Citigroup n’est donc pas la première à devoir mettre la main à la poche, même si le montant annoncé mercredi est l’un des plus élevés consenti jusqu’ici.
Bear Stearns, rachetée dans l’urgence par JPMorgan Chase en 2008 pour éviter une faillite pendant la crise des subprimes, avait ainsi accepté en juin de payer 275 millions de dollars pour mettre fin à une plainte en nom collectif d’investisseurs estimant qu’elle avait menti sur la gravité de sa situation financière.
L’an dernier, Wells Fargo avait versé 590 millions de dollars pour solder des poursuites lancées pour les mêmes raisons contre sa filiale Wachovia.
Et concernant la vente de produits risqués, Bank of America avait notamment accepté d’indemniser à hauteur de 315 millions des investisseurs qui estimaient avoir été trompés par sa filiale Merrill Lynch, rachetée durant la crise.
Citigroup elle-même avait déjà négocié avec la SEC, le gendarme boursier américain, le versement de 285 millions de dollars.
Citigroup n’est donc pas la première à devoir mettre la main à la poche, même si le montant annoncé mercredi est l’un des plus élevés consenti jusqu’ici.
Bear Stearns, rachetée dans l’urgence par JPMorgan Chase en 2008 pour éviter une faillite pendant la crise des subprimes, avait ainsi accepté en juin de payer 275 millions de dollars pour mettre fin à une plainte en nom collectif d’investisseurs estimant qu’elle avait menti sur la gravité de sa situation financière.
L’an dernier, Wells Fargo avait versé 590 millions de dollars pour solder des poursuites lancées pour les mêmes raisons contre sa filiale Wachovia.
Et concernant la vente de produits risqués, Bank of America avait notamment accepté d’indemniser à hauteur de 315 millions des investisseurs qui estimaient avoir été trompés par sa filiale Merrill Lynch, rachetée durant la crise.
Citigroup elle-même avait déjà négocié avec la SEC, le gendarme boursier américain, le versement de 285 millions de dollars.