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Enfance d’Irlande catholique : un des plus grands crimes de l’Eglise catholique n’a toujours pas été jugé !!!

lundi 23 juin 2014, par Robert Paris

Travail forcé, cobayes humains, punitions corporelles, mauvais traitements, manque de nourriture et de soins : voilà la punition des enfants nés hors mariage pour la religion catholique irlandaise !

Enfance d’Irlande catholique : un des plus grands crimes de l’Eglise catholique n’a toujours pas été jugé !!!

L’Irlande pensait enfin s’être réconciliée avec son passé. En février 2013, le pays avait reconnu publiquement sa responsabilité dans « les blanchisseries Madeleine », ces couvents à l’intérieur desquels des milliers de jeunes femmes jugées immorales par la société avaient été enfermées et utilisées comme des esclaves. Mais une historienne vient de mettre une nouvelle fois l’Etat face à l’horreur de son histoire. Dans ses travaux, Catherine Corless affirme qu’entre 1925 et 1961, au moins 796 enfants ont été enterrés dans une fosse commune d’un centre géré par des nonnes catholiques, à Tuam, dans le comté de Galway.

C’est à partir de recherches sur l’orphelinat de Tuam près de Galway, à l’ouest du pays, aujourd’hui reconverti en lotissement, que l’historienne Catherine Corless a retrouvé la trace de sept cent quatre-vingt-treize enfants non baptisés – et donc enterrés secrètement, sans cercueil ni pierre tombale.

L’institution, gérée par les sœurs du Bon Secours entre 1925 et 1961, accueillait des filles-mères et leurs bébés. Les conditions de vie y étaient extrêmement difficiles. Les jeunes femmes, qui étaient placées là pour expier leurs péchés, se voyaient imposer des travaux pénibles et subissaient mauvais traitements et brimades. Leurs enfants connaissaient un sort similaire et les autorités en étaient tout à fait conscientes, puisqu’une inspection datant de 1944 décrit un établissement surpeuplé où sévissent maladies, malnutrition et maltraitance.

Cet établissement surnommé « The Home », destiné aux jeunes mères de familles et à leurs enfants nés hors mariage était connu pour être particulièrement strict. En 1944, un rapport d’inspection du gouvernement avait découvert des preuves de malnutrition sur quelques-uns des 271 petits pensionnaires et leurs 61 mères. D’après le « Daily Mail », le document mentionnerait des enfants « fragiles, émaciés et au ventre rond ».

Les enfants étaient scolarisés à l’école locale, mais étaient séparés des autres élèves jusqu’à ce qu’ils soient adoptés ou placés dans d’autres établissements où ils devaient travailler – sans rémunération – et étaient battus. Catherine Corless, qui elle-même a été à l’école avec certains de ces enfants, se souvient avoir reçu des ordres précis des nonnes, expliquant à tous qu’ils étaient « différents d’eux et qu’il était préférable de s’en tenir éloigné ». « Si vous vous montriez gentils envers eux, les sœurs menaçaient de les faire s’asseoir à côté de vous », se rappelle-t-elle dans le « Irish Central ». Evidemment, en accord avec l’enseignement catholique, ces enfants nés hors mariage n’avaient pas le droit d’être baptisés et ne pouvaient donc pas être enterrés dans des sépultures chrétiennes.

Le charnier a révélé l’ampleur du crime : des milliers d’enfants ont été torturés par l’Eglise catholique d’Irlande et l’ont été au nom de la morale catholique réprouvant l’enfantement hors mariage. Des enfants ont été maltraités, rendus malades, refusés de soins, livrés aux expérimentations médicales, vendus pour être adoptés par de riches Américains. Des milliers de cadavres peuvent encore être exhumés à côté des institutions catholiques irlandaises. L’ampleur du scandale, qui a été couvert pendant des décennies par les plus hautes autorités de l’Eglise, devrait amener la papauté à étouffer de honte, à cesser de jouer les tontons la morale de l’humanité mais pas du tout ! Aucun pape n’a jamais reconnu l’ampleur des horreurs qui sont progressivement découvertes en Irlande. Rien n’a été fait par l’Etat irlandais pour mettre à jour et juger de ces crimes. Rien n’a été fait par la hiérarchie catholique pour dénoncer ces crimes dont on ignore encore le nombre de victimes : enfants affamés, maltraités, morts de faim et de maladie, enfants torturés, mères obligées d’abandonner leurs enfants, de vivre terrées, etc...

Après la découverte de quelque 800 bébés inhumés anonymement près d’un ancien couvent de la ville de Tuam, à l’ouest de l’Irlande, Dublin a annoncé mardi la création d’une commission d’enquête sur les foyers catholiques qui hébergeaient les filles-mères et le sort de leur progéniture. John Pascal Rodgers, 67 ans, enfant d’un viol, a vécu dans l’institution de Tuam.

