Dix ans après l’explosion d’AZF (Toulouse), la vérité est interdite et la sécurité, nullement imposée aux trusts, doit être payée par les habitants
29 août 2012, 09:27, par RP
Selon le quotidien "Sud Ouest", dans une enquête à paraître mercredi 29 août, une expertise remettrait en cause la thèse officielle selon laquelle l’usine AZF aurait été détruite par l’explosion d’un stock de 300 tonnes de nitrate d’ammonium, entreposé dans le hangar 221 causant la mort de 31 personnes le 21 septembre 2001 à Toulouse.
Cette nouvelle version repose sur une fuite d’Ergol, le carburant des fusées, qui aurait eu lieu sur le site voisin de la SNPE. Le journal cite notamment une revue spécialisée dans le droit du danger et le management du risque, qui explique qu’une première explosion seraient à l’origine de vibrations qui auraient fait exploser deux bombes dormante situées sous le hangar de l’usine AZF.
Cette piste n’aurait pas été suivie par l’instruction judiciaire car la SNPE est protégée par le secret-défense.
Selon le quotidien "Sud Ouest", dans une enquête à paraître mercredi 29 août, une expertise remettrait en cause la thèse officielle selon laquelle l’usine AZF aurait été détruite par l’explosion d’un stock de 300 tonnes de nitrate d’ammonium, entreposé dans le hangar 221 causant la mort de 31 personnes le 21 septembre 2001 à Toulouse.
Cette nouvelle version repose sur une fuite d’Ergol, le carburant des fusées, qui aurait eu lieu sur le site voisin de la SNPE. Le journal cite notamment une revue spécialisée dans le droit du danger et le management du risque, qui explique qu’une première explosion seraient à l’origine de vibrations qui auraient fait exploser deux bombes dormante situées sous le hangar de l’usine AZF.
Cette piste n’aurait pas été suivie par l’instruction judiciaire car la SNPE est protégée par le secret-défense.