Qu’a fait l’extrême gauche française de son temps de parole aux élections présidentielles ?
13 avril 2012, 20:55, par Max
Il nous ont fait rire et pleurer...ce qui n’est déjà pas si mal pour un cirque électoral.
Il n’y a aucune révolte, aucune rage, aucune âme révolutionnaire.
Les analyses politiques n’existent pas.
La critique de l’Etat est résumée à celle d’un gouvernement ou de partis.
La critique des patrons est plate et sans convictions, au mieux comme un discours syndicaliste prêt à l’emploi.
La question de l’internationalisme prolétarien et du capitalisme mondiale, est carrément absente ou volontairement sur un terrain nationaliste.
Bref une campagne ou on fait passer le communisme pour du syndicalisme radical, et l’anticapitalisme pour ce qu’il est : une pression sur un système jugé injuste, c’est dire leretour en arrière de 2 siècles qui nous ramène aux socialistes utopiques et aux fronts populaires du 21ème siècles qui seront les tombeaux à nouveaux, des luttes révolutionnaires.
Tout un programme non pas de luttes mais de 5ème roue du carrosse syndicale et donc réformiste, dans un monde ou le fascisme et la révolution sociale frappe à la porte en même temps.
Il nous ont fait rire et pleurer...ce qui n’est déjà pas si mal pour un cirque électoral.
Il n’y a aucune révolte, aucune rage, aucune âme révolutionnaire.
Les analyses politiques n’existent pas.
La critique de l’Etat est résumée à celle d’un gouvernement ou de partis.
La critique des patrons est plate et sans convictions, au mieux comme un discours syndicaliste prêt à l’emploi.
La question de l’internationalisme prolétarien et du capitalisme mondiale, est carrément absente ou volontairement sur un terrain nationaliste.
Bref une campagne ou on fait passer le communisme pour du syndicalisme radical, et l’anticapitalisme pour ce qu’il est : une pression sur un système jugé injuste, c’est dire leretour en arrière de 2 siècles qui nous ramène aux socialistes utopiques et aux fronts populaires du 21ème siècles qui seront les tombeaux à nouveaux, des luttes révolutionnaires.
Tout un programme non pas de luttes mais de 5ème roue du carrosse syndicale et donc réformiste, dans un monde ou le fascisme et la révolution sociale frappe à la porte en même temps.