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Qu’est-ce que le matérialisme dialectique

dimanche 19 août 2018, par Robert Paris

Qu’est-ce que le matérialisme dialectique

Le matérialisme dialectique, c’est-à-dire la philosophie de Marx, de Lénine, de Trotsky et d’autres, n’est nullement la simple addition mathématique du matérialisme et de la dialectique, mais bel et bien une négation du matérialisme qui l’a précédé ainsi que de la dialectique qui préexistait, celle d’avant Hegel et, sur certains points aussi, celle de Hegel.

Le matérialisme le plus courant, non marxiste, conçoit le monde matériel de manière figée, continue, linéaire, progressive et sans révolutions. La dialectique la plus courante, non hégélienne et non marxiste, est conçue comme une simple version du syllogisme, une conception ternaire du discours, en forme thèse, antithèse et synthèse, qui se contente de progresser à pas au sein de la parole. Rien à voir avec la dialectique comme loi de transformation brutale du monde réel, telle que la conçoivent Hegel, Marx, Engels, Lénine, Trotsky. Cette dernière dialectique, contrairement à celle qui l’a précédé, ne considère pas la dialectique de la pensée humaine comme un élément séparé du reste du monde mais pense l’univers comme un tout dont la pensée n’est qu’un élément, inséparable des autres, fonctionnant selon la même logique que les autres éléments, matériels, inertes ou vivants, physiques ou humains. C’est donc une dialectique moniste (par opposition au dualisme, encore très courant, qui sépare et oppose corps et esprit).

Dans le cas de Marx et de ses disciples, c’est aussi une dialectique matérialiste, c’est-à-dire que la matière est première et la pensée humaine en est le produit. Mais on peut surtout dire que c’est la réalité objective, bien avant que la réalité soit pensée par l’homme, qui prime.

Pour Marx comme pour Hegel, la conception du monde doit être à la fois dynamique, historique, et émergente, ce qui suppose des changements brutaux, non seulement quantitatifs mais qualitatifs, une société étant porteuse non seulement de son propre fonctionnement mais d’autres potentialités, comme la société féodale a été porteuse de la bourgeoisie et la société capitaliste porteuse de la révolution prolétarienne. C’est vrai de la société humaine mais aussi de la matière vivante, porteuse de potentialités multiples, comme de la matière dite inerte, qui saute spontanément d’un état à un autre.

La locomotive de la dynamique historique, pour eux, est la contradiction révolutionnaire, celle part de l’intérieur du système et le détruit brutalement, comme elle détruit un état de la matière pour en produire un autre. Contrairement à ce que conçoit la métaphysique, on ne peut pas opposer diamétralement ordre et désordre, conservation et transformation.

C’est au sein des structures elles-mêmes, y compris quand elles semblent stables ou durables, que se trouvent les forces qui seront capables de la détruire.

Une autre particularité, c’est que les contradictions, si elles sont destructives, sont aussi constructives, étant capables de bâtir un nouvel ordre, comme l’atome radioactif qui s’autodétruit pour donner de nouvelles structures atomiques.