Tout commence en 1975 quand deux adolescents, partis jouer au football dans un champ attenant à l’institut, découvrent des ossements humains d’enfants. Les causes de décès sont celles de l’époque : malnutrition, grippe, bronchite, tuberculose ou gastro entérite.
Dès lors, le comité d’Histoire locale se démène pour que ces enfants reçoivent une sépulture avec une plaque portant le nom des défunts. Parmi ces historiens amateurs, Catherine Corless, une femme de ménage passionnée de généalogie, mène un travail de fourmi pour constituer la liste. On retrouve son nom sur des sites de généalogie dès 2010. Dans la presse irlandaise, elle déclare que ces enfants étaient regardés d’un mauvais œil par les sœurs : « Ils étaient toujours mis à l’écart dans les salles de classes », affirme-t-elle au Irish Central. « En faisant cela, les religieuses envoyaient le message selon lequel ils étaient différents et que nous devions nous tenir loin d’eux. » Par ailleurs, plusieurs journaux rapportent que les cadavres auraient été jetés dans une fosse, sans sépulture : « D’après les preuves présentées par Catherine Corless et Frannie Hopkins, il semblerait que les enfants étaient placés dans la terre, sans cercueil ni pierre tombale », peut-on lire sur un autre site.
Aussi troublante que soit l’affaire des “bébés de Tuam”, elle ne doit pas être examinée de manière isolée. Les autorités irlandaises doivent enquêter sur les possibles allégations de maltraitances envers des femmes et des enfants dans d’autres prétendus “foyers mères-bébés” et d’autres établissements dirigés par l’État ou l’Église. Toute nouvelle allégation faisant état d’atteintes aux droits humains doit donner lieu à une enquête indépendante et approfondie, a déclaré Colm O’Gorman, directeur exécutif d’Amnesty International Irlande.

Nous notons que des informations parues dans les médias indiquent qu’un examen interministériel de ces foyers pourrait avoir été mis en place par le gouvernement. Le cas échéant, cette procédure doit être dotée des caractéristiques nécessaires d’indépendance, d’efficacité et de transparence – ou être rapidement suivie d’une procédure qui en est dotée. »

Les mauvais traitements infligés par le passé à des femmes et des filles placées dans les « Laveries des sœurs de Marie-Madeleine », des structures gérées par une congrégation religieuse, ont retenu l’attention des médias et du monde politique, surtout depuis que le Comité contre la torture a fait part de son inquiétude en 2011 à la suite d’allégations de maltraitances subies par des femmes et des filles dans ces établissements. Cependant, la réponse du gouvernement irlandais à la demande d’enquête indépendante formulée par ce Comité a été minimaliste. Le « comité interministériel » créé par le gouvernement en 2011 ne respecte pas les obligations de l’État et ne doit pas servir de modèle pour les enquêtes sur cette affaire et les autres atteintes aux droits humains commises par le passé.

Nous n’avons aucune raison de faire confiance à l’Etat irlandais ni aux autorités catholiques irlandaises dans l’enquête qu’ils prétendent réaliser maintenant que le scandale est devenu public. Ces autorités n’ont pas d’avantage montré qu’on pouvait leur faire confiance en ce qui concerne les crimes pédophiles commis par des religieux catholiques contre des enfants irlandais….

Et l’Eglise catholique, en Irlande comme dans les autres pays et plus encore par le pape lui-même, continue de refuser le droit des femmes de procréer ou de ne pas procréer librement, le droit à l’amour libre, le droit à disposer de son corps au nom de la même morale catholique qui a permis et couvert de tels crime !!! L’Eglise considère toujours que l’amour physique ne doit avoir comme but que l’enfantement au sein de la famille reconnue par la religion et que les individus n’ont aucun droit au plaisir, aucun droit à disposer de leur propre corps, aucun droit à la contraception et à l’avortement, aucun droit d’enfanter hors mariage, aucun droit à la PMA pour les couples ne parvenant pas à avoir d’enfants.

Non seulement les crimes de l’Eglise ont imposé une morale abstraite et horrible mais ils ont amené des religieux à disposer d’une fortune sur le dos des enfants, en les cachant, en les tuant, en les vendant, en s’en servant comme cobayes humains.

L’Eglise catholique mondiale est salie par le sang de milliers d’enfants !

Ce crime, qui vient se rajouter à celui des crimes pédophiles dans toute l’Eglise catholique mondiale, a été couvert comme ce dernier par toutes les autorités sans exception. Les criminels n’ont jamais été dénoncés à la justice et des millions d’enfants en souffrent encore aujourd’hui. Cela doit absolument être rappelé publiquement alors que l’Eglise catholique entend intervenir plus activement sur le terrain politique dans le monde et y imposer ainsi ses vues, alors qu’elle appelle les catholiques à intervenir sur les lieux de santé pour interdire l’avortement et la PMA, alors qu’elle entend peser pour interdire le droit à l’homosexualité et à l’amour libre, le droit à l’avortement et à la contraception !

