Mais en continu, la longueur d’onde est infinie et la fréquence zéro ! Donc pas d’énergie au photon dans l’hypothèse "classique".
Par ailleurs la vitesse de propagation de cette énergie est c/racine de la permittivité relative et donc différente de c, vitesse de la lumière dans le vide.
Comment concilier tout cela ?
Doit-on alors considérer que le "vide quantique", excité par E et H, créé des photons réels lesquels interagissent avec le diélectrique et la vitesse de propagation est changée et devient inférieure à c ? Mais quelle est la fréquence de ces photons et donc leur énergie ? Certainement élevée vu la vitesse de propagation de l’énergie qui correspond à un indice faible 1.4 (v= c/1.4).Personne n’a mesuré cette fréquence !
Enfin si le "vide quantique" est rempli de particules sa permittivité epsilon=8.85*10^-12 doit traduire cette propriété.
Quelle est alors la permittivité du "néant", volume infiniment petit sans particule virtuelle ?
Bonjour
C’est bien le fond du problème.
Mais en continu, la longueur d’onde est infinie et la fréquence zéro ! Donc pas d’énergie au photon dans l’hypothèse "classique".
Par ailleurs la vitesse de propagation de cette énergie est c/racine de la permittivité relative et donc différente de c, vitesse de la lumière dans le vide.
Comment concilier tout cela ?
Doit-on alors considérer que le "vide quantique", excité par E et H, créé des photons réels lesquels interagissent avec le diélectrique et la vitesse de propagation est changée et devient inférieure à c ? Mais quelle est la fréquence de ces photons et donc leur énergie ? Certainement élevée vu la vitesse de propagation de l’énergie qui correspond à un indice faible 1.4 (v= c/1.4).Personne n’a mesuré cette fréquence !
Enfin si le "vide quantique" est rempli de particules sa permittivité epsilon=8.85*10^-12 doit traduire cette propriété.
Quelle est alors la permittivité du "néant", volume infiniment petit sans particule virtuelle ?
Cordialement
Alain T.