisamment compliqué et bizarre pour en rajouter.
2. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 30 mars 2012, 11:36, par moshe
Comment se fait-il qu’un journal italien en sache plus que les journaux français et que le quotidien italien "Il Foglio" déclare le lundi 26 mars que l’auteur des tueries de Toulouse et Montauban avait réalisé ses nombreux voyages -Egypte, Turquie, Syrie, Liban, Jordanie, Israël, Afghanistan, Pakistan- sous la protection des services de renseignements français
3. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 30 mars 2012, 18:58
Un jeune homme de 20 ans du même quartier de Toulouse que Mohamed Merah a été condamné hier à trois mois de prison ferme pour avoir fait l’apologie des crimes du tueur au scooter, a-t-on appris aujourd’hui auprès du parquet.
4. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 31 mars 2012, 07:25
Gérard Longuet et Claude Guéant ont annoncé hier qu’ils refusaient l’audition des chefs des services du renseignement demandée par la majorité PS du Sénat après les tueries de Mohamed Merah.
La commission sénatoriale pour le contrôle de l’application des lois souhaitait notamment entendre le 3 avril, Érard Corbin de Mangoux, directeur général de la sécurité extérieure (DGSE), et le lendemain Bernard Squarcini, directeur central du renseignement intérieur (DCRI).
5. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 31 mars 2012, 20:00
Sur le patron de la DCRI :
http://www.rue89.com/2012/03/15/les-zones-dombre-de-squarcini-le-patron-du-fbi-la-francaise-230138
6. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 31 mars 2012, 20:02
Fiché dès 2006, s’il n’était pas poursuivi, c’est qu’il collaborait ...
http://www.francetv.fr/info/mohamed-merah-aurait-ete-fiche-par-les-renseignements-des-2006_78891.html
7. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 31 mars 2012, 20:03
Les nouvelles arrestations, c’est de l’enfumage :
http://www.francetv.fr/info/interpellations-d-islamistes-presumes-coup-de-filet-ou-coup-de-pub-s-interroge-la-presse_78789.html
8. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 31 mars 2012, 20:08
Pourquoi refuser la commission d’enquête ?
http://www.francetv.fr/info/le-gouvernement-refuse-l-audition-des-chefs-du-renseignement-le-ps-s-indigne_78765.html
9. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 31 mars 2012, 20:16
« J’ai appelé le président, une première fois pour lui dire qu’il s’était jeté par la fenêtre. Mais à ce moment là, il bougeait encore. Quelques minutes plus tard, il était mort », déclare Guéant.
10. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 2 avril 2012, 08:39
Comment se fait-il que ces forces de l’ordre qui ont retrouvé dix armes chez Merah ne ressentent pas le besoin de préciser si oui ou non elles ont trouvé l’arme du crime ?
11. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 8 mai 2012, 10:56
Pourquoi avoir attendu plus de 30 heures pour donner l’assaut ?
Le Raid n’est donc pas capable en 30 heures d’aller chercher un individu seul dans un appartement ?
Comment se fait-il que la meilleure unité de la police ne réussisse pas à arrêter un homme tout seul ?
Pourquoi les policiers ne sont-ils pas parvenus à pénétrer chez Merah lors d’une première tentative ?
Quand Mohamed Merah apparaît-il la première fois dans l’enquête ?
Pourquoi la liste des adresses IP n’a pas été récupérée plus tôt ?
Quand le lien adresse IP – Mohamed Merah est-il fait ?
Pourquoi le Traqueur du scooter volé n’a-t-il pas fonctionné ?
Quel rôle de la DCRI dans tout cela ?
Comment Mohamed Merah a-t-il pu passer les contrôles israéliens ? Q’allait-il faire en Israël, où il ne serait resté que « quelques jours » ? Comment, ensuite, a-t-il pu entrer en Syrie avec un visa israélien sur son passeport ?
12. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 8 mai 2012, 11:07
"Ne vivez pour l’instant que pour les questions. Peut-être simplement en les vivant, finirez-vous par entrer insensiblement, un jour, dans les réponses."
Rainier Maria Rilke
Lettres à un jeune poète
13. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 8 mai 2012, 18:39, par Bilsens
Le RAID a utilisé 300 balles dans le vide ???!!! mdr. C’est un sniper qui a buté Merah. Une équipe d’élite aussi forte que des soldats en plastique qui tirent dans le vent !! Merah seul a réussi à ne pas se prendre de balle ?? Mais on se fout de qui ? Beaucoup de question...
14. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 8 mai 2012, 18:42, par Louis
Que d’éléments étranges dans cette histoire : 1) Un suspect qui a été formellement identifié comme un homme aux yeux bleus avec un tatouage sur le visage, et la finalité est que cette personne n’a rien de ces critères. 2) Comment un jeune homme de 24 ans qui vivait... somme toute assez normalement peut il, seul de surcroît, organiser en si peu de temps un tel carnage ? 3) Supposons, (et je précise bien que ce n’est qu’une éventualité, officiellement l’enquête est toujours en cours) que ce jeune homme soit le réel et seul coupable, comment est ce possible d’échapper aux services de police aussi facilement et dans le même temps, faire des fautes tellement grossières, comme aller chez un simple concessionnaire à visage découvert pour faire repeindre son scooter après que la France entière ai entendu qu’il s’agissait d’un deux roues blancs et faire enlever le système de localisation, ou encore retourner tranquillement chez lui en sachant par les médias qu’il est activement recherché en étant devenu l’enemmi public numéro 1 ? 4) Comment les services d’interventions n’ont ils pas pu savoir où il était dans l’appartement que le présumé coupable occupait avec toute la technologie qu’ils possèdent et surtout, dans un appartement de 30 M2 ? 5) Comment le ministre de l’interieur Claude Guéant a t il pu déclarer que le présumé coupable est mort en chutant de son balcon, alors que celui-ci habitait au rez de chaussé ?
15. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 16 mai 2012, 07:17
Il est fondamental pour l’enquête d’obtenir les conversations entre Mohamed Merah - auteur de sept assassinats avant d’être tué le 22 mars à Toulouse - et le Raid qui a mené le siège et l’assaut contre lui, a estimé lundi l’avocat de la première victime du "tueur au scooter".
La famille d’Imad Ibn-Ziaten, le premier des militaires tué par Mohamed Merah le 11 mars, et leur avocat ont été reçus lundi après-midi par les juges d’instruction antiterroristes chargés de l’enquête à Paris.
"Entre le moment où les policiers du Raid sont intervenus et le lendemain avant le décès, se sont échangées un certain nombre de paroles", a rappelé Me Mehana Mouhou.
Ces enregistrements "ne sont pas au dossier mais ça y sera, je n’ai aucune crainte dans la mesure où c’est une pièce capitale de la procédure pénale puisque Mohamed Merah a donné des précisions sur la façon dont les crimes ont été commis et sur la revendication de ces crimes", a-t-il ajouté.
Si ces pièces devaient être classées secret-défense, une demande de déclassification serait faite : "les juges d’instruction ont à coeur d’obtenir l’ensemble de ces pièces, on ne peut pas avancer si l’on n’obtient pas ces enregistrements", a dit Me Mouhou.
Plus généralement, la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) "n’a pas intérêt à cacher des éléments de la procédure", a-t-il estimé.
Parallèlement, "des commissions rogatoires ont été lancées pour connaître le financement qui a permis d’acheter l’arsenal militaire (...) et rechercher d’éventuels complices nationaux ou internationaux", a dit l’avocat.
Qu’on en soit encore à demander les conversations avec le RAID en dit long...
16. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 11 juin 2012, 18:03
Le père de Mohamed Merah a mis sa menace à exécution lundi en déposant une plainte à Paris pour « meurtre avec circonstances aggravantes » visant implicitement la hiérarchie de la police française qui a ordonné l’assaut contre le « tueur au scooter ».
« C’est une plainte contre X pour meurtre avec circonstances aggravantes visant dans les faits des gens ayant donné des ordres à la tête de la police nationale » lors de l’assaut le 22 mars à Toulouse, a déclaré Me Isabelle Coutant-Peyre, qui assiste l’avocate algérienne du père de Mohamed Merah, Me Zahia Mokhtari.
Le père du « tueur au scooter », Mohamed Benalel Merah, avait annoncé fin mars son intention de porter plainte.
« Nous attendons de la justice française ni plus ni moins que de dissiper le flou qui entoure cette affaire », a déclaré Me Mokhtari. « Nous n’avons pas déposé cette plainte sans avoir de preuves. Nous avons des preuves que vous allez découvrir bientôt ».
Début avril déjà, elle avait dit détenir des preuves de « la liquidation » de Mohamed Merah par le Raid (unité d’élite de la police française), évoquant deux vidéos identiques de 20 minutes chacune, probablement filmées par Merah lui-même. Selon son entourage, Mohamed Merah aurait envoyé ces vidéos à l’aide de son iPhone à son père.
Me Coutant-Peyre a précisé lundi que ces vidéos seraient « mises à disposition des autorités quand elles en feront la requête ».
Entre les 11 et 19 mars, Mohamed Merah, 23 ans, a froidement assassiné sept personnes : trois soldats parachutistes, trois écoliers et un enseignant juifs à Montauban et Toulouse. Il avait été tué le 22 mars lors de l’intervention des policiers du Raid dans son appartement à Toulouse, après 32 heures de siège.
« Vous avez 300-400 personnes surarmées et un type tout seul enfermé dans son appartement. Rien que ça suffit pour se poser des questions », a estimé lundi Me Coutant-Peyre.
17. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 12 juin 2012, 22:18
Quels contacts entretenaient les renseignements français avec Mohamed Merah avant ses tueries ? L’avocate algérienne de son père affirme détenir deux vidéos, réclamées par la justice française, qui prouveraient que le « tueur au scooter » a été manipulé.
Mohamed Merah, affirme avoir découvert juste avant sa mort qu’un de ses amis, qu’il pensait être un jihadiste, était un agent des services français, selon deux vidéos dont un quotidien algérien affirme avoir obtenu une transcription.
Ces enregistrements, qui n’ont pas été rendus publics, auraient été réalisés par « le tueur au scooter » au moment où la police assiégeait son appartement toulousain et sont cités à l’appui d’une plainte pour meurtre déposée lundi à Paris par les avocates du père de Merah, Mes Zahia Mokhtari et Isabelle Coutant-Peyre.
18. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 13 juin 2012, 05:46
La justice réclame les vidéos envoyées par mohamed merah mais pourquoi ne demande-t-elle pas les enregistrements de merah dialoguant avec le raid ?????
19. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 13 juin 2012, 05:52
Un ancien patron du contre-espionnage, Yves Bonnet, s’était ouvertement interrogé sur un éventuel rôle d’indicateur que Merah aurait pu jouer. Mais Bernard Squarcini, alors chef de la DCRI, avait démenti fin mars que l’homme qui avait abattu de sang-froid sept personnes à Toulouse et Montauban entre les 11 et 19 mars ait été un « indic ». Ce que l’ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant avait également « totalement exclu ».
Une source policière a affirmé mardi que Merah a « pu être traité » directement de Paris par un agent de la DCRI — proche de Bernard Squarcini — car localement « ce n’était pas possible avec six agents travaillant sur une trentaine d’objectifs ». Cet agent a « effectué des séjours à Toulouse dans cet esprit », selon elle, ce « qui ne veut pas dire que Merah a été un indicateur ».
