Le pape va-t-il réussir son coup d’état ou va-t-il faire exploser la papauté ?
23 février 2013, 03:16
Alors que le pape Benoît XVI vient d’annoncer qu’il allait donner sa démission – chose qui ne s’était jamais vue jusqu’à présent en ce qui concerne les plus hautes instances de l’Eglise – l’Allemand Ernst von Freyberg, un avocat membre de l’Ordre de Malte, a été nommé vendredi à la tête de l’IOR, la banque du Vatican.
Simple hasard de calendrier ? sincèrement je n’y crois pas et je ne suis pas la seule … Suspectant même que la retraite du pape soit tant due à son âge canonique … qu’aux scandales entourant la banque du Vatican. De là à ce que la « décision » du pape soit liée à cette nomination …
En tout état de cause, rappelons que l’établissement financier était privée de président depuis le limogeage d’Ettore Gotti Tedeschi en mai 2012.
Si l’on en croit le communiqué, la décision a été prise par la Commission cardinalice de surveillance de l’Institut pour les affaires religieuses (IOR) « à l’issue d’une profonde évaluation et d’une série d’entretiens qui ont duré plusieurs mois ».
Le porte-parole du Saint-Siège a par ailleurs tenu à préciser que le pape avait clairement donné son assentiment sur cette nomination, alors même que sa démission devrait être officiellement rendue en fin de mois.
Alors que le pape Benoît XVI vient d’annoncer qu’il allait donner sa démission – chose qui ne s’était jamais vue jusqu’à présent en ce qui concerne les plus hautes instances de l’Eglise – l’Allemand Ernst von Freyberg, un avocat membre de l’Ordre de Malte, a été nommé vendredi à la tête de l’IOR, la banque du Vatican.
Simple hasard de calendrier ? sincèrement je n’y crois pas et je ne suis pas la seule … Suspectant même que la retraite du pape soit tant due à son âge canonique … qu’aux scandales entourant la banque du Vatican. De là à ce que la « décision » du pape soit liée à cette nomination …
En tout état de cause, rappelons que l’établissement financier était privée de président depuis le limogeage d’Ettore Gotti Tedeschi en mai 2012.
Si l’on en croit le communiqué, la décision a été prise par la Commission cardinalice de surveillance de l’Institut pour les affaires religieuses (IOR) « à l’issue d’une profonde évaluation et d’une série d’entretiens qui ont duré plusieurs mois ».
Le porte-parole du Saint-Siège a par ailleurs tenu à préciser que le pape avait clairement donné son assentiment sur cette nomination, alors même que sa démission devrait être officiellement rendue en fin de mois.