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Vous avez dit durable ? Comme c’est bizarre !

vendredi 27 octobre 2017, par Robert Paris

Edito

Vous avez dit durable ? Pour le monde capitaliste à l’agonie ! Comme s’est bizarre !

A croire les média et les gouvernants, le gouvernement français serait le plus écolo au monde ! Elle est bien bonne ! Avec l’un des leaders mondiaux du nucléaire, le pire pollueur mondial ! Avec un des leaders de l’industrie chimique et pharmaceutique, la pire polluante au monde ! Avec l’industrie automobile, l’une des pires polluante ! Et avec le laxisme complet vis-à-vis de ces industries de tous les gouvernements successifs, Macron étant le plus à la botte si c’est possible ! Malgré des effets d’annonces, malgré la présence de Hulot, ou à cause d’elle, il n’est question que d’aider davantage le secteur du Bâtiment à construire pas écolo du tout, d’aider les trusts précédemment cités à produire par écolo du tout. Par exemple, tout pour les batteries électriques ne signifie nullement moins de pollution, au contraire ! Quant au procès de l’amiante, qui vient d’être refusé par les hautes sphères du pouvoir, il montre bien qu’il n’est pas question de traduire en justice les trusts responsables d’un nombre considérable de victimes de la pollution industrielle !

Tout le mensonge provient d’un mensonge fondamental : le gaz carbonique serait la principale pollution de la planète et c’est complètement faux. Il n’est pas la pire pollution et n’est pas responsable du réchauffement causé par un accroissement des remontées magmatiques venues de la chaleur nucléaire du centre de la Terre, avec une recrudescence remarquable des séismes, des volcans, des tsunamis et de la formation de massifs sous-marins, tous issus des profondeurs de la Terre et non du réchauffement atmosphérique qui n’est qu’un effet secondaire. Il est remarquable que, lorsque la banquise fond, elle le fasse non par en haut, par l’atmosphère, mais par en bas, par la terre, et du fait du volcanisme sous-jacent…

Toute la propagande des gouvernants de ces dernières années s’est polarisée sur la prétendue « crise du réchauffement climatique », soi-disant causée par le gaz carbonique et ils ont prétendu que ce qui risquait d’empêcher la durabilité de la société industrielle, c’était l’effet de serre. Bien entendu, cela a comme avantage d’effacer la crise économique du capitalisme, comme cause principale de l’absence de durabilité du système.

Même s’il était écologiquement durable, le capitalisme ne l’est ni économiquement, ni socialement, ni politiquement… La domination capitaliste a atteint ses limites et elle est fondamentalement atteinte et pas seulement « en crise ».

Certes, le désastre écologique du capitalisme frappe au plan moral, éthique, humain et social avec le déversement d’ordures de toutes sortes dans les océans, l’entassement de déchets de l’industrie et des centrales nucléaires dans le sous-sol comme dans les mers, l’envoi dans l’atmosphère de toutes sortes de saletés industrielles, en particulier celles de l’industrie chimique, les conséquences violentes, et même mortelles, sur ceux qui travaillent, utilisent des produits pourris de l’industrie, se logent ou se transportent avec, etc. Le plus étonnant, c’est que l’écologie, le durable, la défense de la planète sont devenus le leitmotiv officiel de tous les pouvoirs, une véritable obligation verbale à tous les niveaux, une mode qui est maintenant incontournable. En même temps, le système social dominant se moque complètement et plus que jamais d’écologie, de pollution, de risques pour l’humanité. Le durable est tellement devenu une véritable religion officielle qu’il est interdit de la critiquer, de la discuter, sans parler de la contester.

Ce n’est qu’une idéologie morale et moraliste qui ne correspond nullement au comportement réel des classes dirigeantes et de leurs Etats. Certains l’ont pris au pied de la lettre et ils pensent même que la principale crise du capitalisme serait une crise écologique, essentiellement une catastrophe climatique qui menacerait l’humanité, incapable de diminuer ses émissions de gaz carbonique accusées d’augmenter la température globale de la Terre.

