Nos mémoires fonctionnent elles aussi à plusieurs niveaux hiérarchiques : mémoire génétique, mémoire cellulaire, mémoire des organes, mémoire des systèmes (nerveux, immunitaire, gastrique, cardiaque, cérébral, ...), mémoire des parties du corps, mémoire événementielle, mémoire des mots, des formes, des visages, ...
Ces mémoires ne sont pas un simple enregistrement d’un fait mais une construction dynamique et inventive du présent et du passé dirigée vers l’avenir. Les éléments de mémoires émergent : ils sont des ilots d’ordre émergent au sein du grand désordre des messages neuronaux.
Les "éléments" de mémoire ne sont pas des faits mais des connexions, des liens entre un sentiment, une impression, un son, une couleur, un mouvement, une attitude, une observation. ces connexions sont des constructions dynamiques de liaisons.
Là où nous avons le plus conscience de la place de la mémoire, c’est lorsque nous ne la possédons pas : enfance, vieillesse, accident, handicap, inhibition, peur, interdit....
Nos mémoires fonctionnent elles aussi à plusieurs niveaux hiérarchiques : mémoire génétique, mémoire cellulaire, mémoire des organes, mémoire des systèmes (nerveux, immunitaire, gastrique, cardiaque, cérébral, ...), mémoire des parties du corps, mémoire événementielle, mémoire des mots, des formes, des visages, ...
Ces mémoires ne sont pas un simple enregistrement d’un fait mais une construction dynamique et inventive du présent et du passé dirigée vers l’avenir. Les éléments de mémoires émergent : ils sont des ilots d’ordre émergent au sein du grand désordre des messages neuronaux.
Les "éléments" de mémoire ne sont pas des faits mais des connexions, des liens entre un sentiment, une impression, un son, une couleur, un mouvement, une attitude, une observation. ces connexions sont des constructions dynamiques de liaisons.
Là où nous avons le plus conscience de la place de la mémoire, c’est lorsque nous ne la possédons pas : enfance, vieillesse, accident, handicap, inhibition, peur, interdit....