Pourquoi l’impérialisme français a lâché Bozizé, son dictateur du Centrafrique, son homme de paille ?
26 novembre 2013, 23:08, par juvento
EXCELLENT, cet article éclaire une situation quie se prête facilement à la manipulation et aux faux semblants des ’’intérêts nationaux !’’ ex colonisateurs et à leurs alliés du camp du capitalisme mondialisé... L’antagonisme économique et politique entre un des pays du capitalisme occidental ( la France) et les nouveaux arrivants du BRICS ( Chine surtout) se traduit par ces coups fourrés et ces massacres inter ethniques ou religieux, plus ou moins discrètement entretenus sinon nourris et déclenchés. Si bien même la concurence est vive entre les pays du camp occidental eux mêmes, il n’empêche que leur rivalité potentielle passe au second plan dès qu’apparaît le danger d’entrée en scène des rivaux redoutables de l’autre camp.
Tant pis pour ces peuples africains soumis à l’exploitation sans retenue des puissances coloniatrices dés la fin du 18eme siècle, qu’importent les massacres, les génocides, les coups d’Etat et les ’’combinazione en tous genres ’’ qui se multiplient au fil des situations nouvelles ou inédites pouvu que les retours sur investissements des capitaux ’’ blancs’’ soit assurés pour un maximum et permette d’en consacrer un pourcentage à la corruption des uns et des autres.
EXCELLENT, cet article éclaire une situation quie se prête facilement à la manipulation et aux faux semblants des ’’intérêts nationaux !’’ ex colonisateurs et à leurs alliés du camp du capitalisme mondialisé...
L’antagonisme économique et politique entre un des pays du capitalisme occidental ( la France) et les nouveaux arrivants du BRICS ( Chine surtout) se traduit par ces coups fourrés et ces massacres inter ethniques ou religieux, plus ou moins discrètement entretenus sinon nourris et déclenchés. Si bien même la concurence est vive entre les pays du camp occidental eux mêmes, il n’empêche que leur rivalité potentielle passe au second plan dès qu’apparaît le danger d’entrée en scène des rivaux redoutables de l’autre camp.
Tant pis pour ces peuples africains soumis à l’exploitation sans retenue des puissances coloniatrices dés la fin du 18eme siècle, qu’importent les massacres, les génocides, les coups d’Etat et les ’’combinazione en tous genres ’’ qui se multiplient au fil des situations nouvelles ou inédites pouvu que les retours sur investissements des capitaux ’’ blancs’’ soit assurés pour un maximum et permette d’en consacrer un pourcentage à la corruption des uns et des autres.