Les intégristes catholiques sont aussi dangereux que les intégristes islamistes, juifs, protestants et hindous. Ils représentent une extrême droite fasciste tout aussi menaçante les uns que les autres pour l’avenir de l’humanité.

Le droit à la croyance n’est pas un droit à imposer ses vues morales aux autres êtres humains !

Le droit à la croyance est un droit des individus et pas un droit à des institutions comme la papauté d’imposer sa vision aux gouvernements et aux peuples !

Ne nous laissons pas guider moralement, socialement et politiquement par les assassins, les tortionnaires, les profiteurs sur le dos des enfants irlandais et de leurs mères qui se couvrent de la Bible pour commettre et protéger leurs crimes !!!!

Au début des années 2000, près de 3 000 adultes irlandais affirment avoir subi des sévices sexuels dans des institutions de l’Église catholique. Celle-ci est contrainte, en janvier 2002, de s’entendre avec l’État pour les indemniser, en échange de l’abandon des poursuites judiciaires.
En mars 2006, Diarmuid Martin, archevêque de Dublin, annonce les résultats d’une enquête indépendante menée dans son diocèse. Les dossiers de plus de 2 800 membres du clergé de l’archidiocèse ont été examinés. Plus de cent prêtres et membres d’ordres religieux de son archidiocèse ont été accusés d’abus sexuels contre des enfants depuis 1940. 350 victimes ont été identifiées, une quarantaine d’autres personnes ayant peut-être aussi subi des abus. 105 procès civils ont été intentés. Lors d’une rencontre avec les évêques irlandais, Benoît XVI les enjoint à « établir la vérité » sur les abus dont sont suspectés des prêtres et à tout faire pour éviter ceux-ci à l’avenir.
Le 20 mai 2009, le Rapport Ryan, de la commission présidée par le juge Sean Ryan (en) (Commission to Inquire into Child Abuse) dévoile que des centaines d’enfants ont été victimes de sévices, depuis les années 1940, dans des institutions religieuses irlandaises. Le rapport dénonce en 2 600 pages les abus subis par de nombreux enfants accueillis par des structures financées par l’État et gérées en grande partie par l’Église catholique. Le mandat de la commission concernait quatre types d’abus : physiques, sexuels, de négligence et psychologiques.
Le Conseil permanent des évêques irlandais déclare, le 29 mai 2009 : « Nous présentons nos excuses à tous ceux qui, durant leur enfance, ont été si cruellement victimes de violences lorsqu’ils étaient à l’école ou dans des maisons d’accueil catholiques ». L’archevêque de Dublin, Mgr Diarmuid Martin, a confessé que les histoires d’abus, « dans de nombreux cas, sont écœurantes ». À ses yeux, toutes les organisations ecclésiastiques impliquées dans le rapport devraient examiner sérieusement « comment leurs idéaux ont été dévoyés à cause des abus systématiques » (…) « C’est un vrai cri d’exhortation pour regarder la manière dont nous prenons soin de nos enfants. Si nous sommes vraiment affligés par ce qui est arrivé par le passé, nous devons nous engager pour un avenir vraiment différent ».
Le montant des indemnisations à verser aux victimes d’abus dans des institutions catholiques avait été fixé à 128 millions d’euros. Finalement, la somme totale des indemnité est de plus d’un milliard d’euros, presque entièrement versé par l’État à environ 12 500 des 14 500 victimes. Les montants versés aux victimes vont de 65 000 à 300 000 euros selon les cas ».
En novembre 2009, le Rapport Murphy de la commission présidée par la juge Yvonne Murphy (Commission of Investigation into Catholic Archdiocese of Dublin), met en cause une dizaine d’évêques accusés d’avoir couvert les abus perpétrés par des prêtres. Le rapport relève 46 cas de prêtres coupables d’abus sexuels. Cette enquête concerne la période allant de janvier 1975 à mai 2004. Sa publication a entraîné, en décembre 2009, la démission de Mgr Murray, évêque de Limerick et ancien évêque auxiliaire de Dublin. Il est suivi, en mars 2010, par Mgr Magee, évêque de Cloyne et en avril 2010 par Mgr James Moriarty, ancien évêque auxiliaire de Dublin.
Les 15-16 février 2010, le pape convoque les évêques irlandais au Vatican. Benoît XVI déclare que la la pédophilie est un « crime atroce » et un « péché grave qui offense Dieu et blesse la dignité de la personne humaine ». Il enjoint les évêques de prendre les mesures nécessaires pour réparer, autant que possible, les fautes commises, prendre en compte les droits des victimes et coopérer avec la justice. Le mars 2010, Benoît XVI envoie une Lettre pastorale aux catholiques irlandais, où il redit sa compassion pour les victimes. En mars 2010, 6 évêques irlandais avaient présenté leur démission, trois étant alors acceptées par le pape. Le 31 mai 2010, le pape nomme neuf prélats pour enquêter sur le scandale des abus sexuels commis sur des mineurs en Irlande. Parmi les enquêteurs figurent les archevêques de Westminster, Boston, New York, Toronto et Ottawa ainsi que deux religieuses. Ils examineront, et chercheront à améliorer, les procédures actuelles visant à lutter contre les abus. En novembre 2010, quatre visiteurs apostoliques arrivent en Irlande pour examiner les moyens pris pour répondre aux cas d’abus et aider l’Église locale à cheminer vers un renouveau. En février 2011, à l’occasion d’une liturgie du repentir dans la pro-cathédrale Sainte-Marie L’Église, Mgr Diarmuid Martin, archevêque de Dublin, dit sa reconnaissance aux victimes d’abus sexuels pour avoir refusé de se taire même lorsqu’on ne les croyait pas. Il les encourage à continuer à témoigner et souligne que les responsables ne sauraient demander pardon sans avoir d’abord reconnu l’injustice commise et leur propre échec pour ce qui s’est passé.

