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Une attraction de Disneyland responsable d’un accident ?

samedi 10 décembre 2011

Un enfant de 13 ans est toujours paralysé depuis son malaise à Disneyland Paris. Il souffrirait de contusions à la colonne vertébrale

Quinze jours après son accident à Disneyland Paris, Bautista Riera, le petit argentin de 13 ans est toujours interné à l’hôpital Necker. Souffrant d’une importante contusion médullaire et osseuse son arrivée, il a été placé sous assistance respiratoire. Il a eu quelques problèmes : une pneumonie et il a subi une trachéotomie”, a déclaré Mme Ferreira à Radio Continental. “L’affection pulmonaire va mieux. L’impact (subi au cours d’une des attractions) a eu pour conséquence une immobilité des jambes et bras et a perturbé sa respiration”, a-t-elle ajouté depuis Paris.Le 23 novembre, Bautista et ses parents font trois attractions dans le parc, dont la Tour de la Terreur. Ouverte en 2007, cette attraction offre en une chute libre dans un ascenseur. A sa sortie de la Tour, l’enfant se dit "ravi" selon son père et monte à bord d’un autre manège. C’est alors qu’il se sent mal. Son père se rapproche alors d’un agent du parc qui le renvoie alors vers le centre de soin le plus proche. Sur place, le médecin constate des symptômes neurologiques et conseille aux parents, compte tenu du jeune âge de l’enfant, de faire appeler une ambulance pour l’hôpital.

Le porte-parole de Disneyland Paris assure que "les procédures de contrôle et de sécurité effectués quotidiennement n’avaient montré aucune anomalie sur la Tour de la Terreur". L’attraction est toujours ouverte au public.Les responsables de Disney, sans nouvelles du garçon, invoquent le secret médical et le refus du père de l’enfant face aux propositions d’aide logistique. La famille de Bautista, qui affirme que le garçon était un enfant en bonne santé et sportif, tente de le rapatrier en Argentine. Une enquête préliminaire a été ouverte mercredi soir par le parquet de Meaux (41 km à l’est de Paris). Le but est d’établir ce qui a provoqué l’état de l’enfant. Aucune plainte n’avait été enregistrée jeudi après-midi.

Messages

  • Si on vous dit que le directeur des services techniques Atelier, à Disney, n’est ni un ingénieur, ni quelqu’un qui connait quelque chose en maintenance, ou en ingénierie.
    Cela vous surprend ? Alors si on vous dit que c’est comme ça depuis la restructuration de 2008 et que la direction technique a changé 2 fois depuis, cela vous rassure en tant qu’usager des attractions ?
    Alors si vous ne nous croyez pas, demandez à un employé habillé en bleu de travail ou en jean et veste noire si vous en croisez sur le parc ou dans le RER.
    Il fut un temps ou une attraction ne pouvait pas démarer s’il n’y avait pas l’accord de ce responsable, chef de la maintenance. Maintenant, des personnes qui sont cooptés à des postes de responsables attraction se permettent de faire démarrer les attractions, y compris contre l’avis des ingénieurs ou en les écartant des décisions.
    Des chefs d’équipe techniques des attractions démissionnent, d’autres sont débarqués alors qu’ils étaient en poste depuis 15 ans.
    La sous traitance remplace de plus en plus des services en interne qui n’ont plus les moyens et le personnel suffisants pour tout faire. Chaque petit responsable d’attraction fait sa cuisine dans son coin avec des équipes changeantes, des intervenants extérieurs : bref un retour en arrière quand on a connu le fonctionnement centralisé et surtout avec des équipes formés pendant plusieurs années et donc avec une expérience irremplaçable.
    Aujourd hui tout ça part en fumée et la direction a cassé ce secteur comme d’autre à Disney.
    Des services ont diminué de moitié en 10ans alors que le nombre d’attractions a doublé dans le même temps.
    Des activités de maintenance ne sont plus réalisées et les accidents se multiplient.

