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Retraites : à nouveau une intersyndicale qui va diriger le mouvement… vers le mur ?!!!

mardi 4 juin 2013, par Robert Paris

Retraites : à nouveau une intersyndicale qui va diriger le mouvement… vers le mur ?!!!

Les centrales qui ont été divisées sur la prétendue « flexi-sécurité de l’emploi » de l’ANI, sur la lutte à PSA-Aulnay, sur l’accord à Renault, sur la lutte contre les licenciements à Goodyear prétendent à nouveau se retrouver unies dans la contestation de la politique du gouvernement sur les retraites en même temps qu’elles entendent participer aux consultations sociales qui précèdent cette politique gouvernementale de remise en cause des retraites (âge réel de départ, nombre de mois de cotisation, pensions et cotisations de retraite).

Loin de remettre en question les attaques précédentes contre les retraites, le gouvernement de gauche entend les aggraver à sa manière. Il prétend, exactement comme les précédents, que ce serait la seule manière de « sauver les retraites », exactement comme les précédents et aussi comme il a prétendu « sauver l’emploi », « sauver la recherche », « sauver l’enseignement », « sauver la santé », « sauver les allocations familiales ou de chômage ». Les centrales syndicales qui avaient prétendu que toutes les attaques ne tenaient qu’à la personnalité de Sarkozy en sont pour leurs mensonges. Elles, qui affirmaient que l’échec de 2010 n’était pas dû à leur stratégie mais à la personnalité du responsable de l’Etat, sont contraintes de reconnaître qu’aujourd’hui elles ne heurtent à la même politique. Elles prétendent maintenant que la nouvelle remise en question des retraites prouvent qu’il n’y avait pas en 2010 assez de travailleurs mobilisés. Qui, sinon ces centrales, disait aux travailleurs que la grève générale des pétroliers allait suffire à faire reculer le gouvernement ? Qui, sinon elles, prétendait qu’il ne fallait surtout pas appeler à la grève générale, qu’il fallait seulement de temps en temps une journée d’action sans véritable grève illimitée ? Qui, sinon elles, prétendait que l’unité des centrales syndicales était identique à l’unité de tous les travailleurs alors que la plupart des secteurs de la classes ouvrière n’étaient jamais appelés à la grève par les centrales syndicales qui faisaient partie de l’intersyndicale, même si celle-ci appelait à la grève ce jour-là !!!

Comment faire confiance en des centrales syndicales qui affirment reconnaître une fois de plus « la nécessité de réformer » alors qu’une fois de plus, le gouvernement n’entend rien réformer mais casser.

On en aura entendu sur la prétention à réformer de la part des gouvernants et les centrales syndicales sont bel et bien d’accord sur le fait de demander « une véritable réforme » alors qu’aucune réforme n’est visée par les classes dirigeantes et le gouvernement bourgeois (qu’il soit ou pas de gauche).

Mentir sur les buts de l’adversaire n’est nullement la bonne manière de nous préparer à lutter.

Mentir sur l’entente profonde entre les dirigeants syndicaux et la direction politique de l’Etat n’est pas non plus un moyen de reconnaître nos amis de nos ennemis.

Deux dirigeants syndicaux de la CFDT faisant désormais partie du gouvernement Hollande, comment cette centrale pourrait-elle faire partie d’une intersyndicale qui voudrait conduire une lutte décidée contre les projets gouvernementaux anti-retraites ?

Le dirigeant central de la CGT étant celui qui a pondu un rapport pour préparer la privatisation de la SNCF, cette centrale peut elle, à sa direction, être un point d’appui pour une lutte déclarée contre la casse qui se cache derrière la réforme, à la SNCF comme dans les retraites ?

Les centrales syndicales CGC, CFTC, CFDT ayant cassé toutes les luttes contre les licenciements, peuvent-elles, au moins à leur direction être considérées comme fiables dans une lutte pour défendre les retraites qui doit s’attaquer aux intérêts patronaux ?

