Le réacteur numéro 3 de la centrale nucléaire belge de Doel, près d’Anvers -l’un des sept réacteurs exploités par Electrabel, une filiale du groupe français GDF Suez- ne sera sans doute jamais relancé.
La découverte d’une fissure sur la cuve, révélée par le quotidien Le Soir, suscite l’inquiétude, tant en Belgique que dans le reste de l’Europe où plusieurs centrales possèdent le même équipement. Cet incident intervient alors que plusieurs pays dans le monde s’interrogent sur l’avenir du nucléaire, après la catastrophe de Fukushima au Japon.
Le réacteur numéro 3 de la centrale nucléaire belge de Doel, près d’Anvers -l’un des sept réacteurs exploités par Electrabel, une filiale du groupe français GDF Suez- ne sera sans doute jamais relancé.
La découverte d’une fissure sur la cuve, révélée par le quotidien Le Soir, suscite l’inquiétude, tant en Belgique que dans le reste de l’Europe où plusieurs centrales possèdent le même équipement. Cet incident intervient alors que plusieurs pays dans le monde s’interrogent sur l’avenir du nucléaire, après la catastrophe de Fukushima au Japon.