Hôpitaux saturés, urgentistes au bord de la crise de nerfs, personnels pointant le résultat d’une politique obsédée par l’ambulatoire (sans hospitalisation) ayant conduit à une réduction du nombre de lits disponibles à l’hôpital. Le « service minimum » déjà remarqué de Marisol Touraine dans plusieurs crises sanitaires récentes (essais cliniques mortels de Rennes, chimiothérapies fatales à Nantes, Uvestérol responsable de la mort d’un nourrisson à Paris…) pourrait cette fois lui coûter cher, politiquement. L’ombre des 18.300 morts de l’épidémie de 2014-2015 est dans tous les esprits.
Hôpitaux saturés, urgentistes au bord de la crise de nerfs, personnels pointant le résultat d’une politique obsédée par l’ambulatoire (sans hospitalisation) ayant conduit à une réduction du nombre de lits disponibles à l’hôpital. Le « service minimum » déjà remarqué de Marisol Touraine dans plusieurs crises sanitaires récentes (essais cliniques mortels de Rennes, chimiothérapies fatales à Nantes, Uvestérol responsable de la mort d’un nourrisson à Paris…) pourrait cette fois lui coûter cher, politiquement. L’ombre des 18.300 morts de l’épidémie de 2014-2015 est dans tous les esprits.