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Quand l’OMS organise des stérilisations forcées sous couvert de vaccinations et au prétexte d’eugénisme

mercredi 13 janvier 2021, par Robert Paris

“Une fois que le troupeau a accepté la vaccination obligatoire, la partie est gagnée ! Ils vont alors accepter n’importe quoi, ’pour le plus grand bien’. On pourra modifier génétiquement les enfants ou les stériliser”.

Discours qu’aurait prononcé Henry Kissinger à l’OMS

De Kissinger à Bill Gates, les nouveaux malthusiens eugénistes

L’OMS a bien développé un vaccin contre l’HCG dans le but de provoquer l’infertilité

L’Inde et le Kenya touchés par des campagnes de stérilisation forcée cautionnées par des organismes internationaux

Des campagnes contre le sida cautionnées par l’OMS servent à stériliser des femmes contre leur volonté

Un nouveau rapport alerte au scandale de la stérilisation forcée des femmes en Europe

L’Etat péruvien poursuivi en justice par les victimes de stérilisation forcée

La stérilisation forcée des femmes roms dans l’Europe d’aujourd’hui

« L’OMS a supervisé des campagnes de vaccination de masse contre le tétanos au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines. Se méfiant des motifs derrière le programme de l’OMS, le Comité Pro Vida de Mexico, une organisation de terrain catholique romaine, a décidé de vérifier de nombreux flacons de vaccin et a découvert qu’ils contenaient de l’hormone gonadotrophine chorionique humaine ou hCG. C’était un ingrédient bizarre pour un vaccin destiné à protéger les gens contre le tétanos, qui découle de l’infection de plaies dues à des clous rouillés ou à tout autre contact avec certaines bactéries du sol. À vrai dire, le tétanos est aussi plutôt rare. C’était aussi curieux car la hCG est une hormone naturelle nécessaire au maintien de la grossesse. Seulement, combinée à un porteur d’anatoxine tétanique, cela stimule la formation d’anticorps contre la hCG, rendant la femme incapable de rester enceinte ; une forme d’avortement cachée. Des rapports similaires, de vaccins corsés à l’hormone hCG, sont arrivés des Philippines et du Nicaragua. »

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Quand l’OMS cautionnait et organisait l’ethnocide des Indiens du Canada et des USA au nom de l’eugénisme

Voici un exemple qui montre que l’OMS continue sa campagne eugéniste dans certains pays, comme ici au Kenya, et, sous couvert de vacciner du tétanos, stérilise des femmes !!! Lire ici

En 2015, l’OMS et l’Unicef ont encore lancé une campagne pour stériliser des populations du tiers-monde sous couvert de vaccination. Lire ici

Les Etats-Unis, le Canada, la Suisse ou la Suède ont pratiqué la stérilisation forcée pendant la première moitié du XXe siècle et jusque dans les années 1970-1980 – voire pendant les années 1990 au Pérou, à l’encontre des populations pauvres amérindiennes…. Dans les années 1960 USA et Canada ont pratiqué la stérilisation en masse des femmes amérindiennes (environ 40 %). Des campagnes de stérilisation massives ont été menées avec le concours du Peace Corps américain sur des Amérindiens de l’Altiplano, au Pérou et en Bolivie, sous couvert de missions médicales. Dans le même ordre idée, l’opinion publique européenne découvre avec horreur que plusieurs pays, par ailleurs réputés pour leur modèle social comme la Suède, la Finlande, ont eu recours, des années trente jusqu’aux années soixante-dix, à des pratiques eugénistes de stérilisation massive et forcée. Tout au long, les grands organismes internationaux, l’OMS et l’ONU accompagnent ces campagnes eugéniques et c’est seulement en… décembre 2018 qu’elle les condamne : Lire ici Il a été prouvé que des populations indigènes ont été éliminées massivement par des campagnes de vaccination massives de l’OMS qui visaient en fait la stérilisation des indigènes !!!

Quel lien entre l’eugénisme et les campagnes de stérilisation forcées fondées sur le racisme ?

