Les manifestations antinucléaires n’ont pas cessé depuis l’accident, même si elles n’ont jamais retrouvé leur pic de juillet 2012, quand 170 000 personnes se sont retrouvées dans les rues de Tokyo. Ce lundi, des manifestants ont battu le pavé autour de la centrale de Sendai. Parmi eux, l’ancien premier ministre Naoto Kan, qui était au pouvoir en mars 2011, au moment de la catastrophe de Fukushima.
Les manifestations antinucléaires n’ont pas cessé depuis l’accident, même si elles n’ont jamais retrouvé leur pic de juillet 2012, quand 170 000 personnes se sont retrouvées dans les rues de Tokyo. Ce lundi, des manifestants ont battu le pavé autour de la centrale de Sendai. Parmi eux, l’ancien premier ministre Naoto Kan, qui était au pouvoir en mars 2011, au moment de la catastrophe de Fukushima.