  • Un chico argentino sufrió una grave lesión en EuroDisney
    Por Julio Rodríguez
    Tiene 13 años y está internado con contusión medular. Bautista Riera vive en Pilar y había viajado con su padre. Se desmayó al salir de un juego mecánico que tiene una bajada súbita. Su estado se complicó por una neumonía y el pronóstico es reservado.
    06/12/11
    El anhelado paseo por EuroDisney se convirtió en una pesadilla para un chico santiagueño de 13 años, que desde hace dos semanas está internado en París, en grave estado, con una lesión en la médula .
    Bautista Riera, quien vive con su madre y dos hermanos en Buenos Aires, había viajado a París con su padre, Juan José Riera. La “excusa” de unos trámites le sirvió al médico santiagueño para llevar a su hijo menor a conocer EuroDisney.
    Bauti, como le dicen sus amigos, había subido solo a “La habitación del terror”, un ascensor que baja de golpe, pero va frenando en diferentes niveles. Apenas salió de la atracción, le dijo a su padre “¡papá, es hermoso !”, pero caminó dos pasos y se descompuso . Su tío, Gabriel Ferreyra, vive en Santiago del Estero y contó a Clarín este episodio, por el cual Bauti está internado en el hospital de niños de París, con pronóstico reservado, a raíz de un golpe sufrido en ese juego.
    El niño perdió la sensibilidad en las manos y los brazos . Su padre lo llevó al servicio de emergencias del parque temático, pero siguió mal. “Bauti no reaccionaba ; entonces lo llevaron a internar en el hospital”, agregó el tío. Hubo dos días de incertidumbre porque en un primer momento se pensó que podría tener algún virus mortal. “Al no tener señales neurológicas y dificultades para respirar, se sospechó eso”, relata.
    El accidente ocurrió el 23 de noviembre ; pero recién se conoció ayer. Ese mismo día, su madre, Suyen Ferreyra, voló a París desde México, donde estaba trabajando circunstancialmente. Los padres de Bautista están separados desde hace varios años. La mujer es ingeniera en computación y tiene su propia empresa que se dedica a fabricar sistemas.
    Bauti tiene una contusión medular producida como consecuencia de un impacto durante el juego. Esa inflamación medular llevará tiempo en curar, según admiten su tío y su madre, según los informes que reciben de los médicos. El niño había comenzado a recuperar sensibilidad en las manos, cuando se le detectó una neumonía “que tiró todo para atrás”, dijo el tío .
    “Después de cuatro días con neumonía, lograron estabilizarlo, aunque no estaba bien curado, cuando detectan que tenía algo en el pulmón. En un primer momento, pensaron otra vez en un virus ; luego creyeron que era comida en el pulmón y finalmente se detectó que era una sonda que se había corrido”, por lo que debieron hacerle un lavaje.
    Bauti tiene dos hermanos mayores : Julieta de 18 y Juan Cruz de 17 y los tres viven junto a su madre en el country El Carmel, en Pilar. Sus padres son santiagueños, pero partieron a Buenos Aires hace unos 15 años por trabajo.
    Las cadenas de oración para Bautista se han multiplicado por Facebook. El chico es un amante de los deportes y juega al rugby en las inferiores de Alumni , pasión que heredó de sus tíos santiagueños, que practicaron este deporte. Su madre, Suyén Ferreyra, fue una destacada jugadora de hockey en Santiago del Estero durante su juventud.
    “Estamos todos desesperados aquí”, dice Gabriel, el tío, que a su vez tiene otra hermana, Elizabeth, que vive en Estados Unidos y un hermano, Roberto, que reside en Valencia, España. “En unos días Bauti tenía que venir a Santiago para pasar las fiestas juntos a sus tíos y primos”, agregó Gabriel.
    En los últimos días los mensajes en su cuenta de Facebook se multiplicaron y su madre recibió miles de saludos. Suyén escribió el martes 29, desde la cuenta de Bauti : “Soy la mamá de Bauti Riera, y les cuento que la gente del hospital le puso una notebook para que en cuanto este mejor puedan hablarle por Skype y el pueda escuchar a sus amigos”.
    Lire ici l’article de Paris Match qui pose une question tabou à Disney : une attraction peut elle être une machine dangereuse pour la santé humaine ?
    La réponse est oui et d’ailleurs Disney se couvre juridiquement par des petits panneaux à l’entrée des attractions à sensations du type roller coaster, qui disent "interdit aux personnes cardiaques", par exemple.
    Le problème est que le mélange d’effets lumineux, de contraintes liées aux accélérations et déccélérations, loopings , provoquent des signaux contradictoires dans le cerveau et les enfants peuvent découvrir qu’ils sont sensibles à cela , mais une fois installés dans l’attraction.
    Il n’empêche que régulièrement Disney fait appel à des salariés"volontaires" pour tester des attractions.
    Parfois ce sont même les touristes qui porraient être les cobayes et découvrir que leur cerveau réagit très mal à ce type d’attraction.
    Ce n’est pas la 1er fois que des parcs d’attraction ont des accidents sur des jeunes adolescents !
    Disney n’est pas la foire du trône et le monde magique endort les petits et les grands sur des risques réels dont la direction du parc de Marne la Vallée fait mine d’avertir alors qu’elle sait que ces petites pencartes n’expliquent rien .
    Combien d’enfants font demi tour dans la file d’attente de Space Mountain, car ils entendent des bruits violents et des flashs lumineux puissants ? beaucoup !
    La tour de la terreur ne permet pas de se rendre compte de la violence avant de monter dans les cabines de cette attraction. On est secoué violemment et de haut en bas plusieurs fois dans un intervalle de temps très bref. L’ascenseur simule une chute vertigineuse (rupture de cable) alors que nous sommes à 60m de hauteur et que l’on est en train de regarder le paysage, la campagne environnente, les parcs...et d’un seul coup c’est la chute libre au sens premier. Si on tient un stylo dans sa main, vous le verrez flotter.
    Tout le corps se trouve surpris et dépossédé de contrôle sur des sensations hostiles et de stress important.
    Voici la liste des attractions qui générent un stress intense, des chocs violents etc...
    Space mountain Crush Coaster Rock n roller Coaster Temple du péril Tour de la terreur Le train de la mine.
    Toutes ces attractions ont connu des accidents et faits des victimes.

