Vladimir Poutine a assuré à la chancelière allemande Angela Merkel que la réponse de la Russie à « la menace constante d’actes violents de la part des forces ultranationalistes était totalement adaptée » en Ukraine. Il a néanmoins accepté la création d’un « groupe de contact » pour entamer « un dialogue politique ».
Mais cela n’a pas suffit à calmer les marchés financiers qui paniquaient en Russie, poussant la Banque centrale à une hausse surprise de son taux directeur.
Les troupes russes se sont déployées dans la République autonome de Crimée, en Ukraine. Dimanche soir, des responsables américains considéraient que la péninsule était sous « le contrôle opérationnel » du Kremlin. Face à cette invasion, les Occidentaux du G7* multiplient les pressions sur la Russie. Selon les experts, il s’agit là d’un des plus graves conflits depuis la chute du mur de Berlin. Les Etats-Unis demandent l’envoi « immédiat » d’observateurs de l’OSCE (Organisation pour la coopération et la sécurité en Europe).
Vladimir Poutine a assuré à la chancelière allemande Angela Merkel que la réponse de la Russie à « la menace constante d’actes violents de la part des forces ultranationalistes était totalement adaptée » en Ukraine. Il a néanmoins accepté la création d’un « groupe de contact » pour entamer « un dialogue politique ».
Mais cela n’a pas suffit à calmer les marchés financiers qui paniquaient en Russie, poussant la Banque centrale à une hausse surprise de son taux directeur.
Les troupes russes se sont déployées dans la République autonome de Crimée, en Ukraine. Dimanche soir, des responsables américains considéraient que la péninsule était sous « le contrôle opérationnel » du Kremlin. Face à cette invasion, les Occidentaux du G7* multiplient les pressions sur la Russie. Selon les experts, il s’agit là d’un des plus graves conflits depuis la chute du mur de Berlin. Les Etats-Unis demandent l’envoi « immédiat » d’observateurs de l’OSCE (Organisation pour la coopération et la sécurité en Europe).