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Histoires américaines : ordinaires aux USA mais extraordinaires partout ailleurs…

dimanche 8 décembre 2013, par Robert Paris

Histoires américaines : ordinaires aux USA mais extraordinaires partout ailleurs…

Finie la pauvreté ?

La population pauvre du monde a de quoi envier celle de New York, ville dont le nouveau maire s’est engagé à supprimer la pauvreté et les inégalités. Elle serait sûrement déçue d’apprendre que la réalisation dépend du feu vert du gouverneur qui est du même parti que le nouveau maire mais ne veut pas du tout soutenir cette politique. Ces promesses resteront lettre morte. De toutes manières, elles consistaient juste à améliorer l’éducation, considérée comme une forme d’égalité des chances et pas à s’attaquer aux milliardaires dont la ville est la plus grande concentration de tous les USA…

Aux patrons, c’est toujours : Yes, we can !

S’adressant mardi depuis le centre de distribution d’Amazon de Chattanooga, dans le Tennessee, le président Barack Obama a présenté un plan visant à réduire les impôts des sociétés et à donner des milliards de dollars en subventions aux entreprises au nom de la sécurisation d’« une meilleure aubaine pour la classe moyenne ». Dans la deuxième d’une série d’apparitions ostensiblement axées sur l’emploi et la « classe moyenne », Obama a proposé de réduire le taux d’imposition des sociétés en le faisant passer de 35 à 28 %, et à 25 % pour les fabricants. Cette annonce a été couplée à des appels pour que le gouvernement fournisse « en partenariat avec le secteur privé » les infrastructures, les services sociaux et l’éducation – des mots codés pour privatisation et compressions budgétaires. Le président couvre son plan de réduction des impôts des sociétés derrière un écran de fumée de démagogie. Affirmant qu’« une chose que [la récession] a permise, aura été de mettre à nu l’érosion à long terme que ce qui s’est passé en ce qui a trait à la sécurité de la classe moyenne », Obama a répété sa promesse creuse de fournir aux gens ordinaires « la chance de réussir dans l’économie du XXIe siècle ».

No, We cannot !

Le président Obama a tout misé sur sa réforme de l’assurance maladie et c’est un point faible en informatique qui a tout fait capoter ! Sa popularité a chuté brutalement et il a fait publiquement amende honorable. Aux USA, ça fait bien de battre sa coulpe et de reconnaître ses fautes en s’excusant avec panache. Le mea culpa, ce n’est pas ça qui aidera les gens à payer pour se soigner mais c’est nécessaire au style américain… De toutes manières, informatique ou pas, ce n’est nullement une sécurité sociale qu’Obama mettait en place mais des assurances privées !

Les banquiers font les gouvernements

Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde, a 700 milliards d’euros d’actifs (deux fois le budget de la France) est l’une des origines de la crise de 2007-2008 et a subi pour cela une enquête d’Etat américaine mais cette enquête vient d’être interrompue sans avoir donné des conclusions ! Cette banque a une influence considérable sur les politiques des Etats puisqu’elle place ses hommes à tous les postes clefs : Obama aux USA après avoir nommé le secrétaire du Trésor américain Paulson du président Bush, ou Mario Draghi à la tête de l’Italie…

La guerre occulte

Une guerre qui ne dit pas son nom fait toujours plus de victimes civiles : c’est la guerre des drones US contre le Pakistan. En tirant en aveugle, on assassine des mariages, des enterrements, des villages et des écoles. Mais ce n’est pas cela qui l’arrêtera !

C’est pas un crack !

Le maire de Toronto a été pris en flagrant délit de consommation de crack. Pourtant, c’est justement la loi punit sévèrement la consommation de cette drogue ! Et elle a même décrété que la consommation de crack était beaucoup plus sévèrement réprimée que celle de l’héroïne d’effet beaucoup plus fort pourtant. Mais l’héroïne, plus cher, est réservée aux riches. Décidément, la seule morale de l’histoire, c’est que maire d’une grande ville américaine ne rapporte plus tant que ça !