La dialectique, loi de la révolution

La dialectique est indispensable à la compréhension de la révolution sociale. En effet, en période de révolution, les contraires sont portés à leur extrême et ceux qui raisonnent en termes de progression lente, de moyennes, de continuité ne peuvent qu’être complètement désarçonnés. La révolution sociale mêle les contraires, les fait interagir à leur maximum : conscience des masses prolétariennes et rôle des minorités, organisation des masses et parti de classe, caractère révolutionnaire et caractère passif des masses, révolution et contre-révolution, radicalisme de classe et collaboration de classe. La lutte révolutionnaire amène à l’organisation du prolétariat : organisation de lutte mais aussi embryon de l’organisation de l’Etat ouvrier, organisme qui est lui-même sans cesse contradictoire, à la fois organisme le plus avancé de l’Histoire, car les masses prolétariennes y exercent directement le pouvoir, mais aussi le dernier reste de la barbarie passée, de l’oppression, de l’existence des classes sociales et de la dictature de l’Etat. La guerre révolutionnaire est, elle aussi, contradictoire dialectiquement, indispensable au prolétariat pour vaincre ses ennemis et, en même temps, force armée détachée de la société civile et qui peut se placer au-dessus d’elle. La bureaucratie de l’Etat ouvrier a le même caractère contradictoire : issue d’un Etat aux mains des prolétaires et mis en place par eux, mais nouvelle bureaucratie qui a nécessairement tendance à s’autonomiser et peut profiter de tout recul du prolétariat dans sa lutte contre la bourgeoisie capitaliste mondiale, de tout recul de la révolution mondiale. L’Etat ouvrier n’a pas besoin d’être dégénéré et de passer des mains des révolutionnaires aux mains des chefs de la bureaucratie pour avoir ce caractère contradictoire : il existe dès la naissance de l’Etat ouvrier.

Le cours même de la révolution développe de multiples nécessités politiques et sociales qui sont fondées sur des contradictions dialectiques : c’est souvent en soutenant la démocratie bourgeoise contre la contre-révolution dictatoriale et fasciste que la révolution sociale prend le dessus et parvient à la direction de la société, démolissant durablement ou définitivement la démocratie bourgeoise.

Le programme prolétarien lui-même a ce caractère contradictoire : il mêle revendications ou aspirations apparemment réformistes à des objectifs clairement et nettement révolutionnaires comme l’organisation autonome des masses en vue de leur propre pouvoir en détruisant de fond en comble le pouvoir des classes possédantes et leur mainmise sur les capitaux et les entreprises. Il part des aspirations immédiates des prolétaires et de tous les milieux populaires pour atteindre les sommets des capacités révolutionnaires du prolétariat. C’est un programme de transition et comme toute transition, il reflète à la fois le passé et le futur, pourtant complètement opposés. Un passé de passivité, d’inorganisation, de non participation à la direction de la société, et un futur qui est tout le contraire.

La conception opposée à la dialectique, qu’on l’appelle métaphysique, pensée dichotomique, opposition diamétrale, esprit de rangement, dresse des barrières infranchissables entre les contraires : révolution/contre-révolution alors que la même période fait monter les deux, offensive/défensive, revendications et réformes/révolution, action économique et action politique des prolétaires, avancées et reculs, etc. La situation révolutionnaire, ou pré-révolutionnaire, bascule rapidement d’un extrême à l’autre, perdant complètement les esprits dichotomiques qui se découragent rapidement. Les masses passent aisément d’un extrême à l’autre. Les classes possédantes aussi !

Il n’existe pas de politique révolutionnaire possible sans la dialectique de Hegel, de Marx, de Engels, de Lénine et de Trotsky. Car les situations critiques sans conception dialectique, c’est comme la tempête en montagne sans boussole, sans carte et sans connaissance des reliefs. C’est l’échec assuré !

Le point de vue non dialectique affirme que le révolutionnaire ne doit pas toucher à une revendication réformiste, ne doit pas toucher à une organisation réformiste, ne doit pas s’adresser aux organisations réformistes pour les mettre au pied du mur, ne doit pas proposer un programme d’unité de combat de classe pour démontrer à la majorité encore non consciemment révolutionnaire que les dirigeants réformistes trahissent, ne doit pas construire des programmes de transition amenant les prolétaires des buts immédiats aux buts futurs, de la réforme à la révolution.

Les non-dialecticiens se contentent de proclamer : à bas la réforme, à bas les revendications réformistes, à bas le capitalisme et vive le communisme, sans admettre qu’il faudra bien une transition qui amène les masses de l’un à l’autre.

