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C’est prouvé : les OGM cancérisent, rendent malades, infectent la progéniture, tuent, menacent la vie !

jeudi 20 septembre 2012, par Robert Paris

C’est prouvé : les OGM cancérisent, rendent malades, infectent la progéniture, tuent, menacent la vie !

Une étude réalisée par une équipe française montre que le maïs OGM NK 603 et l’herbicide Roundup de Monsanto sont très toxiques. Ce maïs est actuellement autorisé dans l’Union européenne.

Depuis le début des années 2000, le maïs NK603 de Monsanto est autorisé dans l’Union européenne aux fins d’utilisation dans l’alimentation animale et de traitement industriel.

Depuis 2005, la mise sur le marché d’aliments et d’ingrédients alimentaires issus de cet OGM est également autorisée.

Les produits contenant des OGM, tels les popcorn, sont étiquetés de façon à ce que le consommateur sache s’il consomme des OGM ou non.

Une étude scientifique française le prouve : en seulement deux ans, le maïs Monsanto peut tuer, cancériser, détruire des êtres vivants ! Les rats nourris au maïs OGM Monsanto développent des cancers massifs très rapides et tout particulièrement pour les femelles qui sont beaucoup plus atteintes. La toxicité se révèle massive, systématique et rapide…

Deux cents rats ont été nourris pendant deux ans avec un maïs OGM NK603, traité dans certains cas avec l’herbicide Roundup. Ces deux produits sont la propriété du groupe américain Monsanto, la plus grande firme mondiale de semences transgéniques. « Pour la première fois au monde, un OGM et un pesticide ont été évalués pour leur impact sur la santé plus longuement que les agences sanitaires, les gouvernements et les industriels ne l’ont fait », a affirmé le professeur Seralini.

Selon lui, le NK603 n’a jusqu’alors été testé que sur une période de trois mois, une période trop courte pour détecter l’apparition des tumeurs. Quelques OGM ont déjà été testés à trois ans, mais jamais avec des analyses aussi approfondies. C’est la première fois, selon M. Seralini, que le Roundup est testé sur le long terme. Jusqu’à présent, seul le principe actif du Roundup sans ses adjuvants avait été testé plus de six mois.

Des tumeurs grosses comme des balles de ping-pong sur des rats nourris avec un maïs OGM du géant américain Monsanto : une étude choc de chercheurs français relance le débat sur les organismes génétiquement modifiés, au moment où la France se bat contre leur culture en Europe.

« Pour la première fois au monde, un OGM et un pesticide ont été évalués pour leur impact sur la santé plus longuement et plus complètement que par les gouvernements et les industriels. Or les résultats sont alarmants », résume Gilles-Eric Séralini, professeur à l’université de Caen, pilote de l’étude.

Dans le plus grand secret, les universitaires de Caen ont suivi pendant deux ans un groupe de rats témoins ainsi que 200 rats qu’ils ont répartis en trois grands groupes : le premier a été nourri avec un maïs OGM NK603 seul, le second avec ce maïs OGM traité au Roundup, herbicide le plus utilisé au monde, et le troisième avec du maïs non OGM traité avec cet herbicide. Le maïs était introduit au sein d’un régime équilibré dans des proportions représentatives du régime alimentaire américain.

« Le premier rat mâle nourri aux OGM meurt un an avant le premier témoin. Le première femelle huit mois avant. Au 17e mois, on observe cinq fois plus de mâles nourris avec 11% de maïs (OGM) morts », détaille le professeur, qui a déjà signé plusieurs études sur le sujet, mais sur la base de données sur quatre-vingt dix jours fournies par les industriels.

L’étude devait être mise en ligne mercredi à 15 heures par la revue Food and Chemical Toxicology, qui a déjà publié des études de Monsanto affirmant la non toxicité des OGM.

Si les chercheurs ont travaillé en même temps sur le maïs OGM NK603 et le Roundup, deux produits commercialisés par Monsanto, c’est que les OGM agricoles sont modifiés pour tolérer ou produire des pesticides : 100% des OGM cultivés à grande échelle en 2011 sont des plantes à pesticides, dit Gilles-Eric Séralini.

« Les résultats révèlent des mortalités bien plus rapides et plus fortes au cours de la consommation de chacun des deux produits », résume le chercheur, qui fait ou a fait partie de commissions officielles sur les OGM dans 30 pays. Les universitaires ont observé par exemple une mortalité deux à trois fois plus élevée chez les femelles traitées et deux à trois fois plus de tumeurs chez les rats traités des deux sexes. « A la dose la plus faible de Roundup (...) on observe 2,5 fois plus de tumeurs mammaires », souligne le professeur.

« Le crime, c’est que ça n’ait pas été testé avant, que les autorités sanitaires n’aient pas exigé des tests plus longs alors qu’on est à quinze ans de commercialisation des OGM dans le monde », a commenté Gilles-Eric Séralini. Selon lui, le NK603 n’avait jusqu’alors été testé que sur une période de trois mois et c’est la première fois que le Roundup est testé sur le long terme avec ses adjuvants.