L’unité des travailleurs se résume-t-elle à l’unité des centrales syndicales ? On l’a vu en 2010 : l’intersyndicale a eu beau rester unie, les travailleurs sont eux restés divisés. En pleine lutte des retraites en 2010, des secteurs en grève, des pétroliers, des hospitaliers, des secteurs licenciés de l’Automobile n’ont pas été davantage aidés dans leur lutte que d’habitude.

Ce sont les dirigeants des centrales qui programment eux-mêmes la division des luttes. voir ici. Comment pourrait-on compter sur eux pour les unir, pour les étendre, pour leur donner le maximum d’ampleur, pour susciter le renforcement de la classe ouvrière ?

L’intersyndicale n’est rien d’autre qu’un moyen de faire avaler des couleuvres aux militants syndicalistes, des journées d’action sans action, parfois sans grève, sans la moindre avancée de la lutte.

Et c’est surtout un moyen de laisser entendre à la classe ouvrière qu’elle n’a rien à faire : tout est déjà programmé par les Etats-Majors. Dans ces conditions, aucun risque social pour les classes dirigeantes et aucune chance que le gouvernement ne recule.

Il est indispensable que la classe ouvrière jette sa boule dans ce jeu de quilles !

Messages

  • Nos Organisations, nous vous le rappelons avec force, s’opposent à une indexation des retraites de base qui serait inférieure à l’indice INSEE. Cela aurait pour conséquence de marginaliser au fil des ans les retraités par rapport au reste de la société et d’accentuer encore la paupérisation d’une grande partie de la population retraitée.

    Elles n’ignorent rien de la situation économique et du chômage de masse, mais elles estiment que les salariés et les retraités n’en sont nullement responsables. La grande précarité de millions de salariés est la conséquence des politiques gouvernementales et patronales d’austérité.

    Elle est le résultat des politiques initiées par les institutions internationales (FMI, Banque centrale européenne, U.E.) et qui, de plan d’austérité en plan d’austérité, remettent en cause tous les acquis sociaux et sont un frein majeur à la croissance.

    Les dettes de l’Etat et les déficits publics ne peuvent être un argument pour justifier la baisse des dépenses publiques et réduire les prestations sociales alors que perdurent d’énormes cadeaux fiscaux consentis aux plus grandes entreprises et fortunes de ce pays.

    Elles soulignent enfin que les retraités ne peuvent bénéficier d’aucune augmentation complémentaire (reclassements, promotions, etc...) et que toute baisse de leur pension ou retraite se traduit immédiatement par une baisse de leur niveau de vie.

    Les organisations signataires demandent que la concertation s’engage réellement.

    Intersyndicale FSU, CGT, FO, Solidaires

  • Pour la CGT, les préconisations du rapport, si elles étaient suivis par le gouvernement, constitueraient "un casus belli irrémédiable". C’est surtout l’hypothèse d’un changement du mode de calcul des retraites des fonctionnaires, qui ne seront plus basées sur les 6 derniers mois mais sur les 10 meilleures années, comme dans le privé, qui cristallise le mécontentement de la centrale syndicale.

    En signe d’apaisement, le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a tenu a réaffirmer que les conclusions du rapport Moreau ne constituent que "des pistes", et que d’aucune sorte elles constitueront le socle de "la concertation" avec les syndicats. Marisol Touraine, la ministre des affaires sociales, a confirmé que le rapport n’était "en aucun cas la préfiguration d’une réforme bouclée".

    Pour Brigitte Jumel, de la CFDT, le ton est moins à l’invective puisque elle admet que "réfléchir à la façon dont on va vers des formes d’unification des régimes de retraite nous paraît tout à fait souhaitable" mais, nuance-t-elle, "aujourd’hui un des points qui peut bloquer, c’est la construction des rémunérations" des agents qui fait que les primes ne rentrent pas dans le calcul.

