pour autant que je m’en souvienne il y a plus de vingt ans, lors de recherches dans les bibliothèques américaines, je m’étais amusé à comparer les différentes versions de l’histoire de la "dédicace" à Mussolini. Autant dire que la façon dont l’hédoniste-de-service Michel Onfray, sans même se laisser arrêter par la crainte du ridicule, s’est ici posé en... découvreur, m’a irrésistiblement rappelé une formule de l’écrivain Henri Pollès, qui -dans un ouvrage qui est d’ailleurs consacré à l’Italie fasciste et n’est pas sans intérêt ("L’Opéra politique")- parlait de la modernité et de ses nouveautés d’antiquaire, sic...
pour autant que je m’en souvienne il y a plus de vingt ans, lors de recherches dans les bibliothèques américaines, je m’étais amusé à comparer les différentes versions de l’histoire de la "dédicace" à Mussolini. Autant dire que la façon dont l’hédoniste-de-service Michel Onfray, sans même se laisser arrêter par la crainte du ridicule, s’est ici posé en... découvreur, m’a irrésistiblement rappelé une formule de l’écrivain Henri Pollès, qui -dans un ouvrage qui est d’ailleurs consacré à l’Italie fasciste et n’est pas sans intérêt ("L’Opéra politique")- parlait de la modernité et de ses nouveautés d’antiquaire, sic...