La dialectique, c’est la vie. Penser le monde sans la dynamique des contradictions, c’est la mort....
3 janvier 2012, 19:29, par MOSHE
Conclusions
La dialectique n’a rien d’un jeu gratuit.
Le vivant porte en lui la matière inanimée. Il est sans cesse attiré par la mort de ses cellules. La loi de mort spontanée est la première loi du vivant. C’est elle qui structure les éléments de la vie. En même temps, le vivant est un combat incessant contre la mort.
L’ordre est issu du désordre.
Le réel est la négation de l’actuel et la double négation du virtuel.
Pas de conscience sans inconscient.
Pas de rationnel sans irrationnel.
Le contingent est indispensable à l’établissement de la loi.
La meilleure compréhension de la « chose » matière est qu’il n’y a pas de chose. La compréhension du vide est qu’il n’y pas de vide. La meilleure compréhension du réel est qu’il est le virtuel. La meilleure compréhension du très grand est dans le très petit.
C’est seulement la destruction qui permet la conservation.
Le simple mouvement matériel nécessite la contradiction. La présence d’un objet ici nécessite de concevoir son absence.
Conclusions
La dialectique n’a rien d’un jeu gratuit.
Le vivant porte en lui la matière inanimée. Il est sans cesse attiré par la mort de ses cellules. La loi de mort spontanée est la première loi du vivant. C’est elle qui structure les éléments de la vie. En même temps, le vivant est un combat incessant contre la mort.
L’ordre est issu du désordre.
Le réel est la négation de l’actuel et la double négation du virtuel.
Pas de conscience sans inconscient.
Pas de rationnel sans irrationnel.
Le contingent est indispensable à l’établissement de la loi.
La meilleure compréhension de la « chose » matière est qu’il n’y a pas de chose. La compréhension du vide est qu’il n’y pas de vide. La meilleure compréhension du réel est qu’il est le virtuel. La meilleure compréhension du très grand est dans le très petit.
C’est seulement la destruction qui permet la conservation.
Le simple mouvement matériel nécessite la contradiction. La présence d’un objet ici nécessite de concevoir son absence.