    A la CGC (Confédération générale des cadres), Vincent Hacquin souligne qu’une telle idée est une "absurdité" qui devrait faire "grogner assez fort". Il souligne concernant l’alignement des retraites du public sur le privé que "quand bien même on martyriserait les retraites des fonctionnaires, ça n’aurait d’effet sur le budget que dans plusieurs années".

  • Ce sera fonction de ce que décidera le gouvernement. Mais si le gouvernement prend des décisions du même tonneau que le gouvernement précédent, il y aura mouvements sociaux et peut-être grèves aussi", a déclaré lundi Jean-Claude Mailly sur France 2.

    Même méthode et même résultat !!!

  • Eric Aubin, membre de la direction de la CGT en charge des retraites, a estimé lundi qu’il "faudra une mobilisation des salariés" avant octobre "pour peser" sur la réforme des retraites. Tout comme le numéro un de FO, Jean-Claude Mailly, évoquant lui aussi la possibilité de "mouvements sociaux et grèves". De leurs côtés, plusieurs syndicats de fonctionnaires appellent à une journée d’action "au plus tard début octobre".

  • La CGT a déclaré qu’elle se voyait très bien mobiliser avec la CFDT.

    La CFDT, elle, déclare qu’elle est favorable à une réforme si ceci, mais cela, avec ceci et par cela...

    La CFDT est favorable à un rapprochement des différents régimes de retraite si la spécificité des carrières et des structures de rémunération est prise en compte, a déclaré son secrétaire général Laurent Berger.

    Dans une interview à L’Express et à l’Expansion publiée mardi, il réitère en revanche l’opposition du syndicat à tout recul de l’âge légal de départ à la retraite et à une baisse des pensions, même s’il serait prêt à accepter une moindre indexation de celles-ci sur l’inflation.

    Le successeur de François Chérèque rappelle que la CFDT veut une "réforme de fond" des retraites, qui ne fasse pas que répondre à des impératifs d’équilibre budgétaire mais rendrait aussi le système "plus juste et plus lisible".

    Pour lui, "la durée de cotisation doit être le paramètre d’ouverture des droits, plutôt que l’âge légal", pour répondre au problème des salariés ayant accompli des carrières longues mais n’ont pas l’âge requis.

    Pas de convergence avec des pareils menteurs !

  • Les centrales syndicales divergent sur les retraites mais la CGT affirme qu’elles convergent !

    Thierry Lepaon s’est clairement opposé aux propositions du rapport Moreau remis vendredi au gouvernement et qui doit lui servir de base de travail pour définir la réforme. "Dans la boîte à outils, je ne vois qu’un marteau et une enclume et entre les deux il y a les salariés et les retraités (...) Nous n’accepterons pas une nouvelle diminution de la rémunération du travail et une remise en cause des droits à la retraite", a-t-il déclaré. De son côté, Force Ouvrière estime que les mesures proposées "inscrivent le social et la retraite comme variables d’ajustement d’une politique économique rigide et restrictive". La FSU, syndicat des fonctionnaires a également prévenu qu’elle serait très attentive aux pistes retenues par le gouvernement.

    La CFDT estime pour sa part que les mesures proposées par le rapport Moreau ne vont pas assez loin et plaide pour une réforme "systémique", avec à terme, un système par point, comme cela existe dans les pays nordiques. "Mais force est de constater que (ce) n’est pas dans l’air du temps. Notre pays n’est pas mûr", explique le secrétaire général du syndicat, Laurent Berger dans une interview au ’Monde’ datée du 18 juin. Un point de vue que partage la CFE-CGC, qui "considère que seule une remise à plat du financement de notre protection sociale permettra de dégager les marges de manoeuvre nécessaires à la pérennisation de notre système de retraite par répartition".

    Au delà de leurs divergences, Thierry Lepaon estime que les syndicats se rejoignent au moins sur neuf points, notamment en ce qui concerne l’égalité professionnelle, le refus de la baisse des pensions, mais aussi la nécessité d’un plan d’action pour l’emploi et la lutte contre les discriminations.