Cependant, qu’on croie ou pas au réchauffement global anthropique, il est permis de douter que le capitalisme soit, seulement ni surtout, menacé de ne pas être durable par la quantité de gaz carbonique qu’il déverse dans l’atmosphère. Non seulement les autres pollutions et catastrophes de toutes sortes qu’il cause pour l’environnement sont bien plus menaçantes pour l’humanité, à commencer par celles causées par les centrales nucléaires, celles dues à l’industrie chimique, celles causées par les trusts pharmaceutiques, mais les principales catastrophes causées par le capitalisme sont encore ailleurs : son impasse économique, son impasse sociale, celle de la propriété privée des moyens de production, avec les risques politiques qui y sont attachés : insécurités de toutes sortes, exacerbation des luttes de classes, développement des guerres, dérive fasciste et dictatoriale, suppression de la démocratie, développement du terrorisme, accroissement des haines raciales, interreligieuses, ethniques, contre les femmes, contre les étrangers, et bien entendu les risques de guerre mondiale, thermonucléaire ou pas, etc.

La vraie cause de toutes ces dérives de la société bourgeoise, à l’échelle mondiale, sont dans les fondements du système, c’est-à-dire inséparables des bases économiques de la société capitalistes, du fonctionnement même du grand capital.

Ce n’est pas le comportement individuel des êtres humains, que ce soit en termes de consommation d’énergie, ou de rejet des déchets, ou encore de pollution, qui détermine le fonctionnement du système, c’est l’investissement productif du grand capital.

Dans le monde capitaliste, ce n’est pas la consommation qui dirige le fonctionnement économique et social. Ce n’est pas non plus l’achat et la vente des marchandises qui décident de l’état de l’économie. Ce qui dirige, ce sont les marchés mais pas les marchés des marchandises : les marchés des capitaux, ce qui est très différent ! Le marché des capitaux est déterminant car les consommateurs de capitaux ne disposent pas en propre des capitaux qui sont nécessaires au fonctionnement. Ni les banques, ni les bourses, ni les spéculateurs, ni les industriels, ni les assurances, ni les trusts, ni les grands commerçants mondiaux, ni les transporteurs, etc., ne possèdent en personne assez de capitaux pour faire fonctionner leur part de l’économie capitaliste et sans ces capitaux, ils sont complètement à l’arrêt.

Prêter et emprunter du capital est, dans ces conditions, un des éléments clefs du fonctionnement.

Mais l’élément primordial est le mécanisme par lequel il devient possible de distribuer une rente au capital prêté. Ce mécanisme est celui qui produit une valeur supplémentaire, valeur qui peut ensuite seulement être distribuée entre tous les capitalistes, du prêteur de capitaux à l’industriel et aux commerciaux. C’est cette valeur supplémentaire, ou plus-value, qui est à l’origine de l’accroissement incessant de richesses qui génère le capitalisme, et qui fait son dynamisme, tant que cette plus-value est produite.

D’où vient la plus-value en système capitaliste est donc la question clef. Créer des richesses nouvelles, c’est du domaine de la production, tout à fait différent de rétribuer des capitalistes ou de distribuer de l’argent aux classes possédantes, ce qui est du domaine de l’échange. Par l’échange, on peut s’enrichir mais on ne peut pas produire de richesse supplémentaire. Les activités de banque, de finance, de commerce, de spéculation, d’échange, de transport peuvent enrichir leurs acteurs, aux dépens d’autres acteurs mais elles ne peuvent pas enrichir l’ensemble de la société capitaliste, car elles ne produisent pas de plus-value.

La plus-value n’est créée qu’en exploitant le travail productif humain, en volant le surtravail des prolétaires impliqués dans la production. Cela nécessite que des capitaux, appartenant à des propriétaires de capitaux, soient investis dans la production de marchandises et que les prolétaires, impliqués dans cette production, soient payés en dessous de la valeur des richesses supplémentaires que le travail introduit dans la valeur des marchandises transformées.

