Les « nouveaux philosophes » français, en dérive du stalinisme vers l’extrême droite islamophobe ?
3 mai 2013, 12:14
« L’islam ne pouvait naître que dans un désert stupide, au milieu de bédouins crasseux qui n’avaient rien d’autre à faire - pardonnez-moi - que d’enculer leurs chameaux. »
Plateforme, Michel Houellebecq, éd. Flammarion, 2001
« Quand les gens parlent des ‘droits’ de l’homme, j’ai toujours plus ou moins l’impression qu’ils font du second degré. »
Plateforme (2001), Michel Houellebecq, éd. J’ai lu, 2009
« L’islam est une religion dangereuse, et ce depuis son apparition. Heureusement, il est condamné. D’une part, parce que Dieu n’existe pas, et que même si on est con, on finit par s’en rendre compte. A long terme, la vérité triomphe. D’autre part, l’Islam est miné de l’intérieur par le capitalisme. Tout ce qu’on peut souhaiter, c’est qu’il triomphe rapidement. Le matérialisme est un moindre mal. Ses valeurs sont méprisables, mais quand même moins destructrices, moins cruelles que celles de l’islam. »
Michel Houellebecq, septembre 2001, dans Propos recueillis par Didier Sénécal, paru Lire, septembre 2001
« L’islam ne pouvait naître que dans un désert stupide, au milieu de bédouins crasseux qui n’avaient rien d’autre à faire - pardonnez-moi - que d’enculer leurs chameaux. »
Plateforme, Michel Houellebecq, éd. Flammarion, 2001
« Quand les gens parlent des ‘droits’ de l’homme, j’ai toujours plus ou moins l’impression qu’ils font du second degré. »
Plateforme (2001), Michel Houellebecq, éd. J’ai lu, 2009
« L’islam est une religion dangereuse, et ce depuis son apparition. Heureusement, il est condamné. D’une part, parce que Dieu n’existe pas, et que même si on est con, on finit par s’en rendre compte. A long terme, la vérité triomphe. D’autre part, l’Islam est miné de l’intérieur par le capitalisme. Tout ce qu’on peut souhaiter, c’est qu’il triomphe rapidement. Le matérialisme est un moindre mal. Ses valeurs sont méprisables, mais quand même moins destructrices, moins cruelles que celles de l’islam. »
Michel Houellebecq, septembre 2001, dans Propos recueillis par Didier Sénécal, paru Lire, septembre 2001