Les prétendues « solutions » de Hollande face à la crise
20 mai 2012, 08:25
Il y a quelques années, il jugeait le G8 inutile. Après y avoir goûté pour la première fois, François Hollande s’est réjoui samedi des "avancées" obtenues à Camp David et s’est même attribué, en partie, la paternité de son issue sur la croissance.
C’était en 2003. Celui qui n’était alors que le patron du Parti socialiste avait raillé l’inefficacité de ces grands sommets qui réunissent, à l’abri de forts bataillons policiers, les dirigeants de huit grands pays industrialisés. "Un club de riches et de puissants qui émet des voeux", avait-il fustigé.
Il y a quelques années, il jugeait le G8 inutile. Après y avoir goûté pour la première fois, François Hollande s’est réjoui samedi des "avancées" obtenues à Camp David et s’est même attribué, en partie, la paternité de son issue sur la croissance.
C’était en 2003. Celui qui n’était alors que le patron du Parti socialiste avait raillé l’inefficacité de ces grands sommets qui réunissent, à l’abri de forts bataillons policiers, les dirigeants de huit grands pays industrialisés. "Un club de riches et de puissants qui émet des voeux", avait-il fustigé.