  • Le secrétaire général de la CGT Thierry Lepaon a déclaré jeudi que le gouvernement "écoutait beaucoup" mais a dit ne pas avoir le sentiment d’être "entendu", à l’issue d’une rencontre avec le Premier ministre Jean-Marc Ayrault sur la réforme des retraites.

    "Le gouvernement ne dévoile pas ses pistes, il rentre à nouveau dans une phase d’écoute", a affirmé M. Lepaon.

    "Il a pris soin de nous écouter en amont de la conférence sociale, il a pris soin de nous écouter lors de la conférence sociale, il prend soin de nous écouter à nouveau après la conférence sociale dans le cadre de concertations. Il nous écoute beaucoup, je n’ai pas le sentiment pour autant que nous soyons entendus", a-t-il ajouté, jugeant que "pour être entendu, il faut parler plus fort, c’est ce que nous essayons de faire".

    Le responsable syndical a regretté que cette concertation ne permette pas d’"avoir un véritable débat entre syndicats de salariés, syndicats d’employeurs et gouvernement".

    "J’ai le sentiment que (la) boussole (du gouvernement), c’est le rapport" de la conseillère d ?État Yannick Moreau qui propose des pistes de réforme, comme une augmentation de la durée de cotisation à laquelle s’oppose vivement la CGT, a poursuivi M. Lepaon.

    "Nous avons fait part au Premier ministre de notre opposition (face) au recul social qui visiblement s’annonce, puisque les solutions semblent identiques à celles du gouvernement précédent, à savoir +il va falloir travailler plus et en même temps baisser le niveau de pension pour les retraités+, ce qui pour nous est inacceptable", a-t-il ajouté.

    Le leader de la CGT a confirmé que son organisation syndicale appellerait à une mobilisation "dès la deuxième semaine de septembre" sur le sujet, à travers "une journée nationale de grèves et de manifestations".

  • La CGT jeudi et FO vendredi avaient déjà indiqué qu’elles allaient mobiliser leurs troupes en septembre sans donner de date précise. Bernadette Groison, secrétaire générale de la FSU, reçue également vendredi à Matignon, a aussi affirmé que son syndicat mobiliserait en septembre, mais sans donner de date. Cette mobilisation de la FSU sera précédée d’une campagne d’information auprès des salariés fonctionnaires, a-t-elle précisé. Les quatre syndicats qui s’apprêtent à passer à l’action refusent l’allongement de la durée de cotisation, seule piste clairement annoncée comme probable par le gouvernement pour préserver le régime de retraites. Ils refusent également d’autres pistes comme la mise à contribution des retraités qui sont contenues dans le rapport de la Commission d’experts commandé par Matignon. Le gouvernement va poursuivre sa concertation pendant le mois de juillet. Fin août les syndicats seront à nouveau invités à Matignon. Le projet de loi devrait être présenté à la mi-septembre et discuté au parlement en octobre.

  • Une intersyndicale, lundi 8 juillet, entre la CGT, FO, la FSU et Solidaires, pourrait décider une journée nationale de grève et de manifestations le 10 septembre. Ce que la CGT avait envisagé avant la conférence sociale des 20 et 21 juin et la concertation sur les retraites. Le front syndical qui s’esquisse est le même que celui qui s’était opposé, le 5 mars et en avril – avec un faible écho –, à l’accord sur l’emploi signé par la CFDT, la CFTC et la CFE-CGC.

    Alors que la fédération CGT de la chimie a notifié son "désaccord profond" avec la stratégie de la direction confédérale, accusée de ne pas avoir créé "les conditions de réussite de la mobilisation", Thierry Lepaon a nettement durci le ton. Pour le secrétaire général de la CGT, qui s’exprimait vendredi 5 juillet sur i-Télé, "on va assister à un recul social sans précédent, à la fois sur la retraite et, dans la foulée, sur l’assurance-chômage".

