La vague de licenciements massifs arrive : automobile, aéronautique, sidérurgie, métallurgie, banques, communications, bâtiment, etc… Comment réagir ?
6 juillet 2012, 22:33
PSA, dont un délégué syndical Force ouvrière a évoqué la possibilité d’un plan comptant 8 à 10 000 suppressions de postes.
Dans le textile, autre secteur touché, les chiffres posent également la même question lancinante : peut-on encore produire français ? Après Lejaby, c’est Dim, Playtex et Wonderbra qui sont visés, le fonds d’investissement américain propriétaire de DBApparel ayant décidé de céder le groupe. En balance, plus de 900 personnes à Autun, en Saône-et-Loire, où les employés ont déjà essuyé un plan social.
Autre dossier chaud, les transports (8 600 départs craints par les syndicats) sont entraînés par le poids lourd Air France, qui a présenté son projet "Transform 2015" pour les personnels au sol, prévoyant 5 122 suppressions de postes sans départs contraints.
Enfin, le commerce et la distribution s’illustrent dans ce sombre palmarès avec plus de 8 500 emplois en danger.
Tous ne sont pas logés à la même enseigne : les banques et les assurances devraient subir presque moitié moins de coupes que l’agroalimentaire (environ 4 600 emplois). Et, là où 800 départs volontaires sont proposés chez Société générale, les 3 400 employés de Doux, sans compter les 700 éleveurs qui dépendent de l’avenir de l’entreprise, attendent de savoir s’ils seront repris ou envoyés vers Pôle emploi.
PSA, dont un délégué syndical Force ouvrière a évoqué la possibilité d’un plan comptant 8 à 10 000 suppressions de postes.
Dans le textile, autre secteur touché, les chiffres posent également la même question lancinante : peut-on encore produire français ? Après Lejaby, c’est Dim, Playtex et Wonderbra qui sont visés, le fonds d’investissement américain propriétaire de DBApparel ayant décidé de céder le groupe. En balance, plus de 900 personnes à Autun, en Saône-et-Loire, où les employés ont déjà essuyé un plan social.
Autre dossier chaud, les transports (8 600 départs craints par les syndicats) sont entraînés par le poids lourd Air France, qui a présenté son projet "Transform 2015" pour les personnels au sol, prévoyant 5 122 suppressions de postes sans départs contraints.
Enfin, le commerce et la distribution s’illustrent dans ce sombre palmarès avec plus de 8 500 emplois en danger.
Tous ne sont pas logés à la même enseigne : les banques et les assurances devraient subir presque moitié moins de coupes que l’agroalimentaire (environ 4 600 emplois). Et, là où 800 départs volontaires sont proposés chez Société générale, les 3 400 employés de Doux, sans compter les 700 éleveurs qui dépendent de l’avenir de l’entreprise, attendent de savoir s’ils seront repris ou envoyés vers Pôle emploi.