L’eugénisme n’a pas seulement été la thèse des nazis, prétexte à d’horribles expérimentations et extermination. L’eugénisme se répand massivement dans le monde et l’on exige la stérilisation forcée des « non aptes ». Les plus grands savants ont soutenu l’eugénisme ! La théorie de l’Eugénisme a été élaborée par des scientifiques, le terme forgé en 1883 par le cousin de Darwin Francis Galton (1822-1911). Il avait pour but « d’améliorer la race » (entendez la race supérieure) en encourageant la reproduction des sujets les plus doués (entendez les inventeurs, les dirigeants, etc), et en décourageant celle des moins aptes. Galton fonde avec Léonard Darwin, le fils de Charles (c’est décidément une affaire de famille !), une Société pour’ l’éducation eugénique que Léonard présidera de 1911 à 1928. En 1912, L. Darwin présidera à Londres le premier Congrès international d’eugénisme. La même année apparaît une société française d’eugénisme. A sa mort (1911), Galton laisse une donation pour la création d’une chaire d’eugénisme, à l’University College de Londres. Le poste sera effectivement occupé par son élève, Karl Pearson, qui préconisera le refoulement des « races inférieures », jugeant la coexistence, même sous domination impériale, trop néfaste. Son disciple Karl Pearson (1857-1936), profondément raciste, voulait prouver scientifiquement l’inégalité des races, et est devenu grâce à cela un des fondateurs de la statistique mathématique, il a fait un très bon travail scientifique. Entre les années 1900 et 1930, un très fort courant eugéniste (principalement introduit par le généticien Charles Davenport) va s’installer et obtenir la mise en application partielle des idées de Galton aux Etats-Unis. Ainsi, en 1910, Mme Harriman, femme d’un célèbre industriel, convainc son mari d’acheter un terrain à Cold Springs Harbour (Etat de New-York). L’Eugenic Record Office (bureau d’enregistrement de l’Eugénisme) s’y installe sous la direction de Davenport et Harry Laughlin. En 1928, le lobby eugéniste contrôle les trois quarts des universités et grandes écoles américaines et y enseigne l’eugénisme. La première mise en application des idées eugénistes est la politique de stérilisation forcée des criminels, des malades mentaux et asociaux... La première loi est votée en 1907, dans l’Etat de l’Indiana (de 1899 à 1912, 236 vasectomies auraient été pratiquées dans cet Etat.) D’autres Etats suivent ensuite, notamment la Virginie. En 1927, ces lois sont soumises à la Constitution, et la Cour Suprême décide qu’elles relèvent de la seule autorité des Etats. En 1931, trente Etats ont voté des lois sur la stérilisation. De 1899 à 1935, entre 20 000 et 70 000 personnes (selon les sources) auraient été stérilisées de force dans l’ensemble des Etats-Unis. Parmi les « asociaux »touchés par la répression figurent aussi des chômeurs et des Noirs. Les statistiques des hôpitaux psychiatriques dans lesquels ont été effectuées les stérilisations montrent que la majorité des victimes sont des pauvres, et plus de la moitié des Noirs. En Virginie, toute personne touchant des allocations de chômage est alors susceptible de subir une stérilisation forcée, des battues sont organisées pour retrouver les chômeurs fuyant cette menace. Plusieurs Etats interdisent le mariage des « alcooliques » et des personnes porteuses de maladies héréditaires (comme l’hémophilie). Les deux principaux instruments de propagande sont l’utilisation de pseudo-arbres généalogiques et le test de Binet, premier test de Quotient intellectuel (Q.I.). Lauglin, dirigeant du bureau d’eugénisme, estime que 10%, de la population américaine est constituée de « variétés biologiques socialement inaptes » et appelle au salut de l’Amérique par la préservation de la qualité de son sang. En 1933, Hitler décrète la loi sur l’hygiène de l’hérédité, première étape d’une politique de triage d’une ampleur jamais atteinte, mais dont les bases avaient été jetées par toutes les oligarchies du monde et par les théoriciens du racisme. Tout au long des années trente, la société américaine de génétique tiendra ses rencontres annuelles. De nombreux débats ont lieu pour savoir s’il faut condamner la politique eugéniste du troisième Reich, mais le nombre de voix ne sera jamais suffisant pour approuver cette condamnation. Harry Laughlin, conseiller en eugénisme du comité d’immigration, reçoit en 1936, le titre de docteur honoris causa de l’université d’Heidelberg pour sa contribution à l’eugénisme. Pour Jensen, la valeur du Q.I. est influencée pour 80 % par l’hérédité et pour 20 % par l’éducation. Dans son ouvrage de 1970, Hierarchical Theories on Mentality, il déclare : « Il y a des gènes de l’intelligence, qui se trouvent dans des proportions différentes selon les populations, un peu comme la distribution des groupes sanguins. Le nombre de gènes d’intelligence paraît plus bas, dans l’ensemble, chez les Noirs que chez les Blancs ». Les grands noms anglais fondateurs de la statistique étaient quasiment tous racistes et eugénistes ! La statistique mathématique a en grande partie été fondée par ces scientifiques qui étaient avant tout des "darwiniens sociaux", dont le but était de démontrer l’inégalité des races, des sexes, d’appliquer les méthodes d’amélioration des races animales à la société humaine. L’opinion publique européenne découvre avec horreur que plusieurs pays, par ailleurs réputés pour leur modèle social comme la Suède, la Finlande, ont eu recours, des années trente jusqu’aux années soixante-dix, à des pratiques eugénistes de stérilisation massive et forcée. Comment expliquer la coexistence d’une volonté de progrès social, d’amélioration des conditions de vie avec la tentative d’éliminer une partie de la population ? L’eugénisme n’est pas seulement un mouvement conservateur. Il y a toujours eu un eugénisme " de droite " et un eugénisme " de gauche ". A la fin du XIXe siècle, certains socialistes anglais étaient eugénistes. Par exemple, Wallace, l’ami de Darwin, qui a aussi découvert la sélection naturelle et était un grand penseur de gauche. Avec l’eugénisme de droite, comme celui d’Hitler, il faut tuer les hommes de races, de religions que nous n’aimons pas. Avec l’eugénisme de gauche, il s’agit plutôt de donner des avantages aux hommes jugés plus intelligents. Mais stériliser des personnes retardées mentales, c’est vraiment triste et j’ai été surpris d’apprendre que cela s’est passé si récemment en Suède… Aux Etats-Unis, avant la Seconde Guerre mondiale, deux tiers des Etats avaient des lois de stérilisation forcée. La plupart de ces lois n’étaient pas vraiment appliquées. Mais 40 000 à 60 000 stérilisations ont eu lieu, la plupart en Virginie et en Californie, jusqu’au début des années 60, ce qui n’est pas si lointain non plus.

L’Autorité régionale de santé de Saskatoon s’excuse auprès de femmes autochtones stérilisées contre leur gré

Lire ici

On peut parler de génocide par bien des aspects. Notamment parce qu’on retrouve dans celui des indiens du Canada les trois phases habituelles : conquête, confinement, destruction. Mais celui des indiens a duré longtemps et a fonctionné par vagues successives, sous le couvert de la religion et de l’éducation. Les survivants parlent de camps de concentration chrétiens.

En 1910, la plupart de la centaine de pensionnats (les residential school) dans lesquels sont envoyés les enfants indiens du Canada est dans le giron de l’Eglise catholique romaine. Ces pensionnats étaient de véritables mouroirs, où le taux de décès était encore pire que dans les camps de concentration nazis : d’après les chiffres disponibles, il apparaît que plus de la moitié des enfants y mouraient chaque année, et cela durant un bon demi siècle (contre 15 à 20% par an dans les camps de concentration). Duncan Scott l’a écrit en 1910 : les décès massifs de ces enfants indiens dans les pensionnats sont « en accord avec la politique du ministère, qui est orientée vers la Solution Finale du problème Indien ».

Et cette Solution Finale a été assez efficace : entre 1900 et 1960, le taux de mortalité des enfants indiens de ces pensionnats oscillait entre 40 et 60% par an. Pendant soixante ans, ce taux est resté le même, malgré les « progrès de la médecine » et la fertilité des terres sur lesquelles étaient installées ces « écoles ». Bien sûr, l’Etat a tout fait pour dissimuler cette réalité. Quelques années plus tard, ce concept de « Solution Finale » a été repris par les Nazis.

De plus, de 1920 à 1930, en plein cœur du massacre, les inspections médicales ont carrément été suspendues dans les pensionnats. Au total, entre 1890 et 1996, ce sont de 50 à 100.000 enfants qui sont morts dans ces endroits lugubres.

Et puis, il y a eu cette politique de stérilisation[5]. Des centres de stérilisation ont existé, dans lesquels les jeunes gens étaient drogués et stérilisés, surtout s’ils n’étaient pas chrétiens. Mais tous les registres concernant ces stérilisations ont été détruits à partir de 1995, quand l’enquête de l’Etat a démarré. Les garçons étaient parfois mis devant des rayons X intensifs afin d’être rendus stériles, ou bien on leur faisait boire des poisons.

Et quand les bébés, souvent le fruit de viols par les pasteurs et compagnie, naissaient quand-même, on les tuait.

Toutefois, ce processus de stérilisation n’a pas pris fin avec les écoles résidentielles. Royce White Calf, un ancien Lakhota qui a été juge au Tribunal concernant ces pensionnats en juin 1998 à Vancouver, estime qu’entre un tiers et la moitié de toutes les femmes aborigènes du Canada Ouest et de l’Alaska ont été stérilisées par des méthodes intrusives physiques ou chimiques autour de 1980.
Le taux de stérilisations chimiques administrées sous couvert de vaccins parmi les indigènes a en fait augmenté depuis cette époque, particulièrement dans le tiers monde, sous des programmes relativement secrets conduits par l’OMS et les Nations Unies. Même après 1980, les stérilisations ont continué, mais de manière plus cachée encore.

Aujourd’hui, on « vaccine ». Mais dans le vaccin, il n’y a parfois que du produit stérilisant. Annett explique « En 2004, on a découvert que l’Organisation Mondiale de la Santé a administré pendant des années des substances stérilisantes en même temps que les vaccins contre la grippe et la polio, aux femmes indigènes des Philippines et de nombreux pays d’Afrique. De la même façon, plus de 40.000 hommes et femmes Inuits ont été rendus infertiles par le Département de la Santé des USA (US Health Department) entre 1986 et 1993 après qu’on leur ait administré un sérum nommé Heptavax, une drogue de stérilisation interdite dans la plupart des pays du monde ».

