Quelques questions épineuses aux banksters ! Questions for the banksters
16 mai 2012, 07:10
C’est le trader français surnommé « la baleine de Londres » qui est à l’origine des pertes de 2 milliards de dollars cumulées en six semaines. Une somme qui pourrait encore grossir.
JPMorgan a annoncé après la clôture des marchés américains de lourdes pertes de plus de 2 milliards suite à l’achat massif de produit dérivés qui avaient été à l’origine de la crise financière de 2008. Le PDG, Jamie Dimon, a évoqué des pertes liées à des « contentieux d’environ 200 millions de dollars » et des « pertes de courtage avant impôt de plus de 2 milliards de dollars » lors d’une conférence téléphonique surprise. Le patron de la première banque américaine en termes d’actifs a ajouté que ces pertes pourraient encore grossir à hauteur d’un milliard de dollars supplémentaire. Le portefeuille d’actifs incriminé présente encore « beaucoup de volatilité », a expliqué le dirigeant. « Nous allons le gérer au maximum », mais « il pourrait nous coûter jusqu’à un milliard de dollars ou plus » et « le risque va perdurer pendant plusieurs trimestres », a ajouté le PDG.
C’est le trader français surnommé « la baleine de Londres » qui est à l’origine des pertes de 2 milliards de dollars cumulées en six semaines. Une somme qui pourrait encore grossir.
JPMorgan a annoncé après la clôture des marchés américains de lourdes pertes de plus de 2 milliards suite à l’achat massif de produit dérivés qui avaient été à l’origine de la crise financière de 2008. Le PDG, Jamie Dimon, a évoqué des pertes liées à des « contentieux d’environ 200 millions de dollars » et des « pertes de courtage avant impôt de plus de 2 milliards de dollars » lors d’une conférence téléphonique surprise. Le patron de la première banque américaine en termes d’actifs a ajouté que ces pertes pourraient encore grossir à hauteur d’un milliard de dollars supplémentaire. Le portefeuille d’actifs incriminé présente encore « beaucoup de volatilité », a expliqué le dirigeant. « Nous allons le gérer au maximum », mais « il pourrait nous coûter jusqu’à un milliard de dollars ou plus » et « le risque va perdurer pendant plusieurs trimestres », a ajouté le PDG.
Encore la faute à Kerviel ?!!!