Les Bagaudes étaient des bandes de soldats déserteurs et de paysans sans terre, qui sous le poids de la fiscalité romaine et des pillages des barbares germaniques venus du Nord, vivaient de brigandages. Ces paysans gaulois étaient en révolte contre l’administration impériale romaine.
Souvent traités de voleurs, ils constituaient de véritables armées animées d’un certain patriotisme. Ils furent vaincus en 286 par l’empereur Maximien Hercule. Leurs chefs, Aelianus et Amandus, furent considérés comme des martyrs et des saints.
Suite à de nouvelles révoltes, un moine de Trèves, Salvien dira d’eux en 450 : « Nous les appelons des rebelles, des hommes perdus, nous qui les avons poussés à être des criminels. S’ils sont devenus des Bagaudes, n’est-ce pas à cause de nos injustices, de la malhonnêteté des gouverneurs, de leurs confiscations… eux qui sous prétexte de percevoir les impôts publics, détournent à leur profit les sommes perçues ? ».
Les Bagaudes étaient des bandes de soldats déserteurs et de paysans sans terre, qui sous le poids de la fiscalité romaine et des pillages des barbares germaniques venus du Nord, vivaient de brigandages. Ces paysans gaulois étaient en révolte contre l’administration impériale romaine.
Souvent traités de voleurs, ils constituaient de véritables armées animées d’un certain patriotisme. Ils furent vaincus en 286 par l’empereur Maximien Hercule. Leurs chefs, Aelianus et Amandus, furent considérés comme des martyrs et des saints.
Suite à de nouvelles révoltes, un moine de Trèves, Salvien dira d’eux en 450 : « Nous les appelons des rebelles, des hommes perdus, nous qui les avons poussés à être des criminels. S’ils sont devenus des Bagaudes, n’est-ce pas à cause de nos injustices, de la malhonnêteté des gouverneurs, de leurs confiscations… eux qui sous prétexte de percevoir les impôts publics, détournent à leur profit les sommes perçues ? ».