Plus de 10 000 ouvriers se sont mis en grève depuis la fin novembre dans le Guangdong, où sont basées la majorité des usines travaillant pour l’export. « Les mouvements sociaux vont augmenter car un nombre croissant d’ouvriers en usines, et dans d’autres secteurs comme les transports, n’arrivent plus à joindre les deux bouts », estime Geoffrey Crothall, porte-parole de China Labour Bulletin, une ONG basée à Hongkong, qui défend les droits des travailleurs chinois.
On recense environ 30 000 grèves et arrêts de travail par an, mais on en attend davantage, car les entreprises en difficulté suppriment les heures supplémentaires, sans lesquelles les ouvriers ne gagnent pas assez pour vivre. D’autres protestent contre le transfert de leur usine dans des régions meilleur marché, car les patrons en profitent pour leur faire signer des contrats moins avantageux.
Plus de 10 000 ouvriers se sont mis en grève depuis la fin novembre dans le Guangdong, où sont basées la majorité des usines travaillant pour l’export. « Les mouvements sociaux vont augmenter car un nombre croissant d’ouvriers en usines, et dans d’autres secteurs comme les transports, n’arrivent plus à joindre les deux bouts », estime Geoffrey Crothall, porte-parole de China Labour Bulletin, une ONG basée à Hongkong, qui défend les droits des travailleurs chinois.
On recense environ 30 000 grèves et arrêts de travail par an, mais on en attend davantage, car les entreprises en difficulté suppriment les heures supplémentaires, sans lesquelles les ouvriers ne gagnent pas assez pour vivre. D’autres protestent contre le transfert de leur usine dans des régions meilleur marché, car les patrons en profitent pour leur faire signer des contrats moins avantageux.