Alors que les urgentistes ont, le 23 juillet dernier, obtenu gain de cause grâce à une réduction de leur temps de travail (désormais limitée à 48 heures hebdomadaires maximum dont 39 heures de travail clinique), des voix s’élèvent pour dénoncer une mesure qui exclut le reste des praticiens hospitaliers.
Alors que les urgentistes ont, le 23 juillet dernier, obtenu gain de cause grâce à une réduction de leur temps de travail (désormais limitée à 48 heures hebdomadaires maximum dont 39 heures de travail clinique), des voix s’élèvent pour dénoncer une mesure qui exclut le reste des praticiens hospitaliers.