Les grèves se multiplient en Côte d’Ivoire mais elles sont cantonnées à des domaines précis et limités, corporatisées, divisées : l’université, le transports de carburants, les enseignants du secondaire, les brancardiers du CHU de Yopougon, une entreprise du secteur de caoutchouc de Tabou, des agents OSER, l’ENS d’abidjan, etc... Pas de liaison entre eux ! Pas de volonté de s’en prendre globalement aux classes possédantes parmi les dirigeants syndicaux qui s’autolimitent aux revendications partielles apolitiques et corporatistes.
Les grèves se multiplient en Côte d’Ivoire mais elles sont cantonnées à des domaines précis et limités, corporatisées, divisées : l’université, le transports de carburants, les enseignants du secondaire, les brancardiers du CHU de Yopougon, une entreprise du secteur de caoutchouc de Tabou, des agents OSER, l’ENS d’abidjan, etc... Pas de liaison entre eux ! Pas de volonté de s’en prendre globalement aux classes possédantes parmi les dirigeants syndicaux qui s’autolimitent aux revendications partielles apolitiques et corporatistes.