Accessoirement, la définition du génocide, révisée par le canadien Raphael Lemkin, a fini par insister sur la notion d’intention : pas de génocide si l’intention de faire un génocide n’est pas clairement prouvée. Ce qui permettait à celui des indiens de passer à la trappe de l’histoire. Même la dernière loi concernant le crime de génocide passée en 2000 au canada interdit toute poursuite contre l’Etat canadien si le génocide imputé date d’avant 2000. Si bien qu’avant 2000, le génocide était légal au Canada, comme sous le IIIe Reich.

Le délire de la suprématie chrétienne et occidentale, de l’élimination des hérétiques, n’est pas nouveau chez les cathos. Et le caractère durable de cette philosophie ressemble à un véritable credo, un véritable objectif.

Les chiffres sont clairs : si on estime la population indienne de Colombie Britannique de un à deux millions de personnes avant l’arrivée des colons, ils n’étaient plus que 20.000 en 1910. Et pendant ce temps là, l’Eglise revendait les terres des indiens massacrés aux compagnies du bois, du chemin de fer, etc. Mais, surtout, la suprématie chrétienne pouvait s’imposer.

Des études montraient déjà dans les années 20 que le nombre d’indiens n’avait pas augmenté entre 1920, date à laquelle tous les enfants indiens sont obligés d’intégrer les pensionnats cathos, et 1929, alors que la population totale ne cessait de croitre. Et on savait que le taux de mortalité des pensionnats d’indiens était catastrophique. Evidemment, on n’a rien fait pour arranger les choses, au contraire on forçait des enfants non malades à dormir entre deux autres en train de mourir de la tuberculose, par exemple. D’autres enfants malades étaient renvoyés chez eux pour y contaminer toute leur famille. Et puis en 1928 on commence à stériliser les indiens en masse en Alberta. Et bien sûr, les enfants indiens qui étaient malades n’allaient jamais à l’hôpital.

Un tel système ne peut se faire au grand jour, et bien sûr il convient de présenter les choses favorablement. Ce qui commence par déshumaniser l’ennemi, en l’occurrence les Indiens. Annette cite une victime de la Christie Catholic residential school, Harry Lucas : « Je n’ai jamais compris pourquoi les religieuses et les prêtres nous haïssaient tellement. En tant qu’enfant, vous savez, vous avez juste peur après que quelqu’un vous ait frappé pour la première fois. Votre esprit s’éteint et vous commencez à mourir de l’intérieur : vos espoirs meurent, vos souvenirs meurent, et puis tout en vous commence à mourir. C’est ce que tout cela était : un meurtre de l’âme. Les meurtres n’étaient qu’une partie de cela ».

Quand les chiffres de la mortalité des enfants indiens dans les pensionnats ont été révélés publiquement en 2008, un chercheur a déclaré que ce n’était pas intentionnel, mais du à un sous financement de ces établissements. Selon lui, laisser mourir en masse ces enfants parce qu’on ne veut pas y mettre un seul dollar, et bien qu’on sache que la situation est catastrophique, n’est pas intentionnel.
En outre, Bryce, en 1907, avait écrit que « les conditions sont délibérément créées pour diffuser les maladies infectieuses ».
De fait, une étude de 1913 sur les dépenses du gouvernement fédéral concernant la lutte contre la tuberculose a révélé que les habitants d’origine caucasienne avaient droit à 3,39 $ par tête et par an, contre 6 cents pour les indiens.

Mais, il y a aussi ces histoires, racontées par des survivants. Par exemple, celle-ci qui remonte aux années 30, en Alberta : le révérend Pitt a donné de la viande en conserve à huit gamins, dont sept sont morts de la tuberculose. Le huitième, qui raconte cela, a été sauvé parce que son père l’a sorti de l’infirmerie de force, et l’a amené avec lui pour qu’il soit soigné par son grand-père. Le fils de ce révérend, devenu médecin, a ensuite cautionné les crimes qui se déroulaient dans ces pensionnats.

Apparemment, le coup de la nourriture empoisonnée était courant dans les pensionnats pour enfants indiens, dans plusieurs provinces du pays. De même que la pratique de faire dormir et vivre ensemble les enfants malades et les enfants contaminés par la tuberculose, alors que la quarantaine était la règle pour les Blancs. Et cela, durant des dizaines d’années.

N’oublions pas les théories nazies fumeuses, à commencer par l’eugénisme, initié par Rockefeller en 1912, quand il finance l’Eugenics Foundation. Et sur ce sujet, nazis allemands et américains travaillaient main dans la main, que ce soit avant ou après la guerre.

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Deux provinces canadiennes, l’Alberta et la Colombie-Britannique, ont aussi mis en place de tels programmes, à des fins eugéniques, comparables au programme américain (à l’exception du versant pénal, concevant la stérilisation en tant que châtiment, qui n’existait pas au Canada). La province d’Alberta vota l’Alberta Sexual Sterilisation Act (Loi d’Alberta de stérilisation sexuelle) en 1928. Entre 1928 et 1972, environ 3 000 stérilisations ont été opérées, de manière obligatoire ou prétendument « volontaire », sur des individus d’âges et d’ethnies différents. La loi de 1928 n’autorisait la stérilisation qu’en cas d’accord du sujet ou de son tuteur, en fonction de la compétence de celui devant effectuer l’opération. Un amendement de 1937 autorisa la stérilisation forcée des handicapés mentaux, sans leur accord ni celui de leur tuteur. La province d’Alberta accrut encore l’ampleur de son programme de stérilisation après la Seconde Guerre mondiale. En 1972, date de clôture du programme, cinquante personnes avaient été opérées de force.

Les femmes, les jeunes et les minorités formaient la majorité des cibles du programme. Les mineurs étaient souvent considérés comme « handicapés mentaux », ce qui les plaçait sous la dépendance d’adultes, et les privait donc de leur consentement. Les Métis et les Amérindiens ont été largement visés, quel que soit leur âge par ailleurs (formant 2,5 % de la population, ils représentaient 6 % de la population détenue dans des institutions psychiatriques, et, à la fin du programme, 25 % des victimes). On leur imposait souvent le statut de « déficient mental », les privant de droits civiques et les assujettissant à la stérilisation contrainte. Les femmes, en particulier jeunes, pauvres et célibataires, formaient aussi une grande partie des victimes ; on les soupçonnait de prostitution ou, à tout le moins, de mauvaises mœurs, actes qui favoriseraient, selon les théories en vigueur, la « dégénérescence » morale. Si leur sort personnel était considéré comme au-delà de toute rédemption, du moins n’auraient-elles pas de progéniture « décadente ».

La nature réelle du programme parvint aux oreilles du grand public en 1971, lorsque Leilani Muir (en), élève du Centre Michener (Provincial Training School for Mental Defectives, PTS), une institution pour personnes retardées, découvrit qu’elle avait été stérilisée. Sujette au test de quotient intellectuel (QI), elle avait été diagnostiquée comme étant « moron » (QI entre 51 et 70), ce qui la privait de tout droit civique. On lui administra des médicaments anti-psychotiques puissants, bien qu’elle n’ait manifesté aucun symptôme de psychose lors de son séjour au PTS. Elle subit à nouveau le test de QI, où son quotient intellectuel fut estimé à 64, et fut ensuite stérilisée, avec l’accord parental. Vingt ans plus tard, elle a réussi à se faire dédommager à hauteur de 750 000 et 230 000 dollars canadiens (en 1995). 1 300 autres plaintes ont été déposées depuis sa victoire.

