Parmi les capacités de l’homme, il convient de ne pas négliger celle d’étudier scientifiquement le monde, sans se particulariser, sans dépendre de ce monde au point de ne le voir que comme un monde à dominer. Plus l’homme maîtrisera sa propre existence du fait justement de ces découvertes culturelles et techniques, mais aussi de sa capacité à se débarrasser de son esclavage social, moins il aura besoin de faire dire à la nature qu’il lui serait supérieur et particulier…Il n’y a aucune gène à étudier de manière particulière l’homme, à condition justement de développer la conception dialectique selon laquelle il est particulier et, en même temps, qu’il n’est nullement particulier !!! Pas plus que les bactéries seraient particulières parce qu’elles seraient le contraire des archéobactéries et les pandas le contraire de leurs cousins ours parce qu’ils mangent des bambous…
Parmi les capacités de l’homme, il convient de ne pas négliger celle d’étudier scientifiquement le monde, sans se particulariser, sans dépendre de ce monde au point de ne le voir que comme un monde à dominer. Plus l’homme maîtrisera sa propre existence du fait justement de ces découvertes culturelles et techniques, mais aussi de sa capacité à se débarrasser de son esclavage social, moins il aura besoin de faire dire à la nature qu’il lui serait supérieur et particulier…Il n’y a aucune gène à étudier de manière particulière l’homme, à condition justement de développer la conception dialectique selon laquelle il est particulier et, en même temps, qu’il n’est nullement particulier !!! Pas plus que les bactéries seraient particulières parce qu’elles seraient le contraire des archéobactéries et les pandas le contraire de leurs cousins ours parce qu’ils mangent des bambous…