très mauvaise façon de décrire ce qui se passe réellement dans le cerveau : il n’y a JAMAIS contradiction, guerre, ou jeu de quelque nature que ce soit !
vous vous représentez les deux hémisphères comme deux entités ayant chacune leur personnalité ! alors que c’est de la matière cérébrale identique de partout dans laquelle des zones vont se spécialiser suivant les expériences de vie appliquées aux "obligations " logiques (c’est à dire que la zone de réception et premier traitement des infos véhiculées depuis la rétine se trouve dans la ligne la plus courte derrière l’oeil )
toutes les zones spécialisées sont obligées de fonctionner en synergie, synchronicité : cad pile le contraire de ce que vous annoncez au début de l’article. ce qui gère en bout de course le traitement final n’est pas localisé à droite plus qu’à gauche(la prise de décision n’est pas du tout un bouton sur lequel on appuierait, et avec lequel on serait né !!!!) On connait assez aujourd’hui la plasticité du cerveau et l’on sait que des zones abimées peuvent transférer leur compétence à des zones voisines.
très mauvaise façon de décrire ce qui se passe réellement dans le cerveau : il n’y a JAMAIS contradiction, guerre, ou jeu de quelque nature que ce soit !
vous vous représentez les deux hémisphères comme deux entités ayant chacune leur personnalité ! alors que c’est de la matière cérébrale identique de partout dans laquelle des zones vont se spécialiser suivant les expériences de vie appliquées aux "obligations " logiques (c’est à dire que la zone de réception et premier traitement des infos véhiculées depuis la rétine se trouve dans la ligne la plus courte derrière l’oeil )
toutes les zones spécialisées sont obligées de fonctionner en synergie, synchronicité : cad pile le contraire de ce que vous annoncez au début de l’article. ce qui gère en bout de course le traitement final n’est pas localisé à droite plus qu’à gauche(la prise de décision n’est pas du tout un bouton sur lequel on appuierait, et avec lequel on serait né !!!!) On connait assez aujourd’hui la plasticité du cerveau et l’on sait que des zones abimées peuvent transférer leur compétence à des zones voisines.