La colère des plus démunis ne diminuant pas et ne trouvant dans les mesures gouvernementales aucune raison de baisser la mobilisation, certains gilets jaunes cherchent dans la confrontation avec les forces de l’ordre et dans la casse un moyen d’exprimer leur colère. D’autres gilets jaunes, sans aller dans ce sens, estiment que c’est quand même une manière de menacer le pouvoir d’une radicalisation sociale.
Mais quel type de radicalisation sociale peut réellement se faire craindre des classes possédantes : des vitrines brisées de commerces ou même de banques, un peu de flammes par-ci par là, des affrontements avec la police ? Certainement pas ! Au contraire, ils s’en servent, on le voit bien pour monter une partie de la population contre le mouvement. Est-ce le blocage, là aussi par la violence minoritaire, de l’économie que craindraient les classes possédantes ? Est-ce qu’il suffirait de retourner sur les ronds-points comme l’envisagent certains groupes de Gilets jaunes ? Non, ce que craignent les possédants, c’est que les travailleurs en masse se joignent au mouvement… Pour cela, il faudrait que les Gilets jaunes parviennent à s’adresser directement aux travailleurs des entreprises et des quartiers.
La colère des plus démunis ne diminuant pas et ne trouvant dans les mesures gouvernementales aucune raison de baisser la mobilisation, certains gilets jaunes cherchent dans la confrontation avec les forces de l’ordre et dans la casse un moyen d’exprimer leur colère. D’autres gilets jaunes, sans aller dans ce sens, estiment que c’est quand même une manière de menacer le pouvoir d’une radicalisation sociale.
Mais quel type de radicalisation sociale peut réellement se faire craindre des classes possédantes : des vitrines brisées de commerces ou même de banques, un peu de flammes par-ci par là, des affrontements avec la police ? Certainement pas ! Au contraire, ils s’en servent, on le voit bien pour monter une partie de la population contre le mouvement. Est-ce le blocage, là aussi par la violence minoritaire, de l’économie que craindraient les classes possédantes ? Est-ce qu’il suffirait de retourner sur les ronds-points comme l’envisagent certains groupes de Gilets jaunes ? Non, ce que craignent les possédants, c’est que les travailleurs en masse se joignent au mouvement… Pour cela, il faudrait que les Gilets jaunes parviennent à s’adresser directement aux travailleurs des entreprises et des quartiers.