Voilà ce qu’écrit le journal Libération :

Des tumeurs grosses comme des balles de ping-pong sur des rats nourris avec un maïs OGM du géant américain Monsanto : une étude choc de chercheurs français relance le débat sur les organismes génétiquement modifiés, au moment où la France se bat contre leur culture en Europe.

« Pour la première fois au monde, un OGM et un pesticide ont été évalués pour leur impact sur la santé plus longuement et plus complètement que par les gouvernements et les industriels. Or les résultats sont alarmants », résume Gilles-Eric Séralini, professeur à l’université de Caen, pilote de l’étude.

Dans le plus grand secret, les universitaires de Caen ont suivi pendant deux ans un groupe de rats témoins ainsi que 200 rats qu’ils ont répartis en trois grands groupes : le premier a été nourri avec un maïs OGM NK603 seul, le second avec ce maïs OGM traité au Roundup, herbicide le plus utilisé au monde, et le troisième avec du maïs non OGM traité avec cet herbicide. Le maïs était introduit au sein d’un régime équilibré dans des proportions représentatives du régime alimentaire américain.

« Le premier rat mâle nourri aux OGM meurt un an avant le premier témoin. Le première femelle huit mois avant. Au 17e mois, on observe cinq fois plus de mâles nourris avec 11% de maïs (OGM) morts », détaille le professeur, qui a déjà signé plusieurs études sur le sujet, mais sur la base de données sur quatre-vingt dix jours fournies par les industriels.

L’étude devait être mise en ligne mercredi à 15 heures par la revue Food and Chemical Toxicology, qui a déjà publié des études de Monsanto affirmant la non toxicité des OGM.

Si les chercheurs ont travaillé en même temps sur le maïs OGM NK603 et le Roundup, deux produits commercialisés par Monsanto, c’est que les OGM agricoles sont modifiés pour tolérer ou produire des pesticides : 100% des OGM cultivés à grande échelle en 2011 sont des plantes à pesticides, dit Gilles-Eric Séralini.

« Les résultats révèlent des mortalités bien plus rapides et plus fortes au cours de la consommation de chacun des deux produits », résume le chercheur, qui fait ou a fait partie de commissions officielles sur les OGM dans 30 pays. Les universitaires ont observé par exemple une mortalité deux à trois fois plus élevée chez les femelles traitées et deux à trois fois plus de tumeurs chez les rats traités des deux sexes. « A la dose la plus faible de Roundup (...) on observe 2,5 fois plus de tumeurs mammaires », souligne le professeur.

« Le crime, c’est que ça n’ait pas été testé avant, que les autorités sanitaires n’aient pas exigé des tests plus longs alors qu’on est à quinze ans de commercialisation des OGM dans le monde », a commenté Gilles-Eric Séralini. Selon lui, le NK603 n’avait jusqu’alors été testé que sur une période de trois mois et c’est la première fois que le Roundup est testé sur le long terme avec ses adjuvants.

La suite

Messages

  • Le pop corn est 1 chose mais le mais sert surtout a nourir les animaux d elevage a travers des aliments melanges fabriques par l industrie agroalimentaire !

  • Les landes grenier a mais a tel point qu une expression designe ces habitants comme les "croques mais".

    SUD OUEST Aliment est leader dans l agroalimentaire :

    Le Groupe Coopératif Maïsadour est le premier fournisseur d’aliments pour animaux au Sud de la Loire. Les quatre sites de production sont tous certifiés ISO 9001. Le Groupe produit près de 500 000 tonnes d’aliments pour les volailles, les palmipèdes à foie gras, les bovins, les chevaux, les porcs et les filières animales biologiques. Sur l’Aquitaine, le groupe représente 39 % de parts de marché toutes espèces confondues et 20% sur l’ensemble Aquitaine/Midi-Pyrénées. Le groupe possède 55% de parts de marché en palmipèdes et 46% en volailles sur Aquitaine 46% en volailles sur Aquitaine. Les aliments sont commercialisés sous les marques Passi’O (ruminants), Basse Cour(volailles), Instinct Sauvage, Pyrénal, Destrier et Vivallure pour les chevaux.

    De la sélection à la mise en marché Maïsadour Semences fournit des semences de maïs, de tournesol, de colza et de céréales aux agriculteurs dans plus de 35 pays d’Europe et du bassin méditerranéen Notre filiale maîtrise les trois fonctions essentielles du semencier - la sélection créatrice- la production- la mise en marché sous les marques Maïsadour Semences, Orsem Hybrides et Agrar Semillas Ce savoir-faire nous permet d’accompagner, depuis plus de 40 ans, nos clients agriculteurs et distributeurs pour valoriser leurs filières Créée dans la coopérative Maïsadour au début des années 60, la branche semences a été Semences S.A. allie ainsi la parfaite connaissance des filières agricoles au savoir-faire et à a puissance du premier groupe mondial en semences et protection des plantes.

