Le pape va-t-il réussir son coup d’état ou va-t-il faire exploser la papauté ?
23 février 2013, 03:18
Au final, les paiements par carte bancaire au Vatican n’auront repris que le 12 février dernier, après une interruption de six semaines … et un jour après l’annonce de la prochaine démission de Benoit XVI.
Quelques jours auparavant, démentant des informations parues dans la presse italienne, le porte-parole du Vatican avait affirmé que l’IOR n’était pas impliqué dans le rachat en 2007 d’Antonveneta par Monte dei Paschi di Siena.
Et ce, alors que le Corriere della Sera avait au contraire laissé entendre que l’administrateur délégué de l’IOR avait participé à des réunions « sensibles et importantes » avec Monte dei Paschi, lors du rachat d’Antonveneta, dossier au centre d’une affaire de corruption.
Rappelons en effet que Monte dei Paschi avait versé plus de neuf milliards d’euros à Banco Santander pour s’emparer d’Antoveneta, quelques semaines à peine après l’avoir rachetée pour 6,6 milliards. Chose qui intrigue actuellement la justice italienne, laquelle tente de déterminer s’il y a eu ou non versement de pots-de-vin.
Au final, les paiements par carte bancaire au Vatican n’auront repris que le 12 février dernier, après une interruption de six semaines … et un jour après l’annonce de la prochaine démission de Benoit XVI.
Quelques jours auparavant, démentant des informations parues dans la presse italienne, le porte-parole du Vatican avait affirmé que l’IOR n’était pas impliqué dans le rachat en 2007 d’Antonveneta par Monte dei Paschi di Siena.
Et ce, alors que le Corriere della Sera avait au contraire laissé entendre que l’administrateur délégué de l’IOR avait participé à des réunions « sensibles et importantes » avec Monte dei Paschi, lors du rachat d’Antonveneta, dossier au centre d’une affaire de corruption.
Rappelons en effet que Monte dei Paschi avait versé plus de neuf milliards d’euros à Banco Santander pour s’emparer d’Antoveneta, quelques semaines à peine après l’avoir rachetée pour 6,6 milliards. Chose qui intrigue actuellement la justice italienne, laquelle tente de déterminer s’il y a eu ou non versement de pots-de-vin.