Quand les économistes, capitalistes, banquiers et financiers sont très pessimistes sur l’avenir du système
20 novembre 2012, 02:26
L’État anglais pourrait ne jamais récupérer les 66 milliards de livres (82 milliards d’euros) injectés au capital de Royal Bank of Scotland (RBS) et Lloyds. Le sauvetage de Northern Rock devrait coûter 2 milliards de livres.
Les parlementaires britanniques dressent un sombre bilan du sauvetage du secteur bancaire britannique en 2008. L’État pourrait ne jamais récupérer la totalité des 66 milliards de livres (82 milliards d’euros) injectés au capital des banques Royal Bank of Scotland (RBS) et Lloyds Banking Group au plus fort de la crise, redoute une commission parlementaire, dans un rapport publié ce vendredi. Sa crainte est que les candidats au rachat soient trop peu nombreux pour valoriser ces établissements, lorsqu’ils seront privatisés. Les pouvoirs publics - et donc les contribuables - détiennent toujours 81% de RBS et 39,6% de Lloyds.
L’État anglais pourrait ne jamais récupérer les 66 milliards de livres (82 milliards d’euros) injectés au capital de Royal Bank of Scotland (RBS) et Lloyds. Le sauvetage de Northern Rock devrait coûter 2 milliards de livres.
Les parlementaires britanniques dressent un sombre bilan du sauvetage du secteur bancaire britannique en 2008. L’État pourrait ne jamais récupérer la totalité des 66 milliards de livres (82 milliards d’euros) injectés au capital des banques Royal Bank of Scotland (RBS) et Lloyds Banking Group au plus fort de la crise, redoute une commission parlementaire, dans un rapport publié ce vendredi. Sa crainte est que les candidats au rachat soient trop peu nombreux pour valoriser ces établissements, lorsqu’ils seront privatisés. Les pouvoirs publics - et donc les contribuables - détiennent toujours 81% de RBS et 39,6% de Lloyds.