    Pour M. Mailly, "la ligne rouge, c’est l’augmentation de la durée de cotisation", la durée actuelle étant déjà jugée "trop longue". Une position sur laquelle FO se retrouve avec la CGT, la FSU et Solidaires. "Une réforme courageuse, a ajouté M. Mailly, ce n’est pas obligatoirement une réforme impopulaire". "On ne dirige pas le peuple contre le peuple", a renchéri M. Lepaon.

  • Ce qu’écrivait La Voix des Travailleurs de Barta :

    SEULE L’UNITE A LA BASE PERMETTRA AUX TRAVAILLEURS DE MENER LA LUTTE A BIEN

    Il y a six semaines que, devant la montée continuelle des prix, le problème de la révision du minimum vital et du pouvoir d’achat a été à nouveau posé.

    Rien n’a été résolu depuis. Des grèves ont éclaté : grève générale d’avertissement de 30.000 mineurs du Nord, grèves dans l’alimentation, l’hôtellerie, etc. Les cheminots du Maroc ont obtenu une hausse de salaires ; ailleurs, comme dans l’hôtellerie, les grèves visent à obtenir simplement l’augmentation votée en novembre dernier. Ce n’est pas le chiffre des revendications qui est en jeu, mais les moyens d’obtenir celles-ci, les moyens de lutter et d’unifier la classe ouvrière pour ces luttes.

    De quoi demain sera-t-il fait ?

    La C.G.T., qui appuie actuellement les mouvements grévistes, a démenti ses intentions de "lancer de nouveaux mouvements ou de nouveaux mots d’ordre" pour la mi-mars. Mais si elle dément devant des journalistes des intentions qu’on lui prêtait, les ouvriers ne connaissent pas davantage celles qui sont siennes.

    Par quels moyens entend-elle lutter ? Entend-elle se contenter de palabres ? Entend-elle seulement appuyer les mouvements qui éclatent pour demander le retour du P.C.F. au pouvoir ? ou, comme au mois de novembre, déclencher un mouvement à l’improviste ? En ce qui la concerne, les ouvriers ne savent pas plus s’ils vont au-devant de grandes luttes qu’au-devant d’une capitulation.

    De même que, pendant longtemps, la C.G.T. a présenté la grève comme l’arme des trusts et la grève générale comme une idiotie, pour déclencher ensuite une grève générale antidémocratique, de même aujourd’hui, les ouvriers ne savent pas à quoi s’en tenir quant à la C.G.T.

    De telles méthodes ne peuvent que conduire à la défaite.

    C’est, avec les mêmes données, répéter l’expérience de novembre : manque de confiance des ouvriers dans ceux qui les représentent, manque de démocratie, manque de contrôle sur la marche du mouvement, division de la classe ouvrière.

    C’est pour cela qu’est, plus que jamais, valable ce que disait un tract du S.D.R. déjà avant la grève de novembre :

    "La lutte, qu’on le veuille ou pas, reste à l’ordre du jour. Pour la mener à bien, il faut que nous, ouvriers de base, nous nous serrions les coudes et ne nous laissions pas diviser par des gens qui, depuis longtemps, ne savent plus ce qu’est un outil. La situation est loin d’être perdue si les ouvriers arrivent, sur le terrain de l’usine, à parler librement, déterminer une attitude commune et décider de moyens de lutte voulus par tous. Ce que nous avons à faire, c’est souder nos rangs pour pouvoir, dans une action déterminée par tous, aller de l’avant sans aucune crainte."

    Ce n’est pas en se cachant la tête sous le sable, que les travailleurs empêcheront les vieilles bureaucraties syndicales, qui défendent la "3° force" ou le retour de ministres P.C.F. au gouvernement, de se servir de leurs luttes pour des buts qui n’ont rien d’ouvrier.

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