Il n’y a aucun autre moyen, dans le système capitaliste, de création de richesses. Si le grand capital se détourne de l’investissement productif, il devient incapable de produire de la plus-value et il ne peut plus distribuer de revenus aux divers acteurs capitalistes, ni des bénéfices bancaires, ni des bénéfices spéculatifs, ni des bénéfices commerciaux, ni des bénéfices de prêt de capitaux, ni rien…

La plus-value est le seul mode d’accroissement global du total des capitaux réels du monde capitaliste. Bien sûr, il existe de multiples moyens d’accroissement fictif du capital, mais, à terme, il est indispensable que les deux se rejoignent, sans quoi c’est la chute, le krach…

Or, depuis 2007, nous avons appris qu’un fossé de plus en plus large s’est creusé entre les deux de manière irréversible. Moins la plus-value est tirée de l’investissement productif et plus les capitaux sont poussés à se désinvestir de la production, ce qui signifie une tendance nécrophile profonde du capital, tendance qu’il est impossible de combattre vraiment car elle est causée par la recherche du profit individuel, base fondamentale des orientations du grand capital, qui ne peut pas être remise en cause sans supprimer le capitalisme lui-même.

En effet, pour les possesseurs privés de capitaux, il est devenu plus rentable de ne pas s’investir dans la production, et de choisir plutôt de s’investir dans divers domaines financiers, en particulier la titrisation des dettes privées et publiques, qui offrent des revenus bien plus faciles, plus rapides, plus sûrs, et d’autant plus importants qu’ils augmentent à mesure que les capitaux s’y investissent, ce qui n’est plus le cas de l’investissement productif.

C’est ce mécanisme fondamental qui a entraîné le système mondial au krach de 2007.

Depuis, un nouveau changement fondamental a eu lieu en 2008, un choix irréversible de l’ensemble du monde capitaliste et de ses dirigeants, le choix de détourner artificiellement le mécanisme économique du capitalisme, en empêchant toutes les faillites de grands capitalistes, privés, mixtes ou publics, par une intervention centrale massive, sur fonds publics.

Cela signifie que les Etats et les banques centrales se sont chargés eux-mêmes de rétribuer les revenus du grand capital, ce que le système ne pouvait plus faire automatiquement. Et depuis cette décision, nous ne sommes plus dans le même système économique, même si tout le monde nous dit que c’est encore le fonctionnement capitaliste qui domine. Le système n’est pas parvenu à éviter la crise du capitalisme, il a de lui-même détourné le fonctionnement capitaliste et serait bien incapable dorénavant de le remettre en route. Nous sommes donc non dans une période qui nous ramènerait d’une récession vers la prospérité mais dans une transition vers le chaos….

Cette nouvelle politique économique, appliquée par le capitalisme mondial, des USA à l’Europe, à l’Asie et au Japon, en passant par la Chine, la Russie ou l’Inde, mène à un accroissement incessant des dettes, privées comme publiques, et l’apparence de continuation du fonctionnement capitaliste coûte de plus en plus cher aux Etats et aux banques centrales. Tout cela ne peut que mener dans le mur car le prochain krach financier et économique, que le FMI lui-même annonce comme la perspective inévitable, se déroulera sans la moindre capacité des institutions financières centrales d’intervenir à la manière de 2008.

La voilà la véritable source de non-durabilité de la société capitaliste ! Ce n’est pas les comportements individuels qui peuvent l’empêcher ! Ce n’est pas en cessant de produire du gaz carbonique, ce n’est pas en diminuant leur consommation d’eau, ce n’est pas en ayant des attitudes responsables en termes de tri sélectif, ce n’est pas en favorisant les économies d’énergie, ce n’est pas en choisissant le commerce éthique, ce n’est pas en développant tout ce nouveau moralisme politique et social qu’on trouvera une issue à l’impasse actuelle de l’ancien système dominant !

Aucune réforme politique ou sociale du capitalisme ne peut non plus offrir une issue à l’agonie actuelle du capitalisme. Ni on ne peut revenir sur les choix réalisés en 2008, ni on ne peut revenir au capitalisme des alternances récession/prospérité, ni on ne peut obliger les capitaux privés à s’investir à nouveau dans la production, et ainsi développer à nouveau la création de plus-value.

