Voici comment Lutte ouvrière qui dirige le syndicat CGT de PSA Aulnay conçoit la lutte.
13 juillet 2012, 22:35, par Robert
Peu après 13 heures, une clameur monte du parking de la porte 3 à l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois : "Poutou avec nous, Poutou avec nous !". L’ancien candidat NPA à la présidentielle est là pour apporter son soutien aux ouvriers en grève qui viennent d’apprendre, jeudi 12 juillet, la fermeture programmée de leur usine et la suppression de 8.000 postes dans le groupe.
"Je suis venu apporter mon soutien aux camarades de PSA mais, au delà d’Aulnay, la question est de savoir comment empêcher ça, comment riposter", explique Philippe Poutou. A ses yeux, la situation d’Aulnay représente un test pour le gouvernement : "Sera-t-il capable d’affronter le patronat ? Saura-t-il interdire les licenciements ?", lance celui qui refuse la résignation et appelle la population à relever la tête et à se battre.
Poutou appelle les salariés à se battre en les laissant croire que le gouvernement pourrait, devrait être de leur côté.
Ce gouvernement qui supprime des milliers d’emplois de fonctionnaires au même moment !!!
Il n’a rien à leur dire sur la confiance à faire ou pas dans les réactions des centrales syndicales, elles qui ont déjà remis la réaction à après les vacances alors que l’émotion dans la classe ouvrière, c’est maintenant et que la plupart des travailleurs ne sont pas encore partis à la mi juillet...
Peu après 13 heures, une clameur monte du parking de la porte 3 à l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois : "Poutou avec nous, Poutou avec nous !". L’ancien candidat NPA à la présidentielle est là pour apporter son soutien aux ouvriers en grève qui viennent d’apprendre, jeudi 12 juillet, la fermeture programmée de leur usine et la suppression de 8.000 postes dans le groupe.
"Je suis venu apporter mon soutien aux camarades de PSA mais, au delà d’Aulnay, la question est de savoir comment empêcher ça, comment riposter", explique Philippe Poutou. A ses yeux, la situation d’Aulnay représente un test pour le gouvernement : "Sera-t-il capable d’affronter le patronat ? Saura-t-il interdire les licenciements ?", lance celui qui refuse la résignation et appelle la population à relever la tête et à se battre.
Poutou appelle les salariés à se battre en les laissant croire que le gouvernement pourrait, devrait être de leur côté.
Ce gouvernement qui supprime des milliers d’emplois de fonctionnaires au même moment !!!
Il n’a rien à leur dire sur la confiance à faire ou pas dans les réactions des centrales syndicales, elles qui ont déjà remis la réaction à après les vacances alors que l’émotion dans la classe ouvrière, c’est maintenant et que la plupart des travailleurs ne sont pas encore partis à la mi juillet...