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Une étude accablante menée et publiée par deux universitaires canadiennes n’en finit pas de faire des vagues outre-Atlantique. Les chercheuses ont rencontré des femmes autochtones de Saskatoon et des environs, forcées de subir la ligature ou le resserrement des trompes après avoir accouché à l’hôpital, pour ne pas dépasser la "taille optimale d’une famille" définie par les services de santé régionaux.

C’est une lecture dérangeante et, par cela même, sans doute salutaire. Deux universitaires, l’une avocate et l’autre médecin, ont cherché à savoir ce qui se passait avec certaines parturientes "autochtones" de la Saskatchewan, centre Ouest du Canada, province où vivaient en nombre les peuples des premières nations, bien avant que les Européens ne les colonisent, à l’aide de toutes les armes à leur disposition, dont celle qui consiste à prendre le contrôle du ventre des femmes. Dans cette région, ils représentent toujours 17% de la population, ce que en fait une "minorité" de taille.

Yvonne Boyer est avocate et titulaire d’une chaire de recherche du Canada en santé et bien-être des Autochtones à l’Université de Brandon, au Manitoba. Et elle est métisse. Judith Bartlett est médecin, mais aussi chercheuse. Elle est métisse, elle aussi et a travaillé sur "santé et résilience" parmi les peuples des Premières nations. Sans ces deux femmes, sans doute particulièrement concernées par leur biographie, leur parcours professionnel et de vie, le scandale des femmes autochtones stérilisées de force au Canada, dans la région où elles vivent et travaillent, n’aurait pas été mis au jour. Ce n’est pas une enquête publique qu’elles ont entreprise et menée à terme, mais une investigation privée, indépendante, dans tous les sens du terme. Et le résultat est un électrochoc pour les Canadiens…

Ce dernier avatar s’inscrit dans une longue histoire de stérilisation forcée des autochtones par le Canada, mais on pensait ces politiques dépassées, des excuses avaient même été prodiguées. Pourtant, fin 2015 les premières informations sur ce sujet sont données par les médias canadiens. Pour en avoir le coeur net, la Saskatoon Health Region (santé régionale de Saskatoon) diligente alors une recherche et décide de la confier, en octobre 2016, à Yvonne Boyer et Judirh Bartlett, deux chercheuses, deux métisses, à cheval sur les deux mondes, auxquelles les femmes pourront plus facilement se confier. Elles mènent leur enquête entre janvier et fin jullet 2017, et pour retrouver les personnes concernées, elles font apposer des affiches dans les communautés par lesquelles elles appellent à témoignage. Sur tous les appels téléphoniques, restés parfois silencieux, finalement seize femmes se sont présentées, mais seulement six ont accepté de répondre en entretien face à face, tandis que dix autres furent "retrouvées" par les services sociaux…

En introduction de leur important travail résumé en près de 60 pages, dédié "aux femmes courageuses des Premières nations, métisses et inuites, qui sont allées de l’avant", Yvonne Boyer et Judith Bartlett définisssent leur but et leur méthode : "Ce rapport présente la question des femmes aborigènes de Saskatoon et du bassin versant environnant qui ont signalé avoir été contraintes à une ligature des trompes dans les hôpitaux de Saskatoon. L’objectif général de cette étude est d’examiner les questions que ces pratiques posent et de proposer des recommandations ou des « Appels à l’action » aux organismes de santé de la région de Saskatoon afin d’empêcher les ligatures des trompes ainsi imposées aux femmes aborigènes. Le rapport se place dans un contexte historique, rappelant l’impact de la colonisation sur la vie des femmes aborigènes, ainsi que l’histoire de la stérilisation forcée au Canada. Pour mener à bien ce rapport nous nous sommes appuyés sur des organismes engagés auprès de ces communautés afin d’identifier les personnes concernées et analyser les entretiens anonymes menés avec des femmes victimes de ces pratiques. (.../...)
Les lignes de force mises au jour au fil des entretiens avec les femmes aborigènes révèlent que toutes ont vécu en grand stress et sous la contrainte ces ligatures de trompe, ce qui a fait de leur accouchement un double stress. Les mots qui reviennent le plus souvent pour qualifier leur état à ce moment là sont : « se sentir invisible, objet d’expérimentation et impuissante », « détérioration de sa propre image », « relations humaines », « santé publique ». Ces mots montrent que ces femmes aborigènes vivaient le plus souvent en état de complexe et d’écrasement lorsqu’elles furent contraintes à ces opérations, une sensation étroitement liée aux origines négatives du colonialisme. La plupart d’entre elles n’ont pas compris que cette opération était définitive. Elles croyaient se soumettre à une forme réversible de contrôle des naissances. Elles pensent désormais que le système de santé n’a pas servi leurs besoins et elles se sentent profondément démunies à protester."

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Les campagnes de stérilisation découlent du mouvement eugénique et ont un long passé au Canada, souvent caché. Les lois sur la stérilisation adoptées en Alberta (1928–1972) et en Colombie-Britannique (1933–1973) visaient à limiter la reproduction des personnes « inaptes » et ont de plus en plus ciblé les femmes autochtones. La stérilisation forcée de ces femmes s’est effectuée aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du cadre législatif de l’époque, et dans des hôpitaux indiens gérés par le gouvernement fédéral. Cette pratique s’est perpétuée jusqu’au 21e siècle. Près de 100 femmes autochtones ont déclaré avoir été forcées à accepter d’être stérilisées entre les années 1970 et 2018, souvent alors qu’elles étaient dans un état vulnérable associé à une grossesse ou à un accouchement.

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Au Canada, on stérilise encore de force des Amérindiennes
Une sénatrice réclame une enquête fédérale sur des cas récents de stérilisation forcée de femmes amérindiennes, au Canada. Une soixantaine de victimes ont déposé un recours collectif depuis 2017. Le Comité des Nations unies contre la torture examinera le dossier ce mercredi 21 novembre.