Les classes possédantes savent parfaitement que leur temps est compté désormais. Elles savent que le prochain krach signifiera un véritable effondrement généralisé qui ne pourra que mener à l’arrêt économique et à la chute de toute stabilité politique et sociale. C’est pour cela qu’ils préparent tous les pare-feux politiques et sociaux qui leur permettront alors de contrer les risques engendrés par les réactions révolutionnaires des exploités.

En effet, si la crise de 2007-2008 n’a pas engendré de révolution prolétarienne, si les révolutions qui ont eu lieu au Maghreb, dans le monde arabe, en Afrique et ailleurs en sont restées au stade politique, démocratique, c’est non seulement parce que les impérialismes les ont noyées dans des guerres civiles sanglantes, dans le terrorisme et dans les bombardements, par la terreur générale, mais surtout parce que l’effondrement économique a été artificiellement retardé par les interventions financières centrales massives qui ont permis de remettre apparemment en route l’économie. Seules des parties excentrées du capitalisme, des moyens faibles, ont sauté. Les métropoles impérialistes n’ont pas connu la révolution. Des petits soubresauts syndicaux tout au plus… Des crises politiques…

Mais les classes possédantes savent parfaitement que ce n’est que partie remise, que cela ne durera pas, que les interventions financières publiques ne peuvent durablement pallier au retrait du capital privé des investissements productifs et qu’il n’y a donc aucune sorte de solution économique, aucune réforme du capitalisme. Le ressort capitaliste est définitivement cassé.

La « crise climatique », comme la « crise des migrants », la « crise de l’énergie », la « crise du terrorisme », la « crise de la Corée du Nord », la « montée des extrêmes droites », la « crise des valeurs occidentales », la nouvelle « crise Est-Ouest » entre les USA et la Russie ou la Chine, la crise guerrière en somme, et autres, sont des moyens politiques mis en œuvre par les classes dirigeantes et leurs Etats pour détourner l’attention des peuples travailleurs de la vraie cause d’effondrement du système mondial et des alternatives au chaos capitaliste.

Le réchauffement global n’est pas causé par l’activité humaine mais par l’accroissement des émissions de chaleur du centre de la Terre qui cause en même temps un accroissement du volcanisme, des séismes, et, du coup, des émissions gazeuses. L’avantage pour les classes dirigeantes, du discours écologiste moralisateur, c’est de culpabiliser les peuples et de blanchir les capitalistes, les vrais responsables de la pollution planétaire, c’est de faire croire que la lutte des classes ne serait pas la clef de tout le mécanisme social, c’est de placer l’individu au centre dans l’idéologie dominante, pour casser les liens de classe des exploités.

Le discours climatique global a un ennemi principal et ce n’est pas le gaz carbonique mais la révolution sociale ! Le capitalisme, qu’il soit vert ou pas, ne vaut plus un pet de lapin !

Messages

  • Le CO² sert de prétexte une nouvelle fois à la défense du nucléaire, soi-disant pour des raisons écologiques !!! Nicolas Hulot commence à annoncer qu’il renonce à son engagement de baisse de la part du nucléaire à 50% sous prétexte que le nucléaire serait sans production de CO² !!!

  • Les voitures électriques, c’est plus durable ?

    Oui, les batteries vont ensuite polluer éternellement !

    Quant au travail qui les construit, c’est l’esclavagisme ou pas mieux !