Les non-dialecticiens se tournent soit vers le parti révolutionnaire, soit vers l’organisation spontanée des masses prolétariennes, et opposent diamétralement les deux, alors qu’en réalité les deux s’opposent dialectiquement, c’est-à-dire se composent et sont interdépendants de manière inéluctable. De même qu’ils opposent la théorie et la pratique, l’activisme et l’étude politique, le syndicalisme et le travail de parti, la politique et la philosophie, etc.

Les non-dialecticiens ne comptent pas sur le développement contradictoire de la situation. Ils veulent trancher dans le vif, en se contentant d’affirmer les oppositions de principe et en les considérant comme des armes suffisantes, sans nécessité pour les minorités révolutionnaires de s’adresser aux éléments non-révolutionnaires, d’expliquer inlassablement, de proposer des transitions, des adresses aux non-révolutionnaires, des unités avec les éléments non-révolutionnaires, des programmes, des modes d’organisation et d’action qui entraînent et convainquent les prolétaires non-révolutionnaires.

Pour les non-dialecticiens, tant que le capitalisme n’a pas été renversé révolutionnairement par le prolétariat, c’est qu’il est toujours viable, qu’il fonctionne toujours normalement, que son principe de base est en bon état, que sa dynamique peut toujours lui permettre de résoudre ses contradictions, certes sur le dos des exploités, mais en retrouvant sans cesse sa capacité à se relancer. La contradiction dialectique est, au contraire, capable de comprendre que le capitalisme peut durer un certain temps, même après que sa dynamique soit cassée, comme l’arbre mort se maintient un certain temps. La chute d’une société, d’une civilisation, d’un mode de production, d’un régime est brutale, discontinue, mais n’est pas instantanée, ponctuelle, et diamétrale. Les opposés s’interpénètrent là aussi.

Ne séparant jamais diamétralement l’action et la réaction, la matière et l’énergie, le réel et le virtuel, la matière et le vide, l’ordre et le désordre, le durable et l’éphémère, la conception dialectique offre en sciences comme en politique une vision très différente de la conception métaphysique, dichotomique, diamétrale qui range les contraires dans des tiroirs séparés, qui n’ont pas d’interaction, qui ne s’interpénètrent pas. Elle le fait aussi bien de la matière et de la lumière, de l’onde et du corpuscule, du vivant et de l’inerte, des espèces entre elles, des hémisphères cérébraux, des zones cérébrales, des états de la matière, etc. La pensée non-dialectique est incapable de concevoir les transitions de phase, transformation qualitatives indispensables à la compréhension du monde. Elle fait comme si le monde évoluait soit entre des catégories fixes, préétablies, entièrement formées, sans transition soit de manière progressive, continue, sans rupture, sans transition…

Le plus grand piège pour les minorités révolutionnaires qui combattent sans cesse l’opportunisme, c’est d’être non-philosophiques et non-dialectiques, car cela ne peut que les amener à tomber dans le sectarisme. Or le sectarisme ne permet pas de s’isoler de la trahison et ne fait qu’isoler la minorité révolutionnaire du prolétariat lui-même !

Le matérialisme dialectique, vision historique de la transformation qualitative révolutionnaire du monde réel

Le matérialisme dialectique s’oppose à la dialectique idéaliste au sens où elle considère que notre pensée doit être dialectique parce que le monde réel obéit à des lois dialectiques.

Le marxisme emploie l’expression de « dialectique de la nature » quand l’idéalisme dialectique se contente de « dialectique de la pensée », c’est tout à fait différent !!!

L’existence de « lois dialectiques » de l’Univers ne signifie pas que la dialectique remplace les lois de la physique, de la chimie, de la biologie et autres… Non, elle signifie que ces lois sont celles d’un monde unique qui ne peut pas être décrit sur un mode non dialectique. Cela signifie que tous les concepts doivent être contradictoires en soi, posséder en eux-mêmes leur propre contraire, détenir au sein du système le fonctionnement d’un autre système, et aussi les moyens de leur propre destruction.

