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L’homme et l’animal

lundi 14 mars 2016, par Robert Paris

L’homme et l’animal

Etre ou ne pas être un animal

Les relations entre l’homme et l’animal

L’intelligence de l’animal

L’homme est-il supérieur à l’animal ?

L’homme obéit-il à des instincts comme l’animal ?

Ce que les singes nous apprennent sur la "nature humaine"....

Descartes a-t-il raison de dire que le langage est ce qui distingue l’homme de l’animal ?

Animaux : pas si bêtes !

Qu’est-ce qui est le propre de l’homme ?

Débat sur les singes et l’homme

L’homme et l’animal, un débat de société

Comment les primates ont modifié la pensée des hommes

Les paradoxes de la philosophie moderne sur la nature des animaux

L’homme et l’animal, vus en 1865

Dimensions éthiques de la relation homme/animal

La mémoire chez l’animal et chez l’homme

L’animal selon Condillac

L’animal dans l’Antiquité

L’animal est une personne

L’homme cherche souvent à le nier et pourtant l’amitié entre animaux, ça existe bel et bien !

L’espèce humaine, comme produit du développement inégal et combiné de la vie animale

Pourquoi placer l’homme au centre du monde est une erreur de perspective ?

L’homme, une espèce révolutionnaire

Formation et filiation de l’homme

Des singes et des hommes - Vrai ou faux ?

Faut-il opposer diamétralement l’homme au reste de l’Univers ?

Homme/animal : où est la frontière ?

Y a-t-il une barrière entre l’homme et l’animal

Les relations entre l’homme et l’animal

La communication chez les animaux

Les familles animales

L’homme et le singe

Messages

  • Diderot :

    « Est-il bien vrai que la douleur et le plaisir physiques, peut-être les seuls principes des actions de l’animal, soient aussi les seuls principes des actions de l’homme ? Sans doute, il faut être organisé comme nous et sentir pour agir ; mais il me semble que ce sont là les conditions essentielles et primitives, les données sine qua non, mais que les motifs immédiats et prochains de nos aversions et de nos désirs sont autre chose. Sans alcali et sans sable, il n’y a point de verre ; mais ces éléments sont-ils la cause de la transparence ? Sans terrains incultes et sans bras on ne défriche point ; mais sont-ce là les motifs de l’agriculteur quand il défriche ? Prendre des conditions pour des causes, c’est s’exposer à des paralogismes puérils et à des conséquences insignifiantes. Si je disais : Il faut être pour sentir, il faut sentir pour être animal ou homme, il faut être animal ou homme pour être avare, ambitieux et jaloux ; donc la jalousie, l’ambition, l’avarice ont pour principes l’organisation, la sensibilité, l’existence… pourriez-vous vous empêcher de rire ? Et pourquoi ? C’est que je prendrais la condition de toute action animale en général pour le motif de l’action de l’individu d’une espèce d’animal qu’on appelle homme. Tout ce que je fais, assurément je le fais pour sentir agréablement, ou de peur de sentir douloureusement ; mais le mot sentir n’a-t-il qu’une seule acception ? N’y a-t-il que du plaisir physique à posséder une belle femme ? N’y a-t-il que de la peine physique à la perdre ou par la mort ou par l’inconstance ? La distinction du physique et du moral n’est-elle pas aussi solide que celle d’animal qui sent et d’animal qui raisonne ? Ce qui appartient à l’être qui sent et ce qui appartient à l’être qui réfléchit ne se trouvent-ils pas tantôt réunis, tantôt séparés dans presque toutes les actions qui font le bonheur ou le malheur de notre vie, bonheur et malheur qui supposent la sensation physique comme condition, c’est-à-dire qu’il ne faut pas être un chou ? »

  • Nous, humains, serons-nous assez intelligents pour reconnaitre que les animaux sont intelligents ?

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