Le commentaire (en VF Pascal Elbé, qui ne fait pas certaines liaisons) est très anthropomorphique : on met en scène les animaux en leur donnant des prénoms, des statuts et des rapports humains, en leur prêtant des sentiments, en leur attribuant des attitudes. C’est du Disney tout craché, sensé être fait pour les enfants. On parle du père, des fils, de la fille et de sa mère, de la sœur (femelles ? retirez-moi ce mot !), on ne les voit jamais s’accoupler, on évite les zooms sur la barbaque sanguinolente, on ne dit pas que des interventions vétérinaires ont (certainement) eu lieu ; bref, c’est anti-scientifique, rêveur, infantilisant au possible.
Le commentaire (en VF Pascal Elbé, qui ne fait pas certaines liaisons) est très anthropomorphique : on met en scène les animaux en leur donnant des prénoms, des statuts et des rapports humains, en leur prêtant des sentiments, en leur attribuant des attitudes. C’est du Disney tout craché, sensé être fait pour les enfants. On parle du père, des fils, de la fille et de sa mère, de la sœur (femelles ? retirez-moi ce mot !), on ne les voit jamais s’accoupler, on évite les zooms sur la barbaque sanguinolente, on ne dit pas que des interventions vétérinaires ont (certainement) eu lieu ; bref, c’est anti-scientifique, rêveur, infantilisant au possible.