Zoro est arrivé… sans se presser

L’armée américaine a joué son bon rôle aux Philippines, cet Etat sous la dépendance économique et politique des USA. Elle est soi-disant venue sauver les pauvres Philippins frappés par le typhon destructeur et abandonnés de tous, y compris des classes dirigeantes et des forces étatiques des Philippines. Seulement, ces forces armées US ont mis tellement de temps à arriver alors qu’une semaine après, le Georges Washington coordonnateur des secours n’était pas arrivé et que l’armée US, si prompte à envahir militairement les Philippines dans le passé (200 navires de guerre américains qui accostent chaque année aux Philippines), a laissé les gens mourir de faim, de soif et de maladies…

La guerre aussi est une affaire

L’Etat américain a privatisé la guerre d’Irak et s’apprête à en faire de même pour la guerre d’Afghanistan. Des sociétés privées américaines de mercenaires remplacent progressivement l’armée US. D’autres sociétés privées se chargent de récupérer l’argent du pétrole en vendant en échange quelques babioles aux dictateurs mis en place par l’armée US. La guerre est bien la poursuite de l’économie par d’autres moyens. Et c’est d’abord détruire pour rafler ensuite les marchés de la reconstruction…

Detroit : une ville détruite à l’avenir

La crise économique a frappé les villes à travers les États-Unis presque comme une sorte de catastrophe naturelle. Les gens ont été forcés de quitter leurs maisons, emplois détruits, les écoles fermées - partout ces villes sont déchirées. Ce n’est pas une catastrophe naturelle mais un produit du système, une catastrophe orchestrée par les grandes banques et les sociétés dans le but de forcer une baisse des salaires et des avantages, de conduire villes en faillite, et tirer profit de la privatisation des services publics. Celà se passe partout dans les États-Unis, mais la ville la plus touchée par la mesure a été Detroit. La destruction qui a eu lieu à Detroit est incroyable. Une ville qui était autrefois la cité de deux millions de personnes a été réduite à une population de 700.000. Maisons vides au milieu de champs, de terrains vacants, abandonnés par leurs propriétaires. Électricité et autres services publics ne fonctionnent plus parfois. Ceci est le résultat d’une attaque sur une ville économique de la classe ouvrière par certaines des banques les plus riches et les sociétés dans le monde, dirigés par leurs serviteurs politiques dans leur bureau.

La ruée vers le charbon

En Virginie-Occidentale et dans toute la région des Appalaches, il y a une poussée massive pour obtenir les derniers gisements de charbon disponibles et détruire la nature autour. La nouvelle technique est appelée extraction à ciel ouvert, un processus de sauter sommets des montagnes afin d’obtenir au charbon en dessous, puis le dumping tous les débris dans les vallées voisines. Les explosifs utilisés sont jusqu’à 100 fois plus puissant que ceux utilisés dans l’attentat d’Oklahoma City, égale à un Hiroshima par semaine en Virginie-Occidentale. Une fois que les montagnes sont détruites et le charbon récoltés, les travailleurs ramassent les excès de terre et déversent dans les vallées et les rivières avoisinantes. Lorsque l’eau de pluie traverse cette roche pulvérisée, il est plus facilement dissous, de libérer des ions métalliques hautement toxiques (comme le mercure, le plomb, le cadmium, l’arsenic, le manganèse, le béryllium, le chrome et d’autres substances cancérigènes) dans les ruisseaux, les rivières et les eaux souterraines. Jusqu’à présent, les entreprises de charbon ont détruit plus de 500 montagnes. L’Environmental Protection Agency estime que près de 1200 miles de ruisseaux des Appalaches ont été enterrés depuis 1992.

