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Qu’est-ce que l’expérience des fentes de Young et quelle en est la conséquence ?

11 octobre 2019, 16:17, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

JFP¦¦11102019¦¦Super car une réponse simple sur une question simple mais virtuelle. Donc le virtuel serait constitué de "virtuel de virtuel", et nous supposons alors que le "virtuel de virtuel" serait composé de "virtuel de virtuel de virtuel ", et ainsi de suite. Cela voudrait dire que les emboîtements (avec un chapeau sur le I) sont sans fin, et que tout ce que nous connaissons et même de ce que nous ne connaissons pas est et serait discontinu, car le continu ne peut pas exister, à moins d’avoir une échelle limite, mais alors quelle échelle limite Ɂ Dans ces dialogues et questionnements un peu philosophiques, où s’arrête les emboîtements, si ils s’arrêtent Ɂ Si cela ne s’arrête jamais dans l’infiniment petit, on se demanderait pourquoi l’infiniment grand s’arrêterait également Ɂ D’ailleurs le terme "infini" veut bien dire que c’est sans fin. Si dans d’échelle du très petit imaginable qui est totalement concevable où cela ne s’arrête jamais, dans l’échelle du très grand par contre il y a un vrai problème de fond, car notre univers est soit disant en expansion ‼‼ On voit très mal une expansion dans un univers infini, car par la définition même, l’infini ne peut pas grandir ‼‼ Nous dirons alors que l’expansion de l’univers est un leurre, et pourtant cela à commencé il y a plus de 100 ans ‼‼ Si il y a d’autres univers que le notre, comment alors appeler l’ensemble de tous les univers possibles Ɂ D’après votre philosophie cela serait alors "l’univers de l’univers", c’est à dire l’ensemble de tous les univers, sachant que cet ensemble est infini, et qu’il n’est nul besoin de concevoir "l’univers de l’univers de l’univers" et ainsi de suite. La vraie question est alors pourquoi les emboîtements s’arrêtent aux grandes échelles et non aux très petites échelles Ɂ Nous pensons savoir pourquoi les imbrications s’arrêtent à grandes échelles qui est que ces mêmes imbrications ne s’arrêtent pas à petites échelles. Nous ne connaissons même pas vraiment notre vrai univers, car ce que nous détectons, est fonction d’une limite visible ou détectable, où d’ailleurs les calculs de densités ou autres s’adressent forcément que sur ce que nous voyons et détectons, car le juste après est en fait le néant, mais un faux néant car c’est le point d’interrogation, même si on sait que cela est totalement faux e cette fausse limite. Nous avons un modèle qui est la diversité des galaxies, et aussi des emplacements particuliers de ces galaxies réparties sur des filaments englobant des bulles de vide sans matière, avec des croisements de filaments où la densité des galaxies est plus grande, et ce modèle peut se retrouver hors de notre portée de détection sans savoir si ces bulles et galaxies diminueront, ou encore s’étalera à l’infini. Si ce modèle se dilue dans l’espace, cela veut dire que notre univers est fini, même si il est flou, et donc que d’autres univers peuvent exister, sur un modèle de grandeur que nous ne pouvons pas connaître. Ces grandeurs extrêmes nous ne intéressent pas trop, car ce que nous scrutons de l’espace galactique, ce sont les différents objets qui y sont. Donc l’infini du grand ne nous intéresse pas, parce que cela est plus philosophique que physique, et il n’y a que les objets particuliers de cet espace galactique qui nous intéresse. Dans cette physique quantique, c’est justement l’inverse de cette physique cosmologique ou autres, car nous voulons comprendre ce qu’est la matière par laquelle nous sommes constituée, et aussi ce vide qui s’y rattache. En descendant dans ces profondeurs d’échelles de l’infiniment petit, les comportements et les lois n’ont plus rien avoir avec celles du macroscopique. C’est une sorte de dichotomie à rechercher toujours plus bas ce qui est et savoir ce que c’est. Partant de cet atome soit disant insécable, ce dernier à été divisé par deux, car d’un coté le noyau atomique, et de l’autre coté les électrons. Le noyau peut encore se diviser en deux notions d’éléments que sont proton et neutron, et de ces derniers on peut encore diviser par deux mais surtout par trois que sont les quarks. Nous arrivons donc à ces quarks et ces électrons, et on nous dit encore qu’ils peuvent être divisé par deux, car constitués de paires de particules virtuelles de charges opposées. Donc d’après ce que nous avons compris des lectures de ces articles de "Matière et Révolution", des paires de particules virtuelles sont la base des constitutions des particules élémentaires. Ce que nous n’avons pas compris c’est qu’il existe des électrons virtuels, comme des quarks virtuels comme encore des photons virtuels, comme toutes les particules élémentaires en virtuel, et ces entités disparaissent et réapparaissent sans savoir si ce sont les mêmes d’ailleurs. Nos questions étaient de savoir de quoi sont constituées ces paires de particules virtuelles, et la réponse est de ’virtuel de virtuel". Voilà une grande avancée pour bien nous dire que tout est emboîté, mais on ne sait pas si ces emboîtements sont sans fin., car où s’arrête ces emboîtements et donc y a t-il une vraie fin d’imbrication Ɂ Nous pensons, et cela ne sont que nos idées, que cela s’arrête à une certaine échelle, et donc qu’il puisse y avoir des entités en continu qui seraient la fin des emboîtements. Nous avions commencé par utiliser cette expression de poussières d’atome ou poussières de particules élémentaires, définissant la composition des quarks , des électrons, des photons... mais ce terme de poussière ne plaît pas, alors nous sommes passé au mot de grain, mais le grain n’est guère plus apprécié. Nous pensons parler et comprendre les mêmes choses et avoir les mêmes conceptions, mais avec des mots différents qui n’ont rien de scientifiques. Pourtant ce mot particulier de granulaire revient souvent dans vos articles, définissant du coup une discontinuité systématique, et veut bien dire que la chose est formée de grains. Si une entité est granulaire, c’est que forcément elle est constituée de grains et peu importe de quel grain. Dans cet esprit de grains il y a même des mots inventés dans vos articles, mais ne venant pas forcément de vous, ainsi AGRAINDISSEMENT au lieu de agrandissement, et ce mot de AGRAINDISSEMENT revient dans plusieurs de vos articles. Nous avons du mal avec ces mots inventé ayant une correspondance en anglais, car on ne les retrouvent pas dans des définitions françaises. Nos mots sont simples et même rudimentaires, et cela ne nous empêche pas de concevoir des notions de bas niveau, et nous préférons de loin utilisé grain positif ou grain négatif, que particule virtuelle et anti-particule virtuelle car déjà que veut dire l’anti de quelque chose si ce n’est que la charge opposée. C’est comme si la réalité était POSITIVE et son contraire NÉGATIF. C’est une façon de concevoir qui nous gênes car la réalité est aussi bien POSITIVE que NÉGATIVE. En considérant un noyau atomique de charge négative et des éléments autour de charge positive, POSIF et NÉGATIF constituent aussi bien l’anti-matière que la matière, car dans les deux cas on retrouve toujours les mêmes charges opposée, mais placées différemment... Donc de parler d’anti-particule virtuelle n’est pas clair, dans la mesure où on ne donne pas de référence contraire du type de particule réelle à laquelle on fait référence. Pour nous parler du "virtuel de virtuel" utilisé pour la constitution des particules virtuelles ou des grains formant des tas non spécifiques, et bien cela veut dire strictement la même chose, sauf que l’on ne fait pas de copie du réel en le transformant en virtuel et supprimant les masses... Que ces grains se regroupent par paire par couple et de charge opposées cela ne change rien à la conception de ce monde de Mécanique quantique, où le grain remplace le virtuel. Nous pensons que cette notion de virtuelle s’est amplifiée depuis les début de cette physique quantique, et que le langage est de moins en moins compréhensif. Le constat ressenti est que nous gênons par notre simplicité, où dans ce monde de la physique il y a plus de branches d’entités. Effectivement si chaque entité dit particule possède un vrai nom, cette même particule est aussi associée à une branche de division, une classe, un genre, un type.... Ainsi partant d’un tronc commun, deux branches arrivent, et chaque branche se divise encore en deux, et ainsi de suite pour arriver à un nom de particule. La particule possède donc un vrai nom, mais elle possède aussi des noms de ses branches dont elle est issue, et on parlera de groupe, de classe, de genre, de type... et tout ceci n’apporte strictement rien à la compréhension de ces particules, d’autant si elles sont toutes constituées de grains pour être simple ou encore de virtuel de virtuel pour être un peu plus compliqué.
▬Nous pensons que nous décrivons et concevons presque la même chose, mais nous utilisons des mots ordinaires qui ne sont pas scientifiques, et donc que la crédibilité ne peut pas être au rendez vous. On osera quand de vous demander de quoi est constitué le "virtuel de virtuel" et nous pensons connaître déjà la réponse. Voici une vraie question ¦¦Et-ce que lé "virtuel de virtuel" possède des charges différentes Ɂ Nous somme désolé de vous ennuyer.
▬Nous ne sommes pas écarté du sujet principal de l’article qui est¦¦les fentes de Young, car la question reste toujours en suspend qui est pourquoi avec deux fentes des interférences se créer avec un seul corpuscule ou une seule particule, et de savoir comment cette entité procède pour passer au travers de deux fentes. Pour vous c’est le nuage de polarisation de l’entité qui se divise en deux et qui passe au travers des fentes, et que ce dernier est rattaché à l’entité, et que cette entité ne passe que par une seule fente. Pour nous l’entité est malléable et se déforme comme se divise, et passe donc à travers les deux fentes, car le nuage dont vous parlez fait partie intégrante de la particule, et donc que le corpuscule ou particule est le nuage sans plus de corpuscule ou de particule. Dans votre concept il y a deux objets d’instincts, alors que dans le notre il n’y a qu’un seul objet. Maintenant démontrer pourquoi ces interférences et donc ces franges est une autre affaire, où nous avons pourtant déjà donné des possibilités. Votre nuage de polarisation se divisant par deux et passant donc par les fentes, ne donne pas plus d’explication sur ces franges. Nous ne voulons pas contrecarrer vos concepts, nous avons seulement des idées différentes sur ce qu’est une particule élémentaire. Si vous considérez qu’une particule réelle et composée de virtuel, on se demande pourquoi une partie supplémentaire qui est votre nuage serait aussi des particules virtuelles, car si l’ensemble sont des particules virtuelles, pourquoi alors faire de distinguo entre objet et nuage si les entité de composition sont les mêmes ‼‼ Nous vous remercions de vos retours même si les nôtres sont quelques fois filtrés.
▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

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