  • Pourquoi ces coopératifs », censés défendre avant tout’intérêts des agriculteurs ocaux - leurs coopérateurs- veulent à tout prix introduire les OGM en France ?

    On peut trouver un élément de réponse dans un article d’Inf’ OGM de novembre 2010 « Thierry Blandinières directeur général du Groupe Maïsadour, donne des éléments de réponse Dans un discours alambiqué, il évoque le désir des consommateurs qui qui « rejettent les OGM », souhait « qu’il faut accepter », critique Monsanto - un peu d’anti-américanisme, ça passe toujours - mais introduit l’idée que « la solution OGM a quand même quelques atouts : moins de pesticides notamment [...] un rendement amélioré à’hectare de 10 à 20 % »

    La suite sur le site amisdelaterre40

  • Les OGM sont interdits dans les champs français depuis 2008 mais, importés d’Amérique Latine ou des Etats-Unis, ils représentent une part significative dans l’alimentation de près de 80% des élevages, selon les professionnels du secteur.

    "La France est dépendante à 40% pour ses besoins en protéines, essentiellement du soja. Or, sur le marché mondial, le produit standard est OGM", souligne Valérie Bris, responsable de l’alimentation animale chez Coop de France, qui représente 70% des entreprises du secteur.

    Elle souligne que moins d’un quart du cheptel français n’est pas nourri aux produits OGM.

    "A l’inverse, 75 à 80% sont sur de l’alimentation standard, c’est-à-dire clairement indiquée OGM sur l’étiquette", dit-elle.

  • Tous cobayes : un film documentaire a voir !

    De 2009 à 2011, et dans le secret le plus absolu, le Professeur Gilles-Eric Séralini a mené au sein du CRIIGEN*, une expérience aux conséquences insoupçonnables Il s’agit de la plus complète et de la plus longue étude de consommation d’un OGM** agricole avec le pesticide Roundup faite sur des rats de laboratoire. Les conclusions sont édifiantes… Après le terrible accident de Tchernobyl en avril 1986’invisible radioactivité a resurgit avec l’explosion de la centrale de Fukushima en mars 2011, causant des dégâts matériels, humaines et écologiques innommables OGM, Nucléaire : L’Homme s’est approprié ces technologies sans faire de tests sanitaires n environnementaux approfondis alors que la contamination irréversible du vivant est réelle Serions-nous tous des cobayes ?*Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie Génétique.**Le Maïs NK 603 de Monsanto, cultivé sur 80% du so américain, importé en Europe avec le pesticide Roundup.

  • 9 juin : Mobilisation de soutien, ex salarié Nutréa Triskalia
    Le jeudi 9 juin 2016 à 14 heures que se tiendra l’audience du Tass de Saint Brieuc qui devra statuer sur le montant des préjudices qu’ont subis Stéphane Rouxel et Laurent Guillou lors de leurs intoxications par des pesticides sur leur lieu de travail au sein de la coopérative Nutréa-Triskalia de Plouisy en 2009 et 2010.
    Le 11 septembre 2014 le Tass de Saint Brieuc avait déjà condamné l’entreprise pour faute inexcusable de l’employeur
    Ce 9 juin 2016 sera donc un jour très important pour Laurent et Stéphane, mais aussi pour toutes les autres victimes des pesticides.
    Faisons en sorte que cette journée soit un temps fort de mobilisation et de soutien à la hauteur des enjeux !

    association Phyto-Victimes.

  • Dans le cadre d’une action intentée contre Monsanto, la justice fédérale américaine a déclassifié, jeudi 16 mars, plus de 250 pages de correspondance interne de la firme agrochimique, montrant que cette dernière s’inquiétait sérieusement, dès 1999, du potentiel mutagène du glyphosate, principe actif de son produit phare, le Roundup, et molécule phytosanitaire la plus utilisée au monde.

    Or le 15 mars, à la veille de la publication de cette documentation confidentielle, l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) annonçait qu’elle ne considérait le glyphosate ni comme cancérogène ni même mutagène – c’est-à-dire capable d’engendrer des mutations génétiques.

    Pour Monsanto, l’affaire est cruciale : le Roundup est la pierre angulaire de son modèle économique, fondé sur la vente liée de ce pesticide et des cultures transgéniques capables de le tolérer.

    Ces documents internes de la firme de Saint Louis (Missouri) ont été rendus publics dans le cadre d’une action collective portée devant une cour fédérale de Californie par plusieurs centaines de travailleurs agricoles touchés par un lymphome non hodgkinien (un cancer du sang). S’appuyant sur un avis rendu en mars 2015 par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), les plaignants attribuent leur maladie au contact prolongé avec l’herbicide commercialisé par Monsanto.

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