La Société générale et le Crédit agricole se démènent pour en finir avec leurs mécomptes grecs. Les deux banques françaises qui, avant l’éclatement de la crise de 2007, avaient pris pied sur le marché hellène alors florissant en prenant le contrôle de deux établissements locaux (Geniki pour la première et Emporiki pour la seconde) font machine arrière toute.
La Société générale et le Crédit agricole se démènent pour en finir avec leurs mécomptes grecs. Les deux banques françaises qui, avant l’éclatement de la crise de 2007, avaient pris pied sur le marché hellène alors florissant en prenant le contrôle de deux établissements locaux (Geniki pour la première et Emporiki pour la seconde) font machine arrière toute.