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Aux États-Unis aussi…

Selon l’universitaire Dominique Aubert-Marson, c’est aux États-Unis que sont mises en place pour la première fois des politiques eugénistes avec d’une part une restriction de l’immigration dès 1924 avec l’objectif déclaré d’éviter un déclin de l’intelligence au niveau national, et d’autre part, dès 1907 en Indiana, une loi rendant obligatoire la stérilisation des faibles d’esprit et des criminels, votée par 33 États en 1944 : environ 60 000 personnes sont ainsi stérilisées, en majorité des pauvres, des femmes jeunes et des personnes issues des minorités ethniques. Le programme visait d’abord les retardés mentaux et personnes sujettes à des troubles psychiques. De plus, certains États visaient aussi les sourds, les aveugles, les épileptiques et les victimes de malformations congénitales. En outre, les Amérindiens ont aussi été victimes du racisme d’État, et nombre d’entre eux ont été stérilisés contre leur gré, sans même en être informés, lors de séjours en hôpital (en maternité, etc.). D’autres stérilisations, à une moindre échelle, ont eu lieu en prison et dans le cadre pénal, en visant la criminalité. Au total, plus de 65 000 personnes ont été stérilisées dans 33 États différents dans le cadre de programmes semblables4. Vingt-sept États ont mené des programmes de stérilisations contraintes jusqu’en 19565 : l’Arizona, la Californie, le Connecticut, le Delaware, la Géorgie, l’Idaho, l’Indiana, l’Iowa, le Kansas, le Maine, le Michigan, le Minnesota, le Mississippi, le Montana, le Nebraska, le New Hampshire, la Caroline du Nord et du Sud, le Dakota du Nord et du Sud, l’Oklahoma, l’Oregon, l’Utah, le Vermont, la Virginie, la Virginie-Occidentale et le Wisconsin.
Le Michigan fut le premier État, en 1897, à tenter d’introduire une loi contraignant certaines personnes à être stérilisées. Le projet de loi n’obtint cependant pas assez de voix. En 1905, la Pennsylvanie vota une telle loi, mais elle fut rejetée par un veto du gouverneur. Deux ans plus tard, l’Indiana fut en définitive le premier État à introduire effectivement une loi permettant la stérilisation contrainte, suivi de près par Washington et la Californie en 1909. Jusqu’à Buck v. Bell (en), un cas soumis à la Cour Suprême en 1927, les taux de stérilisation restèrent relativement faibles, à l’exception notable de la Californie. Au 1er juillet 1925, la stérilisation légale a été pratiquée sur 6 244 individus. En conclusion de Buck v. Bell, les juges légitimèrent la stérilisation forcée de handicapés mentaux au nom de la « protection et de la santé de l’État ». Trois ans plus tôt, la Virginie avait adopté une loi autorisant, au nom de l’eugénisme, la stérilisation contrainte des handicapés mentaux. Carrie Buck avait été transférée à la garde de l’État par sa famille, qui plaida sa « faiblesse d’esprit », après qu’elle eut donné naissance à un enfant (elle avait été violée par un membre de sa famille). La Cour suprême jugea que Buck, sa mère et sa fille étaient « faibles d’esprit » et coupables de « mauvaises mœurs », légitimant ainsi les lois eugéniques de Virginie. Celles-ci furent abolies en 1974. Le juge Oliver Wendell Holmes Jr., qui rédigea la décision de la Cour suprême de 1927, déclarait dans celle-ci que :

« Nous avons vu plus d’une fois que le bien public peut exiger la vie des meilleurs citoyens. Ce serait étrange qu’il ne puisse en appeler à ceux qui ruinent déjà la force de l’État pour des sacrifices moins importants, qui ne sont d’ailleurs souvent pas ressentis comme tels par les personnes concernées, afin de protéger la société contre un excès d’incompétence. Il vaut mieux, pour le monde entier, qu’au lieu d’attendre qu’on exécute la progéniture dégénérée à la suite d’un crime de leur part, ou qu’on les laisse mourir de faim en raison de leur imbécillité, la société puisse empêcher ceux qui sont manifestement incapables de perpétuer leur genre. Le principe qui soutient la vaccination obligatoire est assez large pour légitimer de sectionner les trompes de Fallope (…) Trois générations d’imbéciles sont suffisantes. »
Dans un article de 1985, l’historien Paul A. Lombardo affirmait que Buck n’était pas du tout « faible d’esprit », mais que toute l’histoire s’était bâtie autour de son viol par le neveu de sa mère adoptive. Albert Priddy, un rédacteur de la loi en question, était en même temps responsable d’un centre d’accueil pour personne pauvres et handicapées. Il utilisa l’une de ses pensionnaires, Mlle Buck, pour initier un recours contre sa stérilisation, et la fit représenter en justice par un avocat eugéniste de son choix qui, ne faisant rien d’efficace pour la défendre, mena l’affaire jusqu’à la Cour suprême où il perdit. Ce faisant, il obtenait de la Cour suprême un jugement déclarant la constitutionnalité de la stérilisation.

Après Buck v. Bell, des douzaines d’États instaurèrent des lois de stérilisation au nom de l’eugénisme. Le statut légal de Virginie avait largement été composé par l’eugéniste Harry H. Laughlin, qui s’était rendu compte que nombre de médecins se refusaient à stériliser de force leurs patients, craignant d’éventuelles poursuites judiciaires. Aussi, Laughlin s’était attelé à la rédaction d’une « loi modèle » qui résisterait à l’examen attentif de la Cour suprême, et permettrait la généralisation de telles pratiques. En 1922, Laughlin avait formulé ce modèle législatif, aux fins, non réalisées, d’instaurer un statut fédéral prônant la stérilisation de force à des fins eugéniques.
Harry Laughlin était le super-intendant de l’Eugenics Record Office du biologiste eugénique Charles Davenport (1866-1944), qui avait essayé, dans son ouvrage de 1929, Race Crossing in Jamaica, de démontrer la « dégénérescence » résultant de mariages mixtes entre populations noires et blanches. L’eugénisme était ainsi clairement lié au racialisme, théorie s’appuyant sur la science pour justifier des préjugés racistes. Laughlin lui-même travailla ensuite pour la Pioneer Fund, fondée en 1937. Onze mois après l’instauration des lois de Nuremberg en Allemagne nazie, Laughlin écrivait à un responsable de l’Université de Heidelberg, où il était doctor honoris causa, affirmant que les États-Unis et le Troisième Reich partageaient une « compréhension commune de… l’application pratique » de principes eugéniques à la « santé raciale ».
Le nombre annuel de stérilisations augmenta jusqu’au procès Skinner v. Oklahoma (en), en 1942, lors duquel la Cour suprême complexifia la situation légale en s’opposant à la stérilisation de délinquants si la clause de protection égale (Equal Protection Clause ou égalité devant la loi), inscrite dans la Constitution, n’était pas respectée. En d’autres termes, si la stérilisation de délinquants devait être admise, elle devait s’appliquer aux délinquants de toute classe sociale, et non pas simplement aux ouvriers.

La plupart des lois instaurant de tels programmes de stérilisation peuvent se diviser en trois catégories : celles qui étaient motivées par des considérations relatives à l’hérédité (eugénisme traditionnel), celles qui prétendaient que de telles pratiques menaient à la vitalité (eugénisme thérapeutique) et celles qui voulaient punir une catégorie de personnes (pénal) — bien que ces motivations se soient combinées en théorie et en pratique, la stérilisation des « délinquants » étant considérée comme traitement eugénique de sélection de la population et comme châtiment. L’arrêt de la Cour suprême lors de Buck v. Bell, en 1927, avait mis hors-la-loi la stérilisation contrainte en tant que châtiment.

La plupart des opérations de stérilisation visaient simplement à empêcher toute reproduction (par exemple en sectionnant le canal déférent chez les hommes), bien que certains États (l’Oregon et le Dakota du Nord) eussent prévu la castration. La plupart des opérations de stérilisation étaient menées sous des statuts eugéniques, dans des hôpitaux psychiatriques ou des instituts pour personnes handicapées.
Après la Seconde Guerre mondiale et les politiques d’extermination de l’Allemagne nazie, qui comprenaient un volet eugénique, l’opinion publique devint moins favorable aux programmes de stérilisation. Pour autant, les pratiques de stérilisation continuèrent à un niveau relativement élevé jusqu’au début des années 1960. Le Oregon Board of Eugenics, rebaptisé Board of Social Protection, a existé jusqu’en 1983, avec les dernières stérilisations de force pratiquées en 1981.
Le commonwealth de Porto Rico avait aussi un programme de stérilisation. La législation à ce sujet resta en vigueur dans beaucoup d’États après les années 1960, bien qu’elle n’ait été quasiment plus utilisée. À elle seule, la Californie compte pour plus d’un tiers des cas de stérilisations forcées. Les eugénistes E. S. Gosney et Paul B. Popenoe ont rendu public une bonne partie de ce programme dans un livre qui fut utilisé par le Troisième Reich pour appuyer la thèse selon laquelle un programme de stérilisations forcées à grande échelle était envisageable.