Merah, selon plusieurs autres sources policières du Renseignement, avait « le profil de cette minorité » de Français parfois « envoyés par les services secrets “faire le djihad” » sous « divers prétextes et parfois sous différentes pressions aussi ». Selon ces sources policières du renseignement, cette information est toutefois « difficilement vérifiable ».
20. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 13 juin 2012, 21:58
La PJ a saisi les coordonnées d’un policier dans la planque de Merah. Que faisait cette petite carte de visite, pliée en deux, sur le sol du box du boulevard de Grande-Bretagne ? Le parking souterrain où l’assassin cachait son scooter est un endroit où l’on ne s’attend pas à trouver les coordonnées d’un collègue chargé de la protection... du chef de l’État. Sur le morceau de bristol figurent pourtant une identité, un numéro direct au palais de l’Élysée, ainsi que la mention d’un service : le GSPR (Groupe de sécurité de la présidence de la République).
21. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 9 juillet 2012, 08:36
Les familles se disent « scandalisées » après la diffusion des extraits des conversations entre l’assassin de leurs proches et les policiers. Une enquête pour violation du secret de l’instruction a été lancée.
1. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 10 juillet 2012, 03:02
Où est l’intégralité des enregistrements ? Est-elle entre mes mains de la justice ? Ou de qui ?
22. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 10 juillet 2012, 08:00
Tout ce que cela montre c’est que le RAID n’a lâché qu’une dizaine de minutes sur des heures d’enregistrement et donc que ces enregistrements nuisaient à la démonstration !
23. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 10 juillet 2012, 09:07, par max
Qui peut organiser les fuites ?
A part l Etat et ses barbouzes.
Qui y a interet a part ceux qui ont organise le meutre d’ un homme ?
24. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 10 juillet 2012, 13:07
Les fadettes de Mohamed Merah ont parlé. Les factures détaillées de son numéro de portable apportent leurs lots de révélations. On y apprend que la DCRI a eu huit contacts téléphoniques avec le tueur de Toulouse et Montauban entre le 22 octobre 2011 et le 19 mars 2012, jour où le djihadiste a assassiné quatre personnes, dont trois enfants, à l’école confessionnelle Ozar-Hatorah à Toulouse.
Ce 19 mars 2012, alors que le terroriste venait de commettre ses crimes, il reçoit deux appels qui sont directement transférés sur son répondeur, l’un à 10 h 49, l’autre à 12 h 2, soit quelques heures seulement après l’effroyable tuerie. Les fonctionnaires l’avaient-ils déjà identifié comme suspect ? Si oui, pourquoi avoir attendu qu’il se retranche chez lui, deux jours plus tard, pour procéder à son interpellation ?
Certains policiers de la DCRI sont soupçonnés par la Justice d’avoir fait fuiter, à TF1, l’enregistrement audio des négociations entre Mohamed Merah et un agent local de la centrale du renseignement, laissant croire à une faute personnelle de ce fonctionnaire pour sauver l’institution. À la lecture des fadettes, le mystère demeure entier concernant les liens entre la DCRI et Mohamed Merah.
25. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 12 juillet 2012, 17:08
Une dizaine de minutes ont donc été diffusées alors que TF1 dit détenir quatre heures et demi ! C’est ce qu’ils appellent de l’information...
Quant à l’enregistrement d’origine qui ne nous sera peut-être jamais révélé ni même à la justice, il comprendrait 32 heures d’enregistrement, rien que ça !
Mais là, c’est top secret car cela démontrerait peut-être le contraire de ce que le RAID, la DCRI et l’Etat français prétendent
26. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 8 août 2012, 16:04
Deux avocats de familles des victimes de Mohamed Merah ont jugé, mercredi 8 août, que les documents déclassifiés de la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) étaient "insuffisants" pour connaître la vérité sur les tueries de Toulouse et Montauban. Ils ont demandé la déclassification "des documents d’autres services".
