Une des révolutions de la Renaissance : la pensée scientifique de Léonard de Vinci
16 février 2013, 09:41, par RP
De nombreux artistes comme Van Gogh, Utagawa et Léonard de Vinci, pour ne citer qu’eux, on tenté de représenter la turbulence. Contraints par la nature de leur art à figer les mouvements, ils en ont été « réduits » à peindre ou dessiner quelques tourbillons de tailles différentes, mais forcément peu nombreux. Seul Léonard de Vinci, dans son « torrent » s’approche d’une réalité dans laquelle ces « tourbillons » sont si nombreux et de tailles si diverses que le dessin suggère bien le chaos turbulent. Mais l’idée même de « tourbillon » porte sur quelque chose de bien identifié et -somme toute- d’assez circulaire et régulier pour ne pas évoquer correctement l’image d’une turbulence réelle. A la place de termes comme « volutes » ou « nappes », les scientifiques ont préféré celui de « structure », qui n’évoque aucune forme et laisse place à de très rapides fluctuations temporelles.
De nombreux artistes comme Van Gogh, Utagawa et Léonard de Vinci, pour ne citer qu’eux, on tenté de représenter la turbulence. Contraints par la nature de leur art à figer les mouvements, ils en ont été « réduits » à peindre ou dessiner quelques tourbillons de tailles différentes, mais forcément peu nombreux. Seul Léonard de Vinci, dans son « torrent » s’approche d’une réalité dans laquelle ces « tourbillons » sont si nombreux et de tailles si diverses que le dessin suggère bien le chaos turbulent. Mais l’idée même de « tourbillon » porte sur quelque chose de bien identifié et -somme toute- d’assez circulaire et régulier pour ne pas évoquer correctement l’image d’une turbulence réelle. A la place de termes comme « volutes » ou « nappes », les scientifiques ont préféré celui de « structure », qui n’évoque aucune forme et laisse place à de très rapides fluctuations temporelles.