Récemment, les gouverneurs de beaucoup d’États, en commençant par la Virginie, puis l’Oregon et la Californie, ont présenté des excuses publiques pour les programmes de stérilisations contraintes. Néanmoins, aucun n’a proposé de compensation financière, au prétexte que peu de victimes étaient encore en vie et qu’il était difficile de retrouver leurs traces administratives. Au moins une plainte a été déposée, déclarant dans Poe v. Lynchburg Training School & Hospital (en) (1981) que la stérilisation était anticonstitutionnelle. La plainte fut rejetée, au motif que la loi n’était plus en vigueur. Les défenseurs reçurent néanmoins quelque indemnisation, au motif que la loi elle-même demandait l’information des patients, obligation qui n’avait pas été satisfaite.

En juillet 2013, le Center for Investigative Reporting accuse l’administration pénitentiaire de l’État de Californie d’avoir pratiqué des stérilisations forcées sur au moins 148 femmes détenues entre 2006 et 2010.

En septembre 2020, Dawn Wooten, une infirmiére travaillant dans un centre de l’ICE en Géorgie, a ouvert une plainte concernant un taux elevé d’hystérectomie envers les femmes enfermées sur son lieu de travail.

Dominique Aubert-Marson indique qu’« après 1930, certains pays européens, comme les pays scandinaves et l’Allemagne, ont mis en place des politiques de stérilisation calquées sur le modèle américain ».

Source

Quant l’OMS organise l’eugénisme

“I have met officials at the Bill and Melinda Gates Foundation, the UN Foundation, the African Union, and the Nippon/Sasakawa, Bloomberg, Doris Duke, and Rockefeller Foundations. Here in Geneva, I have held discussions with the ambassadors of many countries “.

Nous pouvons lire cela sur le site officel de l’OMS. C’est tiré de son discours à l’équipe de l’OMS lors de sa prise de fonction en Janvier 2007. Bien sûr, l’OMS a retiré la page…

Déja cela démontre l’importance de ces fondations,qu’elle place AVANT les ambassadeurs,ce qui est assez significatif et montre l’importance de ces fondations et le poids de leurs membres,qui sont impliqués dans les affaires du monde,alors qu’ils ne sont pas élus,et qu’ils ne sont soumis à aucun controle,rien que cela est très très très grave.

Je ne connaissais pas la Sasakawa fondation et franchement ca vaut le coup d’oeil,article bakchich info ,des aniciens criminels de guerre reconvertis dans la mafia et pronant l’eugénisme,youpi,en voila des amis des Rockefeller et bill Gates déja fortement préocupés par le controle des populations !

Attendez, vous vous rendez compte du délire,la chef de l’OMS fait des réunions avec toute une clique de dégénérés complet qui dit ouvertement qu’il faut réduire la population mondiale :

” Sous le titre « Le Club des milliardaires tente de juguler la croissance démographique », le Sunday Times du 24 mai a révélé la tenue d’une réunion secrète qui en dit long sur la volonté politique de l’oligarchie financière.

La rencontre, qui s’est tenue à New York le 5 mai dernier, a été organisée à l’initiative de Bill Gates, fondateur du monopole Microsoft, grand promoteur des simulateurs de meurtres sur ordinateur et parrain de Facebook, de Warren Buffet, spéculateur milliardaire et financier de la Fondation Gates, et de David Rockefeller. Au-delà de ces trois là, la petite sauterie a réuni Michael Bloomberg, maire de New York et fondateur de l’agence d’information financière du même nom ; Peter Peterson, fondateur du groupe financier Blackstone et grand avocat de l’austérité budgétaire ; Julian Robertson, patron du fond Tiger Management ; John Morgridge, ancien pdg de Cisco Systems ; Eli Broad, spéculateur immobilier ; David Rockefeller Jr, fils du premier ; Ted Turner, fondateur de CNN ; et Oprah Winfrey, animatrice phare de la télé américaine.
La réunion a débuté par une présentation de chacun des participants sur la cause qu’il défend, mais très vite, nous apprend le Times, la discussion s’est transformée, sous l’impulsion de Bill Gates, en un consensus sur la « surpopulation », comme la cause supérieure qui englobe les autres. Un autre participant a confié qu’ils étaient aussi parvenus à un consensus pour mettre en place une stratégie « dans laquelle la croissance démographique serait attaquée comme menace écologique, sociale et industrielle ». Les participants ont souligné leur « besoin d’être indépendant des agences gouvernementales qui se révèlent incapables d’affronter le désastre que tous nous voyons venir ». De prochaines réunions sont d’ores et déjà prévues pour organiser la mise en œuvre de cette stratégie.

2• Ted Turner, l’un des participant et riche propriétaire d’un empire médiatique, est fermement imprégné d’eugénisme et de réduction de la population mondiale qu’il voudrait voir baisser de 95% pour être idéale, selon un interview qu’il a accordé à Audubon Magazine en 1996 : « Une population totale de 250-300 millions de personnes, un déclin de 95% par rapport aux présents niveaux, serait idéal ». Turner a donné un milliard de dollars à une organisation nommée Fondation des Nations Unies. Cette organisation créée par Turner et la Turner Fondation, sont dévouées au contrôle de la population par la distribution de condoms, la promotion de l’avortement et autres méthodes pour promouvoir l’agenda eugénique, tout comme d’autres tels que Bill et Melinda Gates qui ont aussi donné de larges sommes d’argents à des « organisations charitables » qui servent réellement à promouvoir le mouvement eugénique. Turner a même reçu un prix de l’ONU pour son travail en développement durable, qui n’est qu’un autre nom code pour la réduction de la population.

3• La Fondation Bill & Melinda Gates, le géant américain de l’agrobusiness DuPont/Pioneer Hi-Bred, l’un des plus grands propriétaires de fabriques de semences brevetés et génétiquement modifiés (OGM) et de produits agrochimiques apparentés ; Syngenta, une compagnie de semences OGM et de produits agrochimiques basée en Suisse par l’intermédiaire de sa Fondation Syngenta ; la Fondation Rockefeller, ce groupe privé qui a créé la « révolution génétique », avec plus de 100 millions de dollars d’argent des semences depuis les années 1970 ; le CGIAR, réseau mondial créé par la Fondation Rockefeller afin de promouvoir son idéal de pureté génétique à travers un changement de l’agriculture, travaillent ensemble à des projets communs, dont la Réserve mondiale de semence à Svalbard.
Le CGIAR a été façonné lors d’une série de conférences privées tenues au centre de conférence de la Fondation Rockefeller à Bellagio, en Italie. Les principaux participants aux débats de Bellagio étaient George Harrar, de la Fondation Rockefeller ; Forrest Hill, de la Fondation Ford ; Robert McNamara, de la Banque mondiale, et Maurice Strong, l’organisateur international de la famille Rockefeller au niveau de l’environnement et qui, en tant que fiduciaire de la Fondation Rockefeller, organisa Sommet de la Terre (Earth Summit) de l’ONU, à Stockholm, en 1972. Cela faisait partie de l’objectif de la fondation depuis des décennies afin de mettre la science au service de l’eugénisme, une hideuse version de la pureté raciale, et qui a été appelé Le Projet.