La vie d’un Noir ne coûte pas cher

Dans un quartier résidentiel de Detroit, une jeune Noire a été abattue le 2 novembre par un résident blanc. À bout portant et sans sommation. Il a fallu deux semaines pour que le tueur reconnu et affiché soit arrêté. La procureure prétend que le facteur racial n’a joué aucun rôle dans le drame, mais la famille de la victime n’y croit pas une seconde. Et la majorité de la communauté africaine-américaine non plus. Légitime défense ? Vous plaisantez ? Comment une jeune femme non armée pouvait-elle présenter un danger imminent justifiant qu’elle soit abattue ? Eh bien, au pays gouverné par un Noir, contrairement aux commentaires satisfaits de la presse, il n’y a rien de changé : tuer un Noir, ce n’est pas tuer un Américain !

Soyez plutôt banquier !

La crise des subprimes a coûté déjà plusieurs dizaines de milliards mais JPMorgan, un des responsables de la crise, ne paie que 13 milliards de dollars pour éviter un procès. Et c’est sans compter toutes les aides aux banques depuis la crise, aides que celles-ci n’ont nullement remboursées !

Où en sont les victimes de Katrina ?

L’ouragan Katrina a frappé en 2005 et fait 1836 victimes. Il y a eu le scandale de l’absence de secours pendant la catastrophe, tout de suite après, bien après et maintenant il y a le scandale de l’absence d’aides longtemps après. Mais rien d’étonnant dans le monde où on n’aide à coup de milliers de milliards que… les milliardaires !!!

Répertoire des Etats américains

ALABAMA : Deux petites filles noires naissent dans cet Etat : l’une déteste les poupées blanches et l’autre rêve d’avoir des yeux bleus comme son idole Shirley Temple. C’est le sujet d’un roman d’une écrivain noire. Il n’en faut pas plus pour que le sénateur de l’Alabama demande que cet ouvrage de Toni Morrison, prix Nobel de littérature et lauréate du prix Pulitzer, soit supprimé des bibliothèques scolaires et désigné à la vindicte publique. Au cas où on imaginerait que l’Alabama n’est plus ce qu’il était à la grande époque raciste du KKK.


ALASKA
 : Il est légal de tuer les ours, mais il est illégal de les réveiller pour les photographier. Malgré la protection de la nature affichée dans cet Etat, Obama a accordé une autorisation de forer dans l’océan Arctique en Alaska au pétrolier anglo-néerlandais Shell. Le groupe pourra, en théorie, forer quatre puits en eaux peu profondes à titre exploratoire dans la mer de Beaufort à partir de juillet 2012. Cette décision des autorités américaines est un pas en avant pour le groupe pétrolier Shell vers l’exploitation de vastes réserves de gaz et de pétrole situées dans la mer de Beaufort, au nord de l’Alaska.

ARKANSAS  : Un homme peut légalement battre sa femme, mais pas plus d’une fois par mois. Le flirt entre homme et femme dans les rues de Little Rock peut rapporter 30 jours de prison. Un policier d’Ozark (Arkansas) a utilisé son Taser pour maîtriser une fillette de dix ans qui refusait d’aller prendre sa douche avant d’aller au lit comme lui demandait sa mère. C’est à la demande de celle-ci que le policier a utilisé son pistolet électronique. L’enfant, sous le choc, a été menottée et embarquée dans la voiture de police avant d’être dirigée vers le centre d’accueil d’une ville voisine. Cette barbarie a été justifiée par Jim Noogle, le chef de la police locale. Il n’y avait pas d’autres choix, a-t-il déclaré à la presse pour « mettre l’enfant sous contrôle », alors qu’elle criait et qu’elle donnait des coups au policier, ce dont on n’a pas relevé de traces. La police est là pour « maintenir l’ordre et garantir la paix. Elle doit utiliser le Taser contre quiconque est une menace contre d’autres personnes quel que soit son âge » (sic).


ARIZONA
 : A Tucson, il est illégal pour les femmes de porter un pantalon. Les femmes n’ont pas le droit de conduire un véhicule en robe de chambre. L’Etat n’est pas seulement sexiste mais raciste et violent contre les clandestins et une loi vient d’y autoriser la chasse au faciès, suscitant un scandale dans le reste du pays…

CALIFORNIE : il est illégal de nettoyer sa voiture avec des sous-vêtements usagés. A Pasadena, il est illégal pour une secrétaire d’être seule avec son patron. Vous devez avoir au moins deux vaches si vous voulez porter des bottes de cow-boy. Mais la Californie, ce n’est pas seulement du spectacle : on y très sérieux pour ce qui est de la répression. La police a fait usage de gaz poivre pour disperser les indignés qui manifestaient au campus de Davis !