  • Bonjour,
    En tout la prudence s’impose. Le dossier médical de ce jeune n’est pas connu et ne le sera sans doute jamais. Sa situation personnelle est dramatique. Rien, cependant, ne permet de tirer la moindre conclusion. Des milliers de jeunes et moins jeunes ont empruntés cette attraction ici en France et ailleurs.
    Ayant visité les ateliers de maintenance du parc, il y a 10 ans, le contrôle préventif et curatif y était remarquable, le Directeur Technique du parc est effectivement parti depuis dans un autre grand groupe de loisirs.
    Ce qui inquiète, c’est la répétition d’incidents dans le parc, répétition qui devrait alerter.
    Quand bien même, le risque zéro n’existe pas et encore moins avec des attractions de plus en plus sensationnelles. C’est le public qui les réclame...
    Autre point difficile pour le parc, il communique et l’opinion pense qu’il s’agit de fait d’une reconnaissance de responsabilité, il ne communique pas...l’opinion pense qu’on lui cache quelque chose...
    Souhaitons à ce jeune que la médecine le sorte de ce mauvais sort et qu’il se rétablisse rapidement.

    • La prudence qui s’imposerait serait un contrôle général et sérieux de la part d’agents indépendants de toutes les attractions à risque...

      Mais Disney fait la pluie et le beau temps et ce n’est pas l’Etat qui va le déranger.

      Dans ce sens là effectivement, on ne saura jamais.

      Mais ce que l’on sait, c’est que Disney est déjà responsable dans bien des cas : lire ici

      amicalement

      Robert

    • Effectivement la prudence s’impose : de la même façon que rien ne permet d’être docteur à la place des docteurs , ce n’est pas une visite qui permet de connaître la réalite des procédures et des pratiques des services de maintenance.

      En 2008, plus de 300 techniciens avec le soutien des ingénieurs et du reste des services techniques, ont débrayé 3jours pour s’opposer à une restructuration qui est finalement passé en force .