Pour assurer un impact maximum, le CGIAR a appelé l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture des Nations Unies, le Programme de développement des Nations Unies et la Banque mondiale. Ainsi, par le biais d’une levée soigneusement planifiée de son premier appel de fonds, la Fondation Rockefeller, à partir du début des années 1970, était en mesure de façonner la politique agricole mondiale. Et elle l’a façonnée, en effet.

Financé par de généreuses bourses d’étude de Rockefeller et de la Fondation Ford, le Groupe consultatif sur la recherche agricole internationale (CGIAR) a veillé à ce que les scientifiques et agronomes principaux de l’agriculture du Tiers-Monde soient amenés aux États-Unis afin de « maitriser » les concepts de production de l’agro-industrie moderne, et afin de les ramener dans leur patrie. Durant ce processus, ils ont créé un réseau d’influence inestimable pour la promotion de l’agro-industrie américaine dans ces pays, et plus particulièrement la promotion de la « Révolution génétique » des OGM dans les pays en voie de développement, et tout cela au nom de la science et d’un marché agricole efficace et libre. (Voir l’article « L’arche de Noé végétale »).
Créer génétiquement une race de maitres ?

« Le Projet » est le projet de la Fondation Rockefeller et de puissants intérêts financiers depuis les années 1920 afin d’utiliser l’eugénisme, plus tard rebaptisé génétique, pour justifier la création d’une race de maitres créée par génie génétique. Hitler et les Nazis l’appelaient la race des maitres Aryens.

L’eugénisme d’Hitler fut financé dans une large mesure par la même Fondation Rockefeller qui construit aujourd’hui une « réserve de semences du jugement dernier » afin de préserver des échantillons de chaque semence présente sur notre planète. A présent, ceci devient vraiment intrigant. La même Fondation Rockefeller créa la pseudo-science de la discipline de la biologie moléculaire dans leur poursuite incessante visant à réduire la vie humaine à la « définition d’une séquence génique » qui, espéraient-ils, pourrait alors être modifiée dans le but de modifier les caractéristiques humaines à volonté. Les scientifiques de l’eugénisme d’Hitler, dont beaucoup ont été tranquillement amenés aux États-Unis après la guerre afin de poursuivre leurs recherches biologiques eugénistes, ont jeté une grande partie des bases du génie génétique des diverses formes de vie, soutenues ouvertement en grande partie jusqu’au sein du troisième Reich par les généreuses bourses de la Fondation Rockefeller.
La même Fondation Rockefeller créa ce que l’on appelle la révolution verte, durant un voyage au Mexique effectué en 1946 par Nelson Rockefeller et l’ancien Secrétaire à l’agriculture du New Deal et fondateur de la compagnie Pioneer Hi-Bred Seed, Henry Wallace.
La Révolution verte visait à résoudre le problème de la faim dans le monde à un haut degré, au Mexique, en Inde et dans d’autres pays choisis où Rockefeller travaillait. L’agronome de la Fondation Rockefeller, Norman Borlaug, remporta un prix Nobel de la paix pour son travail, une chose dont il n’y a pas de quoi se vanter lorsque des gens tel que Henry Kissinger ont partagé le même prix.
En réalité, comme cela est apparu des années plus tard, la révolution verte était une brillante idée de la famille Rockefeller pour développer une agro-industrie mondialisée dont ils pourraient ensuite prendre le monopole tout comme ils l’avaient fait dans le monde de l’industrie pétrolière et qui avait commencé un demi-siècle auparavant. Comme Henry Kissinger l’a déclaré dans les années 1970 : « Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays ; si vous contrôlez l’alimentation, vous contrôlez la population. »

4• L’idéologie d’eugénisme et de réduction de la population est bien intégrée dans le mouvement environnementaliste et celui de la théorie du réchauffement climatique causé par l’homme. Que ce soit correctement attribué à l’homme ou pas, les mêmes idées de réduire le nombre de population mondiale, de contrôler les naissances en adoptant des mesures eugéniques imitant la politique de l’enfant unique de la Chine et autres mesures dont l’avortement et la taxation d’enfants supplémentaires, sont présentes. L’humain et même les enfants sont le problème qu’il faut éliminer.

Alors que la planète subit une chute drastique de la production de biens indispensables au maintien de sa population, le Fonds mondial pour la nature (anciennement World Wildlife Fund) a publié le 29 octobre son Rapport Planète vivante (Living Planet Report 2008), affirmant que, puisque « les besoins des hommes en nourriture, eau, énergie et matériaux » représentent la plus grande menace pour la biodiversité, la consommation humaine devrait être réduite d’au moins 30% — pour commencer.

Selon ce rapport, plus des trois quarts de la population mondiale vivent dans des pays dont la consommation dépasse leur bio-capacité (exprimée sous forme d’« empreinte écologique »). Les auteurs en viennent à demander la « réduction de la population, de la consommation individuelle et des ressources utilisées ou des déchets émis pour produire des biens et des services ». Pour la première fois, le WWF s’en prend même à la consommation d’eau.
Ce rapport, dont les recommandations, si elles étaient appliquées, conduiraient à la mort de centaines de milliers d’hommes, a été co-rédigé par des membres de la Société zoologique de Londres. A l’origine du WWF, on trouve le prince Bernard des Pays-Bas et son co-penseur, le Prince Philip d’Edimbourg, le prince consort de la Reine Elisabeth II d’Angleterre. Le prince Bernard était un nazi, membre des SS, qui, contraint de démissionner du parti en vue de sa fonction royale, signa sa lettre de démission par un « Heil Hitler ! ».
Le critère d’« empreinte écologique » dont se sert le WWF fut élaboré par une fondation britannique, l’Optimum Population Trust, qui fait ouvertement campagne pour réduire des deux tiers la population mondiale afin de la ramener à deux ou trois milliards d’individus.

5• Dans une des rares sortie publique par les médias, Jonathon Porritt, un des principaux conseillers environnemental de Gordon Brown, a averti que la Grande Bretagne doit réduire radicalement sa population si elle désire construire une société durable. L’annonce a été faite à la conférence annuelle du groupe Optimum Population Trust (OPT), duquel il est le patron. Selon leur recherche, la population britannique devrait être réduite à 30 millions, soit la moitié de ce qu’elle est présentement.

En Australie, un groupe de lobby environnemental, le Sustainable Population Australia, soutient que nous devons réduire drastiquement la population mondiale ainsi que d’adopter une politique d’un enfant unique pour sauver la planète. Selon ce groupe de 1300 activistes, c’est le seul moyen d’éviter un « suicide environnemental ». La présidente du groupe, Sandra Kanck, suggère que la population australienne soit réduite de 22 à 7 millions de personnes pour s’attaquer aux changements climatiques.

