Du point de vue de la gauche française, la répression était justifiée car il s’agissait de déjouer les menées fascistes. L’Humanité pouvait ainsi titrer : « A Sétif, attentat fasciste le jour de la victoire ».
L’article poursuivait : « des éléments troubles d’inspiration hitlérienne se sont livrés à Sétif à une agression armée contre la population qui fêtait la capitulation hitlérienne ».
L’Humanité du 12 mai 1945 poursuivait : « les instruments criminels de la grosse colonisation sont le MTLD et le PPA et ses chefs, tels Messali et les mouchards à sa solde, qui, lorsque la France était sous la domination nazie, n’ont rien dit et rien fait et qui, maintenant, réclament l’indépendance. Ce qu’il faut, c’est châtier impitoyablement les organisateurs des troubles. »
Du point de vue de la gauche française, la répression était justifiée car il s’agissait de déjouer les menées fascistes. L’Humanité pouvait ainsi titrer : « A Sétif, attentat fasciste le jour de la victoire ».
L’article poursuivait : « des éléments troubles d’inspiration hitlérienne se sont livrés à Sétif à une agression armée contre la population qui fêtait la capitulation hitlérienne ».
L’Humanité du 12 mai 1945 poursuivait : « les instruments criminels de la grosse colonisation sont le MTLD et le PPA et ses chefs, tels Messali et les mouchards à sa solde, qui, lorsque la France était sous la domination nazie, n’ont rien dit et rien fait et qui, maintenant, réclament l’indépendance. Ce qu’il faut, c’est châtier impitoyablement les organisateurs des troubles. »