Voici comment Lutte ouvrière qui dirige le syndicat CGT de PSA Aulnay conçoit la lutte.
21 février 2012, 07:13, par Max
Que c’est une prière et une surtout une arnaque, si la lutte est au niveau d’1 usine et surtout d’une multinationale. (sans parler de l’illusion qui consiste à faire croire qu’en période électorale tout est possible, comme en avril 1997 pour Renault Vilvorde).
Mais surtout que LO fait du syndicalisme alors que le problème des fermetures et des faillites des Général Motors, des Etats, du capitalisme, touche tous les pays violemment en même temps depuis 3 ans.
Des slogans des travailleurs sont une chose, celle d’une orga politique qui a plus d’1/2 siècle d’existence, en sont une autre.
LO envoie les travailleurs vers une impasse sous prétexte de responsabilités syndicales et "de construire le rapport de force".
Partager le travail c’est partager la misère voilà ce que je pense, car le travail ou plutôt l’exploitation salariale, n’est pas commandé par la classe.
Les travailleurs peuvent contester de fait le pouvoir patronnal en occupant les usines comme en 1936, pendant qu’à côté un pays est en pleine révolution contre le fascisme .
Mais justement dans une période de crise systèmique, la perspective n’est pas économique pour le salariat : elle est celle de socialisme ou barbarie, donc de prendre le pouvoir consciemment en détruisant l’appareil d’Etat bourgeois et en liant son sort aux prolétaires du monde entier.
Que c’est une prière et une surtout une arnaque, si la lutte est au niveau d’1 usine et surtout d’une multinationale. (sans parler de l’illusion qui consiste à faire croire qu’en période électorale tout est possible, comme en avril 1997 pour Renault Vilvorde).
Mais surtout que LO fait du syndicalisme alors que le problème des fermetures et des faillites des Général Motors, des Etats, du capitalisme, touche tous les pays violemment en même temps depuis 3 ans.
Des slogans des travailleurs sont une chose, celle d’une orga politique qui a plus d’1/2 siècle d’existence, en sont une autre.
LO envoie les travailleurs vers une impasse sous prétexte de responsabilités syndicales et "de construire le rapport de force".
Partager le travail c’est partager la misère voilà ce que je pense, car le travail ou plutôt l’exploitation salariale, n’est pas commandé par la classe.
Les travailleurs peuvent contester de fait le pouvoir patronnal en occupant les usines comme en 1936, pendant qu’à côté un pays est en pleine révolution contre le fascisme .
Mais justement dans une période de crise systèmique, la perspective n’est pas économique pour le salariat : elle est celle de socialisme ou barbarie, donc de prendre le pouvoir consciemment en détruisant l’appareil d’Etat bourgeois et en liant son sort aux prolétaires du monde entier.