De même, la BBC publiait un article de John Feeney, déclarant que la croissance non contrôlée de la population mine les efforts pour la sauver la planète. Il demande au mouvement environnemental de cesser de fuir ce sujet controversé. On y mentionne une autre organisation qui lutte en ce sens : Global Population Speak Out. (Source)

6• Des scientifiques qui se joignent en groupes tels que le Global Population Speak Out (GPSO) font pressions sur les médias pour briser le tabou de la surpopulation mondiale :

Je fais partie d’un groupe de scientifiques, répartis dans 24 Pays, qui s’est engagé à convaincre les médias de faire cesser le tabou qui s’oppose à toute discussion relative aux problèmes posés par la taille et la croissance de la population humaine en relation notamment avec la dégradation de l’environnement. Nous maintenons ce tabou à notre péril et à celui de millions d’autres espèces.

La surpopulation est étroitement liée à toutes les formes de dégradation de l’environnement dont nous prenons conscience maintenant : disparition d’espèces, modifications du climat, pollutions, désertifications, diminution des réserves aquatiques, déforestations, etc., or la croissance démographique mondiale est préoccupante.
Il est illusoire de penser qu’en réduisant notre consommation (même s’il est bon de le faire) nous arriverons à corriger les excès dus à la croissance ininterrompue de la population humaine ; personne ne peut réduire ses besoins organiques à zéro, il faut pour cela ne pas exister. Il est temps de réfléchir à ces problèmes démographiques et de préparer l’opinion à une perception nouvelle de leur évolution.
Le problème de la limitation des naissances est difficile dans les pays en voie de développement où de grossières erreurs ont été commises dans le passé. Mais les erreurs doivent être utiles pour progresser.
Il faudra dans ces pays, par recours aux médias sans doute, mieux y éduquer les femmes en exposant de nouvelles options concernant la taille des familles ; il faudra mieux protéger l’enfance pour qu’une forte mortalité ne soit plus la justification des familles nombreuses ; il faudra enfin rendre les moyens de contraception facilement accessibles à tous.
Le projet d’aboutir rapidement à un palier de croissance de la population humaine et, par la suite, à sa décroissance est une option dont dépend l’avenir de notre espèce et du reste du monde vivant. (Source)
D’autre, comme le Dr Eric R. Pianka, un biologiste américain basé à l’Université du Texas à Austin qui prononce des discours au niveau international, fait la promotion d’un génocide de masse de 90% de la race humaine pour sauver la planète et est applaudit chaudement par ses pairs. Durant un discours à l’Académie des sciences du Texas en 2006, Pianka proposait d’exterminer 90% de la population mondiale à l’aide du virus Ebola.

En 2002, le Melbourne Age rapportait que des documents nouvellement découverts détaillaient le plan de l’éminent immunologiste Sir Macfarlane Burnet pour aider le gouvernement australien à développer des armes biologiques qui pourraient être utilisées contre l’Indonésie et autres pays « surpeuplés » de l’Asie du Sud-Est. Sir Macfarlane recommandait dans ce rapport secret de 1947 que des armes chimiques et biologiques pouvaient être développées pour détruire les cultures de pays asiatiques surpeuplés et répandre des maladies infectieuses qui affecteraient que ces pays tropicaux et non pas l’Australie. Cet homme a notamment été le directeur du Walter and Eliza Hall Institute of Medical Research et il reçu un prix Nobel de médecine en 1960. Il est décédé en 1985, mais ses théories sur l’immunité et la « sélection de clonage » ont servi à établir la base de la biotechnologie moderne et de l’ingénierie génétique. (Source)
La controverse entourant les commentaires d’un autre favori du milieu scientifique, le généticien James Watson, qui a déclaré au journal le Sunday Times que les noirs sont moins intelligents que les blancs de façon inhérente, ne devrait pas surprendre personne qui sait que Watson a rempli un important rôle en promouvant la pseudo-science de l’eugénisme. Watson fut le directeur du Projet génome humain jusqu’en 1992 et reconnu pour avoir été le co-découvreur de la structure de la double-hélice d’ADN, une réussite qui lui méritera un prix Nobel en 1962. Mais ce que la plupart ignore, c’est que Watson a joué un rôle crucial dans l’avancement de la légitimité de l’eugénisme/réduction de la population depuis des décennies.

James Watson est un important promoteur du dépistage génétique, un test qui détermine si un couple est plus à risque d’avoir un bébé ayant un désordre génétique héréditaire. Puisque le dépistage a évidemment augmenté le nombre d’avortement d’enfants considérés « imparfaits », plusieurs ont dénoncé son introduction comme étant rien de moins qu’un camouflage pour l’eugénisme ou « eugénisme volontaire ».

7• Dans un document que Henry Kissinger rédigea en avril 1974 alors qu’il était Conseiller à la Sécurité Nationale américaine, le National Security Study Memorandum 200, il conclut : « Le dépeuplement est l’axe prioritaire de la politique étrangère américaine dans les pays du Tiers-monde ». Le document, qui visait treize pays en particulier pour une réduction massive de leur population, suggérait d’employer la famine, la stérilisation et la guerre pour y parvenir. Ce document gouvernemental fut rendu public en 1989 et identifiait ces pays comme étant d’un intérêt spécial pour les objectifs géopolitiques des États-Unis et expliquait ce pourquoi la croissance de la population, particulièrement celle des jeunes personnes, était vue comme une menace révolutionnaire contre les corporations américaines. Les pays nommés étaient l’Inde, le Bangladesh, le Pakistan, le Nigeria, le Mexique, l’Indonésie, le Brésil, les Philippines, la Thaïlande, l’Égypte, la Turquie, l’Éthiopie et la Colombie.

8• Lord Bertrand Russell écrivait dans son livre « The Impact of Science on Society » : « Présentement, la population du monde augmente… La guerre jusqu’à maintenant n’a pas eu de grands effets sur cette augmentation… Je ne prétends pas que le contrôle des naissances est le seul moyen par lequel une population peut être empêchée d’augmenter. Il y en a d’autres… La guerre a été plutôt décevante à cet égard, mais peut-être qu’une guerre bactériologique pourrait s’avérer efficace. Si une Mort Noire pouvait se répandre à travers le monde à chaque génération, les survivants pourraient procréer librement sans trop remplir le monde… » (Source)

9• « …des formes avancées de guerre biologique qui peuvent cibler des génotypes spécifiques peuvent transformer la guerre biologique d’un royaume de la terreur en un outil politiquement pratique. »
Qui a écrit ces mots dans leur propre document de stratégie ? Les nazis ? Le régime de Pol Pot ?

Non, c’était Paul Wolfowitz, Dick Cheney, William Kristol, Donald Rumsfeld et le reste des collaborateurs néo-cons qui ont formé ce qui était nommé le Project For a New American Century – qui constituait le cadre idéologique de l’ancienne administration Bush. (Source)
superbe article de mondialisation.ca

Bon,vous comprenez ce que cela signifie,l’OMS est impliqué dans cette politique NAZIE (il n’y a pas d’autres mots) de contrôle de la population ou plutôt de DÉPEUPLEMENT VOLONTAIRE,c’est à dire D’EXTERMINATION PLANÉTAIRE,ce n’est pas moi qui le dit,ce sont eux !,moi je reprends juste ce qu’ils disent,je n’invente rien.

Comment voulez vous faire confiance à l’OMS quand on sait cela,imaginer que la boss de l’organisation qui s’occupe de la santé sur la planète discute avec des mafieux nazis qui planifient grâce à leurs fondations (exemptées d’impôts) un dépeuplement massif sur terre.

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