Le contrôle de la jeunesse est une arme contre toute révolution sociale.
29 juillet 2012, 19:45
Dans un classe dont je suis profESSEUR, j’attends que les "jeunes" soient des ELEVES.
Que ce qui refusent de l’être soient confiés à d’autres fonctionnaires, ou non-fonctionnaires, mais qui n’ont pas devant eux 30 ou 40 autres élèves, et non pas que l’on tente de me ramener dans mon cours des élèves infects qui s’attachent à saboter mon métier, qui ne vous en déplaise peut-être utile si l’on me permet de l’exercer. Faire cours dans une ambiance calme était possible, il y a quelques années. Ce n’’est plus possible, mais les classes dirigeantes ne sont pas seules responsables de cela, sauf à considérer que les mentalités ne découlent que de leur choix. Cela ne fonctionne pas dans le cas de l’Ecole, car le pédagogisme a d’abord été porté par la "gauche", et longtemps freiné par la droite, qui le pratique aujourd’hui avec l’émerveillement du converti.
Dans un classe dont je suis profESSEUR, j’attends que les "jeunes" soient des ELEVES.
Que ce qui refusent de l’être soient confiés à d’autres fonctionnaires, ou non-fonctionnaires, mais qui n’ont pas devant eux 30 ou 40 autres élèves, et non pas que l’on tente de me ramener dans mon cours des élèves infects qui s’attachent à saboter mon métier, qui ne vous en déplaise peut-être utile si l’on me permet de l’exercer. Faire cours dans une ambiance calme était possible, il y a quelques années. Ce n’’est plus possible, mais les classes dirigeantes ne sont pas seules responsables de cela, sauf à considérer que les mentalités ne découlent que de leur choix. Cela ne fonctionne pas dans le cas de l’Ecole, car le pédagogisme a d’abord été porté par la "gauche", et longtemps freiné par la droite, qui le pratique aujourd’hui avec l’émerveillement du converti.