Les trois juges antiterroristes - Christophe Teissier, Laurence Le Vert et Nathalie Poux - qui enquêtent sur les crimes de Merah, ont reçu vendredi les documents secrets déclassifiés de la DCRI. Le ministère de l’intérieur a accepté la déclassification des documents demandée par les juges et l’ensemble des familles des victimes, "à l’exception des pièces et informations qui pourraient remettre en cause l’indispensable confidentialité des données relatives à l’organisation".
27. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 24 octobre 2012, 05:05
« Suivi par les services « depuis 2006 », Merah, pourtant « incarcéré entre décembre 2007 et septembre 2009 », faisait l’objet d’une fiche de mise en attention (une fiche « s » pour signalement) qui été désactivée de façon « inopportune », se désolent poliment les rédacteurs du rapport, Guy Desprats et Jérôme Léonnet. Il faudra attendre janvier 2011, après l’arrestation de Merah en Afghanistan un mois plus tôt, pour qu’une enquête soit réclamée.
L’entretien d’évaluation pratiqué ensuite par un agent de la DCRI de Toulouse est indigent. Au point que l’IGPN préconise de « professionnaliser » la chose et imagine un possible recours aux « détecteurs de mensonges ». « De nombreux services étrangers l’utilisent », se justifient les rapporteurs. Ils se donnent également beaucoup de mal pour laisser entendre que Merah n’était pas un indicateur des services qui s’est retourné contre ceux qui auraient pu tenter de le manipuler… »
Qui dit cela ? C’est robert Paris ?
Non ! C’est Le Figaro du 23/10/2012. Voir ici
28. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 1er novembre 2012, 20:09
Merah : « Toute la lumière sera faite », assure Hollande. Cela signifie que depuis tout ce temps la lumière n’est toujours pas faite !
29. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 14 novembre 2012, 21:27
Extraits :
Martine (1) d’une voix troublée par une émotion bien légitime lâche cette phrase qui laisse tout le monde sans parole : « J’ai vu le tueur des parachutistes. » Il est 17 heures et des poussières hier à Montauban à quelques mètres à peine de l’endroit où trois parachutistes du 17 e RGP ont été mitraillés jeudi en tout début d’après-midi.
Un tatouage sur la joue gauche
…
« Je faisais des courses. Je sortais de la pharmacie, j’allais au bureau de tabac lorsque le tueur m’a bousculée. Il s’est retourné et, dans le mouvement, la visière de son casque s’est relevée de quelques centimètres. J’ai alors aperçu un tatouage ou une cicatrice au niveau de sa joue gauche. J’ai aussi entrevu ses yeux à travers la visière. Il avait un regard froid, d’une lucidité effrayante. Un regard que l’on n’oublie pas. »
« De taille moyenne, assez corpulent »
…
« Il était de taille moyenne, un mètre soixante-dix environ et assez corpulent. Si ce n’est cette marque sur le visage, je n’ai pas vu d’autres signes distinctifs particuliers. »
Merah n’a ni tatouage ni n’est de taille moyenne ni n’est corpulent
Cherchez l’erreur !
30. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 15 novembre 2012, 06:48
Mohamed Merah avait « une profonde détestation » de la police et du « système dans son ensemble » pour être un agent de la DCRI, assure Abdelghani Merah, un des frères du tueur au scooter. Ce frère aime tellement la police qu’il défend la thèse adverse....
31. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 18 novembre 2012, 08:55
Ainsi, de la bouche même de l’un des pontes, et non le moindre, de la DCRI, nous apprenons que Mérah, délinquant multirécidiviste, passe d’un pays à l’autre sans la moindre difficulté grâce à son passeport de la République. Une interrogation seulement ! Merah ne pouvait entrer en Israël avec un visa syrien (obligatoire), ni entrer en Syrie avec un tampon israélien sur son passeport… Rappelons que l’état de belligérance n’ayant jamais cessé depuis 1948 entre la Syrie et l’État hébreu l’on ne passe pas d’un pays à l’autre avec un document visé officiellement dans l’un des deux pays en guerre perpétuelle. Pourtant les Services spéciaux du Shin Bet, l’équivalent israélien de la DCRI [Haaretz du 26mars], confirme la chose ! Comment expliquer ce tour de passe-passe ? Est-ce à dire que Merah possédait deux passeports ? La question se pose, tout comme celle de connaître la source des moyens financiers avec lesquels il pouvait s’offrir des voyages forcément coûteux— s’ils ont réellement tous eu lieu— au-delà de l’Égypte, d’Israël et de la Jordanie. Et qu’allait-il donc faire en Israël ? Acquérir les rudiments dans le maniement des armes— du pistolet mitrailleur compact 8mm parabellum Uzi par exemple ? Une teinture d’expérience qu’il n’aurait pas acquise au Waziristân en cours particuliers, surtout s’il n’y a jamais mis les pieds. Ici, l’on peut supposer que M. Squarcini s’est encore laissé aller à des révélations inconsidérées suscitant plus de curiosité que de certitudes apaisantes.
Doit-on finalement en déduire que si Merah, déjà connu conjointement des services de police et de la sécurité nationale, bénéficie d’une aussi longue lisière [laisse] lui permettant de se rendre dans les zones chaudes du Proche-Orient et de l’Asie centrale, ce serait évidemment parce qu’il serait une honorable recrue de la DCRI.
32. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 20 novembre 2012, 02:20
Et c’est là qu’on arrive à la dernière invention, celle du « mentor » de Mohamed. Selon les informations des Français, ce « mentor », qui répondrait au nom de Guersallaoui Moez, serait de nationalité tunisienne. Il aurait été retrouvé mort. Bizarre. Quand Mohamed Merah a voulu divulguer la vérité, il a été exécuté et son « mentor » est mort aussi.
33. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 24 novembre 2012, 09:28
Le Point :
Questions à la soeur de Merah :
Que savez-vous des liens entretenus par votre frère avec les policiers de la DCRI ?
Quelques jours après le retour de son second voyage au Pakistan, j’ai reçu un appel d’un un homme se présentant comme un officier de police et qui cherchait à joindre Mohamed. Je lui ai répondu qu’il était hospitalisé. Plus tard, Mohamed l’a rappelé pour prendre rendez-vous avec lui. Quelques jours après cet appel, j’ai déposé mon frère qui était convoqué rue du Rempart-Saint-Étienne (le siège de la Direction régionale du renseignement intérieur, NDLR). Dans la voiture, il m’a dit : "S’ils me proposent de bosser pour eux, je bosse pour eux." Je lui ai dit : "Tu vas devenir une balance ?" Il ne m’a pas répondu. Mais à son retour de l’entretien, il m’a dit qu’on lui avait "seulement posé des questions sur ses voyages". Après la mort de Mohamed, la jeune femme avec laquelle il s’était marié religieusement m’a raconté avoir surpris plusieurs conversations téléphoniques entre cet officier de police et mon frère. Le ton de leurs conversations était amical.
Avez-vous été élevés dans la haine des juifs ?
Souad Merah : Pas du tout. Ni Kader, ni moi, ni Mohamed n’avons été élevés avec cette haine qu’Abdel prétend. On n’est pas du tout antisémites, on n’est pas du tout haineux de qui que ce soit. Mon frère Kader est tolérant. Par exemple, avant de rentrer dans l’islam, il a fait des recherches sur le judaïsme. Ça l’a même poussé à faire des démarches pour se convertir. Ça n’a pas abouti parce que c’était trop compliqué d’intégrer la religion juive. Mais il s’est renseigné auprès de rabbins, auprès de l’épicier casher. Souvent il allait discuter avec lui. Finalement, il est allé vers l’islam parce que cette religion demande juste de reconnaître le prophète. S’il était vraiment antisémite je ne pense pas qu’il aurait entrepris cette démarche.