CAROLINE DU NORD : Si un couple passe la nuit dans un hôtel en prétendant être mariés alors qu’ils ne le sont pas, ils deviennent automatiquement mariés. Toutefois, dans le même état, tous les couples résidant dans un hôtel doivent avoir des chambres avec des lits jumeaux séparés d’au moins soixante centimètres. Dans cet Etat très prude et hypocrite, le gouverneur Mark Sanford, membre moraliste et réactionnaire du parti républicain, a été pris en flagrant délit d’infidélité ce qui l’a rendu inapte à devenir le candidat républicain à l’élection présidentielle en 2012.

COLORADO : A Durango, il est illégal de sortir dans la rue vêtu de façon à laisser un doute sur son sexe. On est donc très moralistes dans le Colorado. Par exemple, Colorado Springs est une ville paisible et conservatrice de 300.000 habitants au pied des Rocheuses. Aussi connue sous le nom de ’’Vatican des Evangéliques’’, car plus d’une centaine d’organisations chrétiennes d’évangélisation du monde y ont leur siège. En 1984, le pasteur Ted Haggard s’installa dans cette ville. Il reçut des visions, pria, jeûna, raconte-t-il, et fût un pionnier animé d’une foi inébranlable en sa mission : ramener Dieu dans cette ville et en chasser les cultes démoniaques, tels les mouvements des hippies, des bikers et autres, qui avaient élu domicile dans cette agréable région. La New Life Church du pasteur Ted Haggard à Colorado Springs est aujourd’hui la plus importante église évangélique de la ville (environ 14.000 membres, c’est une mega-church), et de plus en plus influente aux USA, car très moderne et adaptée aux comportements et besoins religieux actuels. Ted Haggard tombait du haut de sa chaire à cause d’un scandale mêlant homosexualité et drogue...

CONNECTICUT  : A Hartford, il est illégal d’embrasser sa femme le dimanche. On est donc très à cheval sur les comportements mais on y autorise les armes en circulation et c’est l’Etat qui est connu pour un grand massacre à Newton (20 enfants et six adultes assassinés) sans aucun changement sur la législation sur les armes.

FLORIDE  : Des centaines d’adolescents y sont placés dans des foyers et institutions se réclamant de la religion, et sont victimes de mauvais traitements, sans que les pouvoirs publics interviennent. En cause : une loi votée en 1984 par l’Etat de Floride qui exempte de contrôle les institutions éducatives religieuses sous prétexte de préserver la liberté de croyance. Le contrôle de ces foyers religieux a été privatisé et confié à une structure qui en est l’émanation. Le racisme prospère également : c’est ici qu’on gracié Zimmerman, pourtant reconnu assassin du jeune noir Trayvon Martin sans qu’aucune preuve de légitime défense ait jamais été fournie.

GEORGIE : Il est interdit d’embrasser les seins de sa femme. Il est illégal de changer les vêtements d’un mannequin de vitrine sans baisser le rideau. Là aussi on est donc très moraliste mais… Il y a de nombreux mais… Citons le scandale des enfants que l’on force de quitter leur famille sous des prétextes bidons pour constituer une véritable affaire consistant à offrir, contre argent, ces enfants à des familles de placement sans enfants. C’était très rentable…

IDAHO : Connu pour ses positions conservatrices en matière de famille et de morale, le républicain Larry Craig avait été pris en flagrant délit le 11 juin dernier de négociation de faveurs sexuelles dans les toilettes pour hommes de l’aéroport de Minneapolis-Saint Paul. Il avait été pris en flagrant délit par un policier en civil, qui, assis dans les toilettes, attendait ce type de proposition. Il a démissionné de son poste au sénat.

