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Dix bonnes raisons de penser que les thèses sur le réchauffement climatique sont erronées

jeudi 6 septembre 2012, par Robert Paris

Dix bonnes raisons de penser que les thèses sur le réchauffement climatique sont erronées

1- Des erreurs d’interprétation des carottages sur la glace des pôles

2- La négligence de l’évolution du cœur en fusion de la Terre

3- La méconnaissance dans les prétendus modèles climatiques de la dynamique des océans et des nuages

4- Le refus de reconnaître l’existence du chaos déterministe du climat et des processus rétroactifs qui le fondent dans l’utilisation de modèles mathématiques pour prédire à longue distance

5- La méconnaissance du rôle adaptatif pour le climat du fonctionnement du vivant (plantes, plancton, …), non seulement sur de longues durées mais aussi sur de courtes durées

6- La tendance à ramener le climat à un seul facteur (température globale et concentration en CO²)

7- La négligence du rôle du volcanisme sur terre et des évolutions du rayonnement solaire

8- L’interprétation inversée d’une corrélation entre hausse de température et CO²

9- La mise en place d’un lobbying institutionnalisé (influence des Etats, des sociétés privées, des politiques au sein du GIEC) qui encadre les scientifiques, les finance, oriente leurs recherches et résultats et s’oppose à tout développement scientifique critique

10- L’intérêt vital des trusts nucléaires de prétendre que pollution égale CO² pour cacher les graves dangers de la pollution nucléaire

la suite


Sommes-nous menacés par le réchauffement ou... par le refroidissement ?

Que mesure-t-on vraiment ?

Comment est-il possible d’avoir des indications de réchauffement et d’autres de refroidissement ?

Que disent les courbes de température comparées à celles de gaz à effet de serre ?

Le coupable est l’effet de serre ?

Volcanisme et climat

Le coeur de la Terre influence la température de l’air

Quel avenir climatique est-on réellement capables de prévoir

Y a-t-il un réchauffement global important dû à l’industrie, aux villes et aux avions ?

Peut-on se fier à quelques spécialistes organisés en vue d’une réponse préétablie ?

Faire la part du vrai et du faux

Les mensonges du GIEC font fondre les glaciers

Le dégel en profondeur trouble la mémoire des glaces

CO2 et réchauffement : responsable mais non coupable

Rétroactions du climat et du vivant


La thèse adverse, celle du réchauffement global d’origine humaine

Le débat

Pourquoi ne pas accepter cette thèse

Qui profite de la thèse du changement climatique

Grâce à la diabolisation du CO², l’industrie nucléaire se présente comme propre

Messages

  • Le réchauffement se serait donc arrêté il y a une quinzaine d’années. A moins qu’il ne soit, en réalité, dû à un surcroît d’activité solaire... Depuis la fuite, mi-décembre, d’une version préliminaire du prochain rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), dont les conclusions sont très attendues par la communauté internationale, blogosphère et twittosphère bruissent de toutes sortes de rumeurs.

    Des graphiques ou des paragraphes du texte sortis de leur contexte attribuent par exemple au groupe d’experts des conclusions fantaisistes sur le rôle prédominant qu’aurait joué le rayonnement cosmique dans le réchauffement récent... Le GIEC s’est refusé à tout commentaire sur le texte – la version divulguée étant appelée à subir de nombreux changements avant la publication du rapport, en septembre 2013.

    L’un des auteurs, Steve Sherwood (université de Nouvelle-Galles-du-Sud, Australie) a cependant déclaré sur ABC que les assertions qui circulent sur Internet, selon lesquelles le GIEC attribuerait les changements en cours au Soleil ou aux rayons cosmiques, étaient "complètement ridicules" et que quiconque "irait lire les paragraphes et le résumé conclurait à l’exact opposé".

    "La publication prématurée du ’’brouillon’’ d’un des volumes du prochain rapport du GIEC crée la confusion, explique le climatologue Jean-Pascal van Ypersele, professeur à l’université de Louvain (Belgique) et vice-président du groupe d’experts. Il s’agit par définition d’un document incomplet, et qui n’est pas encore passé par tous les filtres qui assurent la qualité et la solidité des rapports d’évaluation du GIEC."

    Les auteurs du rapport doivent encore prendre en compte plus de 31 000 commentaires formulés par 800 experts et les scientifiques de 26 gouvernements.

    Cette nouvelle fuite est le dernier épisode d’une série d’incidents qui ont mis, ces dernières années, les experts du climat sous pression. "Il est clair que la pression sur le GIEC est accrue par l’instantanéité de la communication à l’ère d’Internet et des réseaux sociaux", ajoute M. van Ypersele.

  • Et une onzième !

    Une règle de base du changement climatique : c’est le principe “Dry gets drier, wet gets wetter”, abrégé DDWW, veut que les régions sèches deviennent plus sèches et les humides plus humides. Il a été élaboré à l’aide d’une technique qui décrit bien les propriétés climatiques au-dessus des océans mais qui ne fonctionne pas bien au-dessus de la terre ferme.

    Ainsi, des régions humides d’Amazonie, d’Amérique centrale, d’Afrique tropicale ou d’Asie sont devenues plus sèches. A l’inverse, des zones sèches de Patagonie, du centre de l’Australie et du Middle West américain sont devenues plus humides. »

  • Toutes les théories émanant du grand capital doivent être prises avec des pincettes, comme celle du « réchauffement climatique ». En réalité, nous sommes en période de « petite glaciation » cela ne s’est pas fait en un jour mais étalé sur des milliers d’années. Et cette période de « petite glaciation » induit bien sûr des phénomènes climatiques instables, que l’Empire du chaos monte en épingle pour instaurer le « big green business » qui deviendra selon les voeux des puissants lobbies qui soutiennent cette thèse, tout aussi envahissant et dictatorial que le « pétrolier » ou le « big pharma ». Nous vivons à l’heure du lobbying et il sera bien difficile de se débarrasser de cette pègre ! On nous parle du réchauffement climatique avec la même insolence que l’on nous parle des vaccins obligatoires.

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