Il a vraiment failli se convertir ?
Oui, il était vraiment intéressé. Moi je ne comprenais pas ; pour moi, c’était logique d’être musulman. Lui, non, il s’intéressait beaucoup à cette religion.
34. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 7 janvier 2015, 21:02, par F. Kletz
L’Affaire Merah et l’Affaire CHarlie Hebdo, la même chose ? Les Massacres des militaires ou des gendarmes laissent des orphelins dans les deux cas. Là, des journalistes sont tués, et pas n’importe lesquels. Un antimilitariste (Cabu) est annoncé comme mort. Ce n’est pas rien. Des gendarmes (fort peu) alors qu’un attentat a eu lieu il y a plusieurs années. Là, il restait une surveillance minimale, alors que les grands moyens avaient été déployés suite au précédent attentat.
Le pire, ce sont les mensonges qui tournent autour de ce nouveau massacre. On veut nous faire croire que Charlie Hebdo se battait pour la liberté d’expression. La liberté d’expression ? Il suffit d’essayer de dire autre chose que le boss à l’usine ou au bureau, on va en reparler. Il n’y a pas de réelle liberté d’expression en France, ni ailleurs dans le monde. Les entreprises font régner un régime de terreur, public comme privé. Et beaucoup prennent des anxiolytiques, des anti-dépresseurs. Certains se laissent mourir dans l’alcoolisme, quand d’autres se défenestrent. Et on parle de liberté d’expression ? Liberté de mourir en silence, ça oui, mais pas de liberté d’expression, sinon la révolution serait à l’ordre du jour !
Revenons au massacre. Soyons clairs : le massacre est abject. Mais ce qui me chiffonne, c’est que les assassins ont pu regagner le périf sans aucun souci, alors que le président est vite arrivé pour causer, pendant que les tueurs se volatilisaient. Alors que la France vend des chars et des avions à presque toutes les armées du monde, y avait-il un seul hélico pour repérer la voiture en fuite ? bizarre, non ?
1. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 8 janvier 2015, 15:03, par Robert Paris
On relèvera toujours des bizarreries dans l’attitude des forces de l’ordre à l’égard des terroristes... Le plus souvent, ils savaient déjà qu’ils l’étaient. Ils savaient leur nom, leurs activités et même ils les utilisaient comme leurs agents. Merah comme Ben Laden ou encore les chefs islamistes du Mali, de Syrie ou d’Irak étaient des agents de l’Etat des pays occidentaux (USA, France...) qu’ils prétendaient combattre. Ils s’étaient formés dans leurs prisons. Ils servaient de contacts, pour négocier, pour manipuler... Un des agresseurs de Montrouge ce matin a été arrêté par les passants et disculpé par les forces de l’ordre sans autre explication. Pourtant tous les témoins disent qu’ils l’ont vu agir mais les forces de l’ordre n’ont pas expliqué que c’était un des leurs...
L’important n’est pas d’être au courant des petites et grosses magouilles des services spéciaux des forces de l’ordre mais de comprendre le contexte politique et social de la situation qui nécessite d’employer de telles méthodes.
C’est-à-dire qu’il faut relier les attentats et les guerres qui se multiplient à la crise mondiale du capitalisme. c’est ce lien qu’il est fondamental de comprendre.
35. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 9 juin 2015, 09:06
Le père de l’une des victimes accuse les services secrets français d’avoir versé 30 000 euros à Mohamed Benalel Merah en échange de vidéos compromettantes.
Le père de Mohamed Merah aurait monnayé la remise aux services secrets français de deux vidéos d’une durée de 20 minutes chacune qu’il détenait depuis la mort de son fils. Celles-ci montreraient les dernières minutes de la vie du terroriste pendant lesquelles il expliquerait ses collaborations avec les services de renseignements français.
