Quand les économistes, capitalistes, banquiers et financiers sont très pessimistes sur l’avenir du système
21 novembre 2012, 04:38
Moody’s, qui a privé lundi soir la France de son "triple A" dix mois après une décision similaire de Standard & Poor’s (S&P), a une nouvelle fois épinglé la vulnérabilité des banques françaises en cas d’aggravation de la crise au sein de la zone euro.
L’agence de notation relève ainsi dans son rapport que le secteur bancaire français conserve des expositions importantes aux pays les plus fragiles de la zone euro en référence aux difficultés que traversent l’Espagne, la Grèce, le Portugal, l’Irlande ou encore l’Italie.
"Les banques françaises ont des expositions assez importantes à certains pays les plus faibles de la zone euro", souligne Moody’s dans sa décision d’abaisser à "Aa1" la note de la France contre "Aaa" précédemment.
Moody’s, qui a privé lundi soir la France de son "triple A" dix mois après une décision similaire de Standard & Poor’s (S&P), a une nouvelle fois épinglé la vulnérabilité des banques françaises en cas d’aggravation de la crise au sein de la zone euro.
L’agence de notation relève ainsi dans son rapport que le secteur bancaire français conserve des expositions importantes aux pays les plus fragiles de la zone euro en référence aux difficultés que traversent l’Espagne, la Grèce, le Portugal, l’Irlande ou encore l’Italie.
"Les banques françaises ont des expositions assez importantes à certains pays les plus faibles de la zone euro", souligne Moody’s dans sa décision d’abaisser à "Aa1" la note de la France contre "Aaa" précédemment.