INDIANA : Aux USA, il y a deux idoles : la religion et le football américain. Les deux ont été frappés par les scandales pédophiles… Les idoles tombent !

LOUISIANE : Son gouverneur durant trois mandatures, Edwin Edwards, n’était pas seulement le plus populaire mais le plus criminel et a fini avec dix ans de prison pour racket et déclarait que sa popularité provenait du fait que personne ne pouvait le battre, à moins qu’il ne soit « pris en flagrant délit au lit avec un garçon vivant ou une fille morte.. »

MASSACHUSETTS : L’archidiocèse de Boston a été un des plus grands centres américains pour les scandales de pédophilie des prêtres… Les affaires de pédophilie ont ébranlé l’un des prélats les plus en vue du pays, le Cardinal-Archevêque Bernard Law.

MARYLAND : C’est le lieu de résidence de Jammeh, dictateur de la Gambie, un des pays les plus pauvres du monde où il s’est offert une villa à un milliard 750 millions de dollars… Colin Powell et Bill Clinton avaient renoncé à acheter une villa dans le même coin à cause du coût trop élevé… Voilà pour faire taire les afropessimistes !
MISSISSIPPI : L’Etat raciste défrayait la chronique avec ses assassinats du KKK. Ce n’est pas fini. Par exemple, dans la ville de Jackson, Mississippi. Après une soirée arrosée, Deryl Dedmon, accompagné de sept jeunes amis, embarquent à bord de deux voitures et prennent la direction d’un quartier noir de la ville. Brusquement, l’équipe de Dedmon sort de ses deux voitures et se rue sur le homme noir qu’ils ne connaissent nullement. Aux cris de « White Power, White Power », ils rackettent, puis tabassent James Anderson Craig, lequel, étourdi par les coups à répétition, ne parvient pas à se défendre. L’homme déambule sur le parking. Dans une vidéo exclusive, diffusée par la chaîne d’info CNN, on le voit, le dos courbé, la démarche hésitante, tentant une fuite qu’il sait désormais impossible. On pense alors que Deryl Dedmon a provisoirement calmé sa haine du noir ; une partie du groupe des sept amis, comme repue, a d’ailleurs pris la fuite. Mais il n’en est rien, la haine de Dedmon est tenace. Le jeune homme remonte dans son pick-up, met le contact et décide de porter le coup de grâce. Il fonce, plein phares, sur un James Anderson Craig saisi d’effroi. L’enregistrement vidéo est traumatisant. L’homme meurt sur le coup.

Messages

  • L’autorisation, mardi dernier, par les tribunaux de placer Detroit en faillite marque un point tournant dans l’histoire des relations de classe aux États-Unis. Donnant son aval à la plus grande faillite municipale de l’histoire des États-Unis, le juge fédéral à Detroit a essentiellement décidé que les employés du secteur public n’ont pas le droit à des pensions de retraite.

    Selon le juge Steven Rhodes, toute ville ou État peut utiliser les lois fédérales sur la faillite pour priver les travailleurs des avantages qu’ils ont accumulés pendant toute leur carrière, même si la constitution d’un État comme le Michigan protège explicitement leurs retraites.

    Ceci représente une vaste conspiration contre la classe ouvrière dont les implications sont nationales et internationales. Une conspiration qui a été organisée avec la participation et l’appui de l’administration Obama.

    L’onde de choc du verdict se fait déjà sentir bien au-delà de Detroit. Dans les heures qui ont suivi le verdict du juge, les deux chambres de la législation d’État de l’Illinois ont passé des projets de loi pour « réformer » les fonds de pension en repoussant l’âge de retraite, en réduisant les augmentations liées au coût de la vie et les autres avantages sociaux.

  • L’actualité nous en fournit une de plus...
    Un jeune élève américain a été suspendu de son école pour avoir posé un bisou sur la main et la joue d’une camarade. Les mots « harcèlement sexuel » seront notés dans son dossier scolaire.

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