Albert Chennouf-Meyer, le père d’Abel Chennouf, une des victimes assassinées par Mohamed Merah, a déposé plainte pour destruction de preuves. Le parquet de Paris vient juste de décider de l’entendre sur l’ensemble de ces faits. Cela vient après qu’il a dénoncé la lenteur de traitement de sa plainte.
36. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 1er septembre 2015, 20:43
Je vous signale que le site « Les morbaks véners » vous catalogue au même niveau que l’extrême droite, les fascistes et les homophobes violents et autres islamistes !!!
37. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 1er septembre 2015, 20:44
Cher lecteur,
Merci de l’info et elle discrédite déjà suffisamment ce site...
Le simple fait que ce site dresse de tels catalogues sans citer les textes qu’il conteste et les discuter est déjà tout un programme.
Ensuite, il faudrait voir si eux-mêmes ne sont à mettre dans le catalogue puisqu’être antifasciste, c’est voir dans le fascisme un plan donc une conspiration des classes dirigeantes !!!
Le simple fait de dire que l’impérialisme manipule le terrorisme leur déplait et pourtant c’est un fait reconnu : Al Qaïda made in USA, non ?
38. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 2 septembre 2015, 10:23
Quand même, faut-il se laisser faire ? Cette méthode n’a rien à voir avec l’anarchisme et relèverait plutôt du stalinisme. Elle serait à dénoncer sur tous les sites anarchistes ! Vous êtes jetés au panier et vous n’êtes pas les seuls : par exemple, le site Le Grand Soir est mis dans le même sac lui aussi que les fascistes et autres sites orduriers !!!
39. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 2 septembre 2015, 10:26, par Robert Paris
Je leur ai fait un message de protestation et ils ne l’ont même pas publié, ce qui donne une bonne idée de la valeur de ces gens-là.
Sur le fond, leur position mettant dans le même sac tous les courants qui veulent dévoiler la politique de l’impérialisme occidental est une position politique. Elle mène à camoufler ce rôle et c’est normal qu’ils nous considèrent alors comme des adversaires politiques, même si leur manière de contrer des adversaires, sans les citer ni les critiquer et sans leur donner le moindre droit de réponse, est plus que désagréable...
40. Qui est Mohamed Merah ? Qu’a-t-il fait ? Que voulait-il ? Que cherche l’Etat français et quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Y a-t-il des buts cachés ? L’affaire criminelle de Toulouse en cent questions., 12 juillet 2016, 14:06
La défaillance des services de renseignement est notamment pointée du doigt par le tribunal administratif de Nîmes, qui avait été saisi par la famille du caporal-chef Abel Chennouf, tué le 25 mars 2012 à Montauban.
L’État s’est donc rendu coupable de négligence dans la surveillance du djihadiste Mohamed Merah, assassin en mars 2012 de trois militaires, puis dans une école juive toulousaine d’un père de famille et de trois enfants. Le tribunal administratif de Nîmes (Gard) a rendu mardi un jugement en ce sens, jugeant l’État responsable pour un tiers dans la mort d’Abel Chennouf, deuxième victime de Merah. « Le tribunal juge que la responsabilité de l’État est susceptible d’être engagée pour faute simple des services de renseignement dans l’exercice de leur mission de prévention des actions terroristes et de surveillance des individus radicaux », explique-t-on au tribunal administratif de Nîmes.
Saisie par la famille du caporal-chef Abel Chennouf, 25 ans, tué le 15 mars 2012 à Montauban (Tarn-et-Garonne), la justice a estimé que « la décision de supprimer toute mesure de surveillance de Mohamed Merah, prise à la fin de l’année 2011 (…) alors notamment que Mohamed Merah avait déjà fait une première victime quatre jours avant l’assassinat d’Abel Chennouf (constitue une faute qui) a compromis les chances d’empêcher l’attentat et fixe à un tiers la part de responsabilité de l’État », justifie le tribunal administratif de Nîmes dans un communiqué.