      Depuis les effectifs ont fondu, de bons professionnels sont partis et non pas été remplacés et les accidents se multiplient.

      ET ce constat tout le monde peut le faire sans être spécialiste.

      Il est le même dans beaucoup de secteur, automobile, nucléaire, aviation, transport, service public etc...

  • Encore un accident grave et même mortel à Disneyland !!!

    Un employé du Parc Disneyland Paris de Chessy en Seine-et-Marne a trouvé la mort ce samedi matin. Le drame s’est déroulé dans l’attraction « La maison hantée », entre 8 h 30 et 9 heures juste avant l’ouverture du parc au public.

    L’agent de maintenance, qui intervenait sur un appareil d’éclairage défectueux, a été retrouvé par des collègues, inanimé. Son décès a été constaté à 10 heures.

    L’origine de la mort du technicien semble accidentelle. Il aurait été victime d’une électrocution selon les premiers éléments de l’enquête en cours. Agé de 45 ans, ce père de famille habitant Noisy-le-Grand (93), « très apprécié de ses collègues » selon une source syndicale, travaillait chez Disneyland depuis 2002. Si l’attraction « La maison hantée » est restée fermée aujourd’hui, le parc a ouvert normalement aux visiteurs venus nombreux en ce premier jour de vacances scolaires de la zone B.

  • Une jeune femme de 28 ans souffre du "symptôme du débarquement" depuis qu’elle est montée dans l’attraction Space Mountain, en 2013.

    En 2013, Marie a 23 ans. Comme des millions de personnes, elle se rend à Disneyland Paris et monte à bord d’une des attractions les plus cotées du parc : Space Mountain. Mais au moment de sortir de l’attraction, Marie est prise de vertiges, comme elle le raconte au micro de RTL. « On est dans le premier wagon. Et l’attraction démarre, on part très vite et là il y a des loopings je ne sais plus ce qui m’arrive, j’ai la tête qui claque de droite à gauche dans les arceaux. J’ai tellement de vertiges. Et arrivée en bas, je ne sais plus descendre du manège. » Depuis ce jour, la jeune femme vit un enfer et peut à peine se tenir debout. Elle ne peut plus prendre ni l’avion ni le train et peine à monter en voiture. Jeune maman, elle craint sans cesse de faire tomber son bébé, faute d’équilibre.

    Ces vertiges l’ont pris à la sortie de l’attraction, et ne l’ont plus jamais quittée. C’est un ORL parisien qui identifie le mal dont elle souffre, appelé « syndrome du débarquement ». « Il m’a expliqué que durant le traumatisme dans le manège, mon oreille interne a été touchée. Les cils qui retenaient les cristaux qui assurent l’équilibre ont été arrachés. Les cristaux ont été en mouvement permanent. Mon cerveau a inhibé mon oreille interne. Elle indiquait tellement de signaux incohérents, qu’il a décidé de l’ignorer », explique-t-elle au Courrier picard .

    Depuis, Marie se bat pour être indemnisée. « Cette jeune femme subit continuellement les conséquences malheureuses de cet événement, rappelle Maître Cyrille Bouchaillou, son avocat. Elle a été reconnue travailleuse handicapée à cause des problèmes causés par l’attraction sur son oreille interne ». Dans un article du Figaro , on peut lire que « Disneyland Paris propose alors par courrier d’indemniser la jeune femme pour 29 950 euros ». Contacté par Le Point.fr, le service communication de Disneyland affirme que c’est la jeune femme qui avait réclamé cette somme. Une information contestée par son avocat. « Je ne suis pas intervenu en amont. Les compagnies d’assurance ont tenté de négocier entre elles, et celle de Disneyland Paris a tenté, d’elle-même, de proposer une indemnisation d’environ 30 000 euros », relate-t-il.

    Une somme que l’avocat juge trop faible, face au préjudice subi par la jeune femme. « Suite au refus, Disneyland Paris a brutalement rompu la communication », raconte Cyrille Bouchaillou.

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