Accueil > 11- CONTRE L’OPPRESSION DES FEMMES - AGAINST WOMEN’S OPPRESSION > Le 8 mars, journée de déclarations de bonnes intentions en faveur des (...)

Le 8 mars, journée de déclarations de bonnes intentions en faveur des femmes, et les lendemains....

mercredi 20 mars 2013, par Robert Paris

Le 8 mars, journée de bonnes intentions en faveur des femmes, et les lendemains…faits d’insultes, de coups, de viols, de violences physiques et verbales, d’exploitation et de mépris ! Quand la coupe est pleine, les femmes se mettent de la partie et cela signifie que la société est grosse de changements radicaux…

Une journée contre les violences envers les femmes et toute l’année d’exploitation par les classes dirigeantes de la division hommes/femmes !

L’oppression de la femme, ce n’est pas autrefois ni ailleurs : c’est maintenant et chez nous !

Le matriarcat, ses causes et sa fin sous les coups de la guerre sociale

Révolte contre les viols que subissent les femmes en Inde

L’oppression des femmes s’aggrave partout dans le monde, en relation avec l’effondrement capitaliste débuté en 2007

Là où les femmes sont particulièrement attaquées, violées, harcelées : Mexique, Inde, Afrique du sud, mais aussi USA, Angleterre, Suède, France....

Les femmes sonnent la révolte

Les femmes domestiques en ont assez d’être traitées en esclaves domestiques et en esclaves sexuels

L’Inde explose contre le viol ! No rape !

La chasse aux femmes est ouverte en France
Les revendications de la suppression de l’oppression des femmes

Films contre l’oppression des femmes

Thèses sur la question de l’oppression des femmes

Les violences faites aux femmes augmentent en France…

La lutte contre l’oppression des femmes est inséparable de la révolution sociale

Les femmes dans la révolution au Maghreb et dans le monde arabe...

Les femmes révolutionnaires dans la Révolution française

Ces femmes de la Commune...

Les femmes dans la révolution au Maghreb et dans le monde arabe...

Femmes du Mali

Le combat des femmes

Bibliographie contre l’oppression des femmes

La chasse aux femmes est ouverte en France

Vive la révolte contre les viols et harcèlements à l’égard des femmes !

Qui était Olympe de Gouges ?

L’Arabie saoudite va-t-elle libérer les femmes par crainte d’être frappée par la révolution arabe ?

Film égyptien à ne pas manquer : les femmes du bus 678

Le bouddhisme et les femmes

Le "socialiste" Proudhon contre les femmes

Quand les femmes s’y mettent, c’est la révolution sociale

Libération des femmes et libération sociale

Un point de vue récent sur l’oppression des femmes

Le stalinisme et l’oppression de la femme

A bas l’excision des femmes !

Messages

  • Rapports officiels de l’Unicef et de l’Onu

    D’après l’UNICEF, la première cause de décès et de blessures dans le monde est la violence faite aux femmes. Au moins une sur trois dans le monde a été battue ou violée. En cette période de crise économique, ce mortel sexisme n’est plus tabou et on en parle parce qu’il coûte à la santé publique. Aux USA on l’estime à 5,8 milliards de dollars par an. En Europe 30 à 40% des blessés qui atterrissent aux urgences sont des femmes battues. Tous les trois jours, une femme en France meurt à la suite de coups de son conjoint. Aux Bangladesh sur 100 femmes qui meurent 18 sont victimes de cette malédiction dont 52% sont enceintes ou viennent de donner naissance à un enfant. D’après un rapport de l’ONU, en 2003 pour le nord de l’Irak seulement on comptabilisait 300 crimes d’honneur et plus de 78% de fillettes interdites d’école sans parler du calvaire des Afghanes qui ont l’espérance de vie la plus basse de la planète. Et ces milliers d’Algériennes violées tuées par les terroristes absentes des statistiques officielles et non officielles etc. « La violence à l’égard des femmes se rencontrent dans toutes les conditions sociales et économiques et elle est profondément enracinée dans les cultures du monde entier, à tel point que des millions de femmes y voient un mode de vie. »

  • L’avortement a été autorisé pour la première fois en URSS dans les années 60. Il s’est étendu aux pays développés pendant les années 70 mais il n’existe toujours pas en Pologne, Irlande et dans la plupart des pays en développement tant en Amérique du Sud et Centrale qu’en Afrique. Au Brésil, l’avortement est autorisé s’il y a eu viol ou si le fœtus est considéré non viable ; toutefois une femme dont le fœtus avait des pathologies graves n’a pas été autorisée par un tribunal à avorter. Partout dans le monde les droites anti-avortement, traditionalistes et religieuses se mobilisent contre les droits des femmes dont celui d’avorter...

    Par exemple, il est attaqué au Canada... Près d’un quart de siècle après son adoption, le droit à l’avortement déchaîne toujours les passions au Canada. Plutôt que d’attaquer de front l’IVG, le gouvernement a laissé un député de sa majorité, Stephen Woodworth, présenter mercredi une proposition de loi sur les droits du fœtus. « Le ministère de la Condition féminine, au lieu de protéger le droit des femmes, est en faveur de rouvrir un débat qui n’est plus d’actualité », s’est indignée à Radio-Canada la députée du Bloc québécois, Maria Mourani, inquiète de « se retrouver au Moyen Âge ».

    Les groupuscules pro-vie multiplient les manifestations contre ce droit en France et ailleurs dans le monde, là où la loi existe. En mai au Canada à l’initiative de 21 députés et de plusieurs chefs religieux, une manifestation est organisée à Ottawa. De nombreux jeunes sont venus de Toronto dans des bus affrétés par des écoles catholiques. Le 30 mai en Pologne, une marche pour la défense de la vie et de la famille rassemble 6000 personnes. En Espagne, l’opposition dépose un recours contre la nouvelle loi légalisant l’IVG auprès du tribunal constitutionnel arguant qu’elle est contraire à l’article 15 de la constitution qui reconnaît que « tous ont droit à la vie ». Le 29 juin, la Cour Constitutionnelle allemande a autorisé les militants anti IVG à protester devant les cabinets des médecins pratiquant l’IVG si « les patients ne sont pas fustigés et les droits à la personne des gynécologues ne sont pas atteints ».

    Le droit à l’avortement encore limité dans les trois quarts des pays.

    Dans une majorité de pays, la loi n’autorise l’avortement que dans des conditions exceptionnelles : lorsque la vie de la mère est menacée (possible dans 98 % des pays) ou lorsqu’il y a un risque pour la santé physique ou mentale de la mère ou de l’enfant (68 %). Seuls 56 pays (28 %) permettent les interruptions de grossesse non motivées, en accompagnant en général ce droit d’un délai (par exemple, en France, la grossesse ne doit pas dépasser 12 semaines).

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.