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Les derniers grands froids hivernaux depuis 2010 vont-ils refroidir les climatologues, chauds adeptes du « réchauffement global anthropique » ?

8 mai 2013, 19:49

La thèse des réchauffeurs de la planète prévoyait à court terme des baisses dramatiques du niveau des nappes phréatiques...

Paris n’est pas passé si loin de la catastrophe. Mais ce n’est pas celle de la sécheresse...

C’est celle du débordement !!!

À cela une raison : deux des trois conditions nécessaires à de grands débordements dans la capitale sont réunis, ce que l’on n’avait pas vu depuis de très nombreuses années.
Des nappes bien remplies

La première est le remplissage des nappes phréatiques. À la différence des années précédentes, les pluies abondantes depuis l’automne et encore au printemps ont permis de bien les remplir. Un avantage en terme de ressource qui se transforme en inconvénient quand les pluies perdurent. Certes, les pluies printanières sont en partie absorbées par la nature mais le trop-plein gonfle alors les rivières.

La deuxième condition tient à la situation des barrages placés en amont de la capitale qui, toujours en raison des pluies très abondantes, sont pleins à ras bord. Des barrages qui, de toute façon, ne peuvent réduire le niveau des eaux que de 80 ou 90 centimètres.

Fort heureusement la dernière condition essentielle n’est pas remplie : « il aurait fallu de la pluie pendant une dizaine de jours d’affilée », explique le général Serge Garrigues, chef d’état-major en charge de la zone de défense de Paris.

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