Mgr Magee, 73 ans, qui a été secrétaire particulier de trois papes, Paul VI, Jean Paul Ier et Jean Paul II, a été impliqué dans le scandale des abus sexuels sur des enfants en Irlande dans un rapport établi en décembre 2008 par l’Eglise catholique irlandaise.

Un autre rapport publié en Irlande en novembre dernier après trois ans d’enquête, le rapport Murphy, a révélé comment l’Eglise catholique de ce pays avait couvert des abus sexuels commis sur des centaines d’enfants par des prêtres pendant plusieurs décennies cette fois-ci dans le diocèse de Dublin.

Mais on continue à confier des enfants aux prêtres qui ont couvert ces agissements et qui peuvent les recommencer parce qu’une sexualité normale leur est interdite au nom de la morale catholique...

Le slogan le plus criminel de l’Eglise catholique pédophile mondiale : "laissez venir à moi les petits enfants !

Messages

  • Après la découverte de quelque 800 bébés inhumés anonymement près d’un ancien couvent de la ville de Tuam, à l’ouest de l’Irlande, Dublin a annoncé mardi la création d’une commission d’enquête sur les foyers catholiques qui hébergeaient les filles-mères et le sort de leur progéniture. John Pascal Rodgers, 67 ans, enfant d’un viol, a vécu dans l’institution de Tuam.

    L’Eglise est un lieu d’impunité pour toutes les violences commises par des salopards de curés, evèques, bonnes soeurs etc...

    Aux USA les papes seraient condamnés à la chaise électrique s’ils étaient de simples prolétaires.

  • Dans l’affaire des prêtres pédophiles, six nouvelles plaintes contre le haut clergé de Lyon !!!

    Des plaintes qui visent l’archevêque de Lyon, Philippe Barbarin, son directeur de cabinet, Pierre Durieux, Régine Maire du conseil épiscopal du diocèse de Lyon, le vicaire de Roanne, Xavier Grillon, le préfet de la congrégation de la doctrine de la foi à Rome, le cardinal Muller, et Monseigneur Luis Ladaria Ferrer, son secrétaire. Dans la foulée, le parquet de Lyon a ouvert une enquête préliminaire pour « non-dénonciation d’agressions sexuelles sur mineurs de moins de 15 ans et mise en péril d’autrui ». Entendu pendant trois heures par les enquêteurs de la PJ, François Devaux estime avoir « apporté des éléments mettant en évidence que la hiérarchie de l’Eglise était au courant ».

  • À Lyon, les langues se délient : la justice enquête sur un nouveau prêtre soupçonné d’agressions sexuelles alors que le diocèse et son évêque, le cardinal Philippe Barbarin, sont dans la tourmente depuis la révélation d’autres affaires. Une source proche du dossier a confirmé jeudi soir qu’une enquête ouverte concernant ce prêtre il y a quelques années avait été « réactivée » il y a quelques jours, comme l’annonçait le site M6info. Le prêtre suspecté officie dans le deuxième arrondissement de la ville, selon M6info, qui ajoute que « de nouveaux témoignages portés récemment à la connaissance de la justice » ont conduit le parquet à rouvrir une enquête ouverte en 2006.

    Selon la source proche du dossier, les faits d’agressions mis en cause concernent « une fille », dont l’âge n’a pas été précisé. Il s’agirait d’une adolescente, selon une autre source.

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