C’est objectivement que le monde est dialectique et pas parce que c’est l’homme, la pensée humaine, qui l’observe. La contradiction n’est pas une limite des capacités de l’homme, une faiblesse de la connaissance ou une limite de celle-ci.

La pensée dialectique ne fait que suivre la logique dialectique du monde réel !

La matière, la lumière, le vide sont contradictoires en soi. Les paramètres de ceux-ci sont contradictoires en soi. Leurs états sont contradictoires en soi.

Les contraires en question sont interdépendants, sans cesse interactifs, ne peuvent exister les uns sans les autres.

Pas de corpuscule sans onde et inversement.

Pas de matière sans énergie et pas d’énergie sans matière.

Pas de corpuscule réel sans corpuscule virtuel. Pas de corpuscule virtuel qui ne passe pas au réel avec une injection de suffisamment d’énergie.

Toutes les séparations de pensée entre les concepts contraires est inopérante en physique, en chimie, en biologie, en évolution des espèces, en évolution de l’homme, comme en évolution des sociétés humaines…

Régression et progrès, révolution et contre-révolution, science et ignorance, ordre et désordre, Etat et révolution sont des contraires qui ne peuvent que se lier, se combattre mais aussi s’interpénétrer, se changer l’un dans l’autre. La guerre combat la révolution même si elle entraîne la révolution. L’Etat des classes possédantes combat la révolution et aussi elle cause la révolution. L’ordre, porté à un extrême, entraîne un désordre. Le désordre crée un nouvel ordre.

La dynamique ne fait pas que produire un désordre croissant. Elle produit aussi des ordres émergents, de nouvelles structures. L’histoire crée du nouveau, invente, bricole, construit, détourne les objectifs des structures existantes, etc. La pensée dialectique conçoit le changement historique, à commencer par le changement social du prolétariat soumis au prolétariat révolutionnaire, le changement le plus étonnant puisqu’il concerne la classe que les révolutionnaires ont choisi comme locomotive de l’Histoire et que les réformistes et opportunistes ne voient que comme masse passive, inorganisée, se contentant de faire grève et de manifester en nombre. Les révolutionnaires la voient comme une classe capable d’inventer un monde nouveau, pour peu qu’elle décide de se réunir, de discuter, de réfléchir, de raisonner sur le monde et de décider, de faire appliquer ses décisions, de vérifier comment elles ont été appliquées, en somme d’agir de manière révolutionnaire.

Le prolétariat, classe révolutionnaire historique, est la catégorie la plus dialectique de l’Histoire : elle produit un bond dialectique le plus impressionnant et le plus important dont l’humanité ne peut absolument pas se passer pour effectuer sa transition de la barbarie à la civilisation, de l’exploitation et de l’oppression à la liberté !

La suite

Remarque finale : bien des gens croient que Staline a théorisé le matérialisme dialectique, mais, en fait, les nègres qui ont écrit en son nom diffusent une conception idéaliste selon laquelle le matérialisme dialectique c’est la pensée marxiste et non la loi de transformation du monde réel.

Staline : « Le matérialisme dialectique est la théorie générale du parti marxiste-léniniste. Le matérialisme dialectique est ainsi nommé parce que la façon de considérer les phénomènes de la nature, sa méthode d’investigation et de connaissance est dialectique, et son interprétation, sa conception des phénomènes de la nature, sa théorie est matérialiste.
Le matérialisme historique étend les principes de du matérialisme dialectique à l’étude de la vie sociale ; il applique ces principes aux phénomènes de la vie sociale, à l’étude de la société, à l’étude de l’histoire de la société. »

Au lieu de la « dialectique de la nature » de Marx-Engels, Staline « invente » un prétendu matérialisme dialectique, appartenant seulement au parti stalinien !!!

