La folie ne sert-elle pas précisément d’arme pour qualifier les révoltés fous ?
Le tueur de l’Essonne est qualifié en boucle sur les radios de "fragile psychologiquement". Pourquoi ? cela suffit-il aujourd’hui d’être fragile psychologiquement pour devenir un tueur ?
La notion de fou n’a plus rien de scientifique. Mais les préjugés sociaux ont la vie dure, surtout lorsque les commentateurs officiels relaient ces préjugés via la bonne pensée de l’idéologie dominante que défendent journalistes, intellectuels, profs, etc.
Les gêneurs et le fascistes de tout bord peuvent être qualifiés de fous un jour, comme le tueur d’Oslo il y a un an, et puis sains d’esprit maintenant que les politiques bourgeoises ont choisi de préparer le fascisme.
Toute cette campagne permet de dénigrer et discriminer les gens fragiles et fragilisés par l’épuisement au travail, toutes les dépressions, les accompagnés par un psychologue face à leur colère mêlée de souffrance.
Devenir criminel, même lorsqu’on souffre est toujours un choix.
Être désigné comme fou et/ou fragile permet et permettra de nous identifier comme des terroristes pour mieux nous enfermer et nous faire la peau dans des camps de rétention, de concentration... voire d’extermination.
D’ici quelques mois, quelques semaines, mais de toutes façons dans moins de 10 ans.
La folie ne sert-elle pas précisément d’arme pour qualifier les révoltés fous ?
Le tueur de l’Essonne est qualifié en boucle sur les radios de "fragile psychologiquement". Pourquoi ? cela suffit-il aujourd’hui d’être fragile psychologiquement pour devenir un tueur ?
La notion de fou n’a plus rien de scientifique. Mais les préjugés sociaux ont la vie dure, surtout lorsque les commentateurs officiels relaient ces préjugés via la bonne pensée de l’idéologie dominante que défendent journalistes, intellectuels, profs, etc.
Les gêneurs et le fascistes de tout bord peuvent être qualifiés de fous un jour, comme le tueur d’Oslo il y a un an, et puis sains d’esprit maintenant que les politiques bourgeoises ont choisi de préparer le fascisme.
Toute cette campagne permet de dénigrer et discriminer les gens fragiles et fragilisés par l’épuisement au travail, toutes les dépressions, les accompagnés par un psychologue face à leur colère mêlée de souffrance.
Devenir criminel, même lorsqu’on souffre est toujours un choix.
Être désigné comme fou et/ou fragile permet et permettra de nous identifier comme des terroristes pour mieux nous enfermer et nous faire la peau dans des camps de rétention, de concentration... voire d’extermination.
D’ici quelques mois, quelques semaines, mais de toutes façons dans moins de 10 ans.