    Le cobalt est un composant essentiel des batteries rechargeables. En RD Congo, pays qui fournit 50% de la demande mondiale de cobalt, 20% du cobalt congolais sont extraits à la main dans des mines artisanales par des "creuseurs". "À partir d’outils à main rudimentaires, les mineurs artisanaux excavent des pierres de tunnels creusés profondément sous la terre et sont souvent victimes d’accident", décrivait Amnesty en 2016. "Malgré les effets potentiellement mortels sur la santé d’une exposition prolongée au cobalt, les mineurs, qu’ils soient adultes ou enfants, travaillent sans être protégés par des équipements les plus basiques." "Ces grandes marques [Renault, Samsung, Lenovo] n’ont pas apporté les preuves suffisantes que le cobalt qu’elles utilisaient dans leurs produits ne provenait pas des mines de République démocratique du Congo, où on a identifié que des enfants pouvaient y travailler et que des adultes risquent leur vie tous les jours dans des mines artisanales", dénonce Sabine Gagnier, porte-parole d’Amnesty France.
    "Pourtant, ces entreprises sont obligées de vérifier elles-mêmes qu’il n’y a pas de violations de droits humains dans leur chaîne de production de cobalt."

  • Pas gêné l’écolo de gouvernement Hulot : il renonce à l’engagement de réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité, il recule sur les perturbateurs endocriniens, il recule sur le traité Ceta, il recule sur la taxe sur les transactions financières, sur la centrale de biomasse de Gardanne, sur le projet autoroutier de contournement de Strasbourg, sur Notre-Dame des Landes, sur les obligations écologiques du secteur du Bâtiment, sur les obligations écologiques de l’industrie chimique. En fait, il n’est écolo que pour les discours de la COP23 comme son patron Macron qui a tous les bons mots dans la bouche mais aucun geste écolo réel dès que sont en jeu les intérêts du grand capital.

  • Les lampes LED ne sont pas si bonnes pour la planète…

    On les dit moins gourmandes en énergie... Et pourtant, selon une étude publiée mercredi 22 novembre dans la revue "Science Advance", les lampes à LED ne sont pas si économes que ça.

    Les éclairages LED émettent beaucoup de lumière bleue, néfaste à la santé.

  • Bravo et merci d’expliquer clairement la maladie de notre société, il faut pour redresser cette société rendre à la production sa nature primaire de création de richesse par la plus value liée à la sueur. Pour cela il faut commencer par réduire la taille des entreprises, faire en sorte qu’elle n’est plus la taille pour le lobbying, pour la casse de la concurrence sous prétexte de taille critique pour affronter le monde. Ce qui est le plus polluant, et qui coûte le plus cher c’est la logistique, or ce sont ces moyens logistiques qui ont tué la production la rendant esclave de la finance et de la rentabilité. La production en proximité des ressources et des besoins est une règle absolue à un développement harmonieux sur l’ensemble de la planète. Oui cela prend plus de temps, oui, les richesses produites sont moins immédiates, mais elles durent et profitent à l’ensemble des acteurs et non pas à une petite partie. D’ailleurs , les investisseurs ne sont rien sans nos bras, mais nous avons oublié ce que nous étions, que nous sommes leur bras, leur jambe et même aujourd’hui leur cerveau. De plus ils savent qu’ils ne maîtrisent pas ce dont ils ont profité, ce qu’ils ont créé, et ils fuient en essayant des solutions qui me font penser à coluche , un pansement sur une jambe de bois, mais leurs délires nous entrainent indubitablement dans un mur qui fera mal à l’humanité et à toute l’humanité.

  • Prix Nobel d’économie : deux Américains récompensés pour leurs travaux sur le réchauffement climatique !!! On vous a bien dit le prix Nobel d’économie, pas de climatologie !!!

  • Sous prétexte d’écologie, les villes vont être réservées aux véhicules des riches !!!

    Des péages urbains pourraient être instaurés aux portes des grandes villes françaises !!!

  • La loi Pacte reporte l’interdiction des pesticides, cause de cancers mortels, alors que le gouvernement prétend toujours être écologiste !!! La peste, c’est le gouvernement !!! Le « pacte », c’est un pacte avec le diable des trusts assassins !

  • L’essentiel des mesures écolo du gouvernement consistent en aides financières aux capitalistes sur fonds publics !

  • Le capitalisme en phase nécrophile ne sera jamais plus ni durable, ni soutenable, ni écologique, ni économiquement, ni humainement, ni socialement, supportable !!!

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