Remarquons également comment Staline, prétendant ainsi radicaliser l’opposition entre Hegel et Marx, rejette la « négation de la négation » de Hegel et de Marx-Engels, Lénine et… Trotsky !!!

Lire encore sur le matérialisme

Lire encore sur la dialectique

Lire ici comment Staline a physiquement éliminé… le terme de « négation » du matérialisme dialectique !!!

Voici ce que disait notamment Engels de la négation de la négation

Messages

  • PARUTION chez Delga-Editions de
    FIN(S) DE L’HISTOIRE,
    Le tome V de « Lumières communes », par Georges Gastaud.
    Madame, Monsieur,
    Cher(e) collègue, ami(e) ou camarade (rayer la mention inutile s’il y a lieu !),

    Les Editions Delga viennent de publier le Tome V de mon livre Lumières communes, traité de philosophie générale à la lumière du matérialisme dialectique, dont les quatre premiers tomes sont sortis en 2016*.

    Ce tome V, intitulé Fin(s) de l’histoire, traite notamment de philosophie politique, d’éthique et d’esthétique à travers une approche dia-matérialiste du sens, que l’auteur refuse d’abandonner au spiritualisme… ou aux diverses variantes du nihilisme.

    Ce tome peut au besoin être lu indépendamment des quatre premiers tomes.

    Pour commander ce livre, il vous suffit d’envoyer un chèque de 30 euros (les frais de port sont offerts) libellé à l’ordre des Editions Delga à l’adresse suivante :

    Editions Delga, 38 rue Dunois, 75013 Paris

    Ne pas oublier d’indiquer votre adresse et le titre du livre :
    "Georges Gastaud, Fin(s) de l’histoire" ou "Gastaud : Lumières communes tome V ».

    NB : Les quatre tomes de la première édition de Lumières communes sont épuisés mais seront réimprimés avant la fin de l’année. Ils coûtent 70 €. Mais si vous souhaitez recevoir les cinq tomes, il faut faire deux chèques à part, l’un pour les quatre premiers tomes d’un côté (70 €), et le second pour le T. 5 (30 €) de l’autre.
    A la fin du tome V figure une table des matières couvrant l’ensemble des cinq tomes.

    Merci de votre attention. Georges Gastaud

  • Lumières communes, traité de philosophie à la lumière du matérialisme dialectique, de Georges Gastaud, en cinq volumes, est sur le point de reparaître dans une nouvelle édition revue et corrigée par l’auteur et augmentée d’un index.
    Envoyer s.v.p. vos chèques à : Editions Delga, 38 rue Dunois, 75013 Paris

  • Cher(e)s ami(e)s et camarades,

    Vous pouvez si vous le souhaitez commander auprès de mon éditeur, Delga, ou de moi-même, l’édition revue et actualisée (2020) de LUMIERES COMMUNES, traité de philosophie générale à la lumière du matérialisme dialectique. Elle se présente en quatre tomes vendus solidairement au prix de

    T. 1, Philosophie et matérialisme dialectique

    T. 2, Théorie dia-matérialiste de la connaissance / Classification dynamique des sciences

    T. 3. Sciences et dialectique de la nature

    T. 4. Anthropologie et matérialisme historique

    A quoi s’ajoute le

    T. V intitulé « Fin(s) de l’histoire » portant sur les questions du sens (axiologie, philosophie politique, éthique, esthétique, « sagesse de la révolution », « conception du monde »).

    L’ENSEMBLE EST VENDU 100 €, à mon ordre si vous commandez en répondant sur ce courriel. Je fais grâce des frais de port (sauf pour l’étranger).

    Merci de m’aider à faire connaître ce livre qui fait l’objet d’une omertà médiatique et journalistique impitoyable tant il va à contre-courant, sur la forme comme sur le fond, de la doxa. Y compris, pour risquer l’oxymore, de la « doxa philosophique »…

    Georges Gastaud, ancien professeur de philosophie en